L’EFT : Une Technique Puissante de Libération Émotionnelle

L’EFT fait partie des techniques de libération émotionnelle et se révèle très efficace pour surmonter de nombreux maux, mais aussi pour pouvoir mieux gérer ses émotions. Atypique, la méthode EFT se distingue des autres thérapies brèves par sa simplicité et son côté ludique. Elle est est le fruit de plusieurs pratiques et de recherches entre la Chine et l’occident. Si vous souhaitez acquérir un outil précieux pour votre bien-être et en apprendre un peu plus sur l’EFT, lisez l’article qui suit, cette méthode est aussi mystérieuse qu’intéressante ! Bonne lecture. 😉   

L’EFT, qu’est ce que c’est ?  

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Définition 

L’EFT est un acronyme de l’expression anglaise : Emotional Freedom Technique. Cette méthode est issue de la psychologie énergétique qui vise l’harmonie entre le corps et l’esprit. Nous pouvons subir certaines perturbations énergétiques provoquées par : 

  • des pensées et des émotions négatives ;
  • des syndromes de stress post-traumatique ;
  • des traumatismes physiques ;
  • des événements douloureux (deuil, divorce, agressions sexuelles, perte d’emploi) ;
  • du stress et de l’anxiété. 

C’est en prenant compte de ces facteurs et en travaillant dessus que nous pourrons rétablir notre équilibre intérieur en éliminant certains blocages émotionnels. Cette technique de libération émotionnelle est simple à appliquer au quotidien. Elle consiste à tapoter avec le bout des doigts, certains points d’acupuncture définis par la médecine traditionnelle chinoise.  

Aux origines de l’EFT 

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C’est la combinaison de plusieurs découvertes et de certains travaux, au fil des siècles, qui ont permis la naissance de cette technique. La genèse de L’EFT débute avec l’acupuncture qui est définie par l’UNESCO comme un “art thérapeutique”qui consiste en une “vision énergétique de l’homme et de l’univers.” Cette pratique utilise des aiguilles pour agir sur les organes et les méridiens de notre corps. 

Ensuite, les travaux sur la kinésiologie et le lien existant entre les émotions et les méridiens ont montré l’impact de l’émotionnel sur la santé physique des individus, on parle d’énergies subtiles. Dans les années 1980, le psychologue Roger Callahan soignait déjà ses patients en tapotant certains méridiens du corps humain. C’est Gary Craig, ingénieur de formation, passionné de développement personnel, qui va créer l’EFT en s’inspirant de Roger Callahan, de la PNL et de la médecine chinoise. 

Ce qui est assez révolutionnaire dans cette technique de gestion émotionnelle, c’est de rendre la personne en souffrance, autonome. Nul besoin de prendre rendez-vous chez un thérapeute, il est possible de se soulager tout seul, n’importe quand et n’importe où

Les bienfaits 

Cette technique est réputée efficace, simple et surtout ludique ! Les tapotements induisent une certaine légèreté dans la pratique, qui contribue à mettre à l’aise le patient. Les résultats sont aussi durables dans le temps, voire permanents. L’EFT peut être utile pour traiter les émotions négatives liées :  

  • aux phobies ;
  • aux périodes de deuil ;
  • aux traumatismes physiques et psychologiques ;
  • à l’anxiété et à la dépression ;

Cette méthode peut aussi résoudre des problématiques de dépendance et de toc tels que : 

  • le tabagisme ;
  • la drogue ;
  • le bégaiement ;
  • des attitudes compulsives, etc. 

Comment se déroule une séance d’EFT ?

Tout d’abord, il est important de préciser que l’EFT est une technique de libération émotionnelle brève. Elle nécessite généralement 4 à 5 séances, parfois faire une seule séance peut suffire. Dans certains cas de traumatismes plus profonds et de phobies intenses, une dizaine de séances peuvent être nécessaires. 

De plus, une fois acquise et avec un peu d’entrainement, vous pourrez pratiquer cette méthode en toute autonomie, sans aucun équipement, n’importe où et n’importe quand. Cependant, dans un premier temps, il est important de réaliser un premier protocole avec un praticien expérimenté afin d’acquérir la bonne méthode et les bons gestes.

Identification du problème 

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Lors de votre première séance, vous allez échanger avec votre thérapeute sur vos préoccupations : quel est le problème que vous souhaitez traiter en priorité ? Qu’est-ce qui vous fait le plus souffrir et pourquoi ? Le but étant de s’approcher au plus près du cœur du problème. 

Notez qu’il est préférable de se concentrer sur une seule problématique à la fois. Afin de mieux illustrer cette méthode, nous allons prendre un exemple parlant. Imaginons que vous ayez la phobie de l’avion et que cette phobie vous gâche la vie depuis trop longtemps. 

Évaluation de l’intensité émotionnelle et corporelle 

Maintenant, vous allez évaluer le degré d’intensité de votre problématique, en l’occurrence la peur de l’avion, en donnant un chiffre entre 0 et 10. Zéro n’indiquant aucun problème, 10 indiquant des douleurs ou des émotions d’intensité maximale. 

Afin de donner ce chiffre, imaginez-vous dans un avion et laissez vous envahir par vos ressentis. Soyez instinctif et notez le chiffre qui vous vient à l’esprit. Disons que pour notre exemple de la phobie en avion, vous êtes à 9 sur 10.

Mise en place de la phrase d’affirmation 

La phrase d’affirmation, c’est comme un mantra pour vous aider à vous sentir plus fort face à votre phobie. La structure basique est la suivante : “même si j’ai une peur viscérale de l’avion, je m’accepte complètement et profondément tel que je suis”. 

Ensuite, vous allez passer à la phase préparatoire, qui est de tapoter le point Karaté de votre main qui se situe sur la partie molle du côté de la main, sous le petit doigt. Vous allez répéter cette phrase 3 fois, tout en continuant à faire les tapotements. 

Utilisation de la séquence de tapotements 

Avec votre index et votre majeur, vous allez tapoter les 8 méridiens suivants tout en répétant votre phrase d’affirmation : 

  • le haut des sourcils ;
  • les côtés des yeux ;
  • sous les yeux ;
  • sous le nez ;
  • sous le menton ;
  • sur la clavicule ;
  • sous les aisselles ;
  • sur le haut de la tête.

Venez tapoter légèrement chaque point d’acupuncture entre 5 et 7 fois, cela s’appelle une ronde.

Réévaluation de l’intensité de la problématique   

À la fin de chaque ronde, prenez une grande respiration et analysez à nouveau vos ressentis et vos émotions. Redonnez une note à votre phobie de l’avion. Si la note est toujours supérieure à 2, modifiez votre phrase d’affirmation et recommencez le processus. 

À l’origine, il existait d’autres points d’acupression sur les doigts de la main, mais le créateur de L’EFT, Gary Craig a estimé qu’ils n’étaient pas nécessaires et a simplifié la séquence de tapotements. 

➡️ Découvrez mon article sur mes 6 conseils pour en finir avec l’auto sabotage.  

Quelle est la valeur scientifique de l’EFT ?

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La littérature scientifique et preuves

En lisant cet article sur l’EFT, vous vous retrouvez peut-être un peu démuni face à ces informations. En effet, cette technique peut vous paraître un peu trop miraculeuse et votre esprit cartésien repousse sa véracité et son efficacité. Vous vous demandez sûrement s’il existe des preuves ? Comment ça fonctionne ? Et ce qu’en pensent les scientifiques ? 

La psychologie énergétique est une pratique relativement récente, cependant, la littérature scientifique continue à s’étoffer sur le sujet. En février 2022, L’ACEP (association internationale pour le développement de la psychologie énergétique intégrative) recense plus de 125 études scientifiques qui peuvent attester de ces méthodes. 

Comme d’autres thérapies alternatives, il existe encore beaucoup de questions. Mais le vif intérêt suscité par cette méthode ne fait qu’accroître les recherches et la documentation à son sujet pour en démontrer l’impact scientifique

Quel est l’effet de l’Emotional Freedom Technique sur le corps et le cerveau 

L’EFT agit sur l’amygdale qui représente une partie du cerveau limbique, le siège de nos émotions. L’amygdale fonctionne comme un détecteur d’alerte qui reçoit des stimulis, les décode pour pouvoir apporter la réaction comportementale la plus adaptée. 

Étant connue pour être le centre de la peur, l’amygdale peut être sollicitée pour des peurs irrationnelles et amener un individu à développer des phobies, du stress, de l’anxiété, etc. Certains traumatismes violents comme les agressions sexuelles peuvent entraîner chez les victimes une hyperactivité de l’amygdale. 

En agissant sur l’amygdale, l’EFT vient la calmer, ce qui implique une diminution du stress et une reprogrammation du cerveau. Ce faisant, ce dernier va pouvoir induire une réaction émotionnelle et comportementale plus adaptée à la situation.  L’EFT agit également sur : 

  • le taux de cortisol ;
  • la pression sanguine ;
  • le système nerveux sympathique et parasympathique ;
  • le rythme cardiaque ;
  • les anticorps. 

Ce qu’il faut retenir 

Vous voilà maintenant plus renseignés sur l’EFT (Emotional Freedom Techniques). Cette méthode commence à gagner en popularité, mais n’est pas encore très connue en Europe. Il est toujours intéressant de découvrir de nouvelles ressources pour compléter son arsenal bien-être et cultiver plus de sérénité. 

En revanche, considérez les comme des outils précieux, qui viennent compléter le coaching, la thérapie, la médecine, etc. Il ne s’agit pas de remplacer, mais d’ajouter de la connaissance pour améliorer votre santé et votre bonheur. Je vous rappelle les principaux axes de l’EFT : 

  • elle est issue de la psychologie énergétique ;
  • elle consiste à tapoter certains méridiens de notre corps pour lever des blocages émotionnels ;
  • elle peut traiter des traumatismes psychologiques et physiques, les phobies, les addictions et toutes les peurs en général ;
  • vous pouvez la pratiquer seul, n’importe où et n’importe quand.

Que pensez-vous de ce type de méthode ? Utilisez-vous l’EFT ou bien une autre technique de libération émotionnelle ? Partagez vos réactions dans les commentaires ci-dessous, je serai vraiment curieux de les lire. Si vous lisez ces lignes, c’est que vous souhaitez évoluer dans votre développement personnel et vous épanouir encore plus ! Alors participez à mon séminaire développement personnel Destination Réussite et vivez la vie de vos rêves !

➡️ En ce début d’année, lisez mon article sur les bonnes résolutions et surtout comment les tenir. 😉

À très vite,

Max

 

 

Autohypnose : Comment la pratiquer et quels sont ses bénéfices

L’autohypnose, comme l’hypnose, est un état de conscience modifié, à mi-chemin entre le sommeil et la veille. Pouvant soulager toutes sortes de troubles, notamment grâce aux techniques d’autosuggestion et de visualisation, l’hypnose a depuis longtemps prouvé son efficacité. Pratique encore méconnue, l’autohypnose, c’est-à-dire, l’habileté à entrer seul en état de transe, peut durablement améliorer votre vie. Grâce à elle, vous pouvez gagner en confiance en soi, vaincre une phobie, trouver le sommeil ou même soulager une douleur chronique. Vous voulez en apprendre plus sur cette pratique ? Vous souhaitez savoir comment entrer en transe ? Restez par ici, je vous explique tout sur l’autohypnose. À la fin de cet article, vous découvrirez également une série d’exercices d’autohypnose à pratiquer à n’importe quelle heure de la journée ! Bonne lecture.

Autohypnose : définition et utilité

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L’autohypnose est la capacité à se plonger seul dans un état hypnotique. À l’instar de l’hypnose, il s’agit d’un état de conscience modifié se situant entre le sommeil et la veille. D’ailleurs, saviez-vous que vous vous trouviez dans cet état plusieurs fois par jour, et ce, sans vous en rendre compte ?

Tenez, par exemple, vous vous rendez tous les jours au travail à pied. Quotidiennement, vous empruntez le même chemin et vous n’avez donc plus à réfléchir à l’itinéraire que vous allez prendre. Pour vous, l’action même de vous rendre au travail est devenue automatique. Votre cerveau n’ayant plus à réfléchir à ce détail, vous vous plongez fréquemment dans vos pensées jusqu’à devenir imperméable aux événements extérieurs. Arrivé à votre bureau, vous ne vous souvenez plus du tout des minutes précédentes.

Cet exemple vous parle ? Eh bien, sachez que vous pouvez provoquer vous-même cet état hypnotique pour régler certaines problématiques personnelles. L’autohypnose peut par exemple vous aider à :

  • réguler votre sommeil ;
  • gagner en confiance en soi ;
  • améliorer votre état de santé ;
  • mieux gérer vos émotions ;
  • combattre une addiction ;
  • diminuer vos douleurs chroniques ;
  • surmonter une phobie ;
  • vous libérer de vos croyances limitantes ;
  • surmonter la douleur d’une séparation, d’une perte ou d’un deuil ;
  • etc.

Entrer dans un état d’hypnose : tout ce qu’il faut savoir

Sachez que tout le monde peut pratiquer l’autohypnose. Simplement, nous ne nous trouvons pas tous sur le même pied d’égalité. En effet, certaines personnes réussiront plus facilement à se concentrer. Ce n’est qu’en vous plongeant régulièrement dans cet état hypnotique que cette action se transformera en rituel. Peu à peu, votre habileté à faire le vide en vous sera de plus en plus efficiente.

Toutefois, avant de mettre en pratique l’autohypnose, je vous conseille de prendre connaissance de ces quelques éléments. Ceux-ci représentent le socle d’une bonne exécution de la pratique.

Se donner un seul objectif clair et précis

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Lors de mes séminaires, je répète toujours à mes coachés qu’il leur faut un objectif clair et précis pour pouvoir passer à l’action. En autohypnose, c’est exactement la même chose !

Ainsi, si vous souhaitez arrêter de fumer, vous ne devez pas juste vous dire « Je ne souhaite plus fumer. ». Cet objectif est beaucoup trop vague. Il ne présente en effet aucune limite de temps. Car si vous êtes fumeur depuis l’adolescence ou si vous fumez simplement 1 cigarette le soir pour vous détendre, il est évident que le délai temporel que vous vous fixerez ne sera pas le même.

À la place, dites-vous plutôt : « Aujourd’hui, je fume une cigarette de moins qu’hier. Dans un délai de 30 jours, j’aurais complètement arrêté de fumer. Je me sens maintenant en meilleure forme. ». Le lendemain, vous pouvez vous dire : « Aujourd’hui, je fume le même nombre de cigarettes qu’hier. Dans un délai de 29 jours, j’aurais complètement arrêté de fumer. Je me sens maintenant en meilleure forme. ».

Au fur et à mesure, adaptez votre mantra en vous assurant de diminuer graduellement la quantité de cigarettes fumées. Grâce à cette technique, vous visualisez précisément le nombre de jours qu’il vous reste à fumer et pouvez vous projeter dans l’espace-temps.

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Réaliser sa séance dans un endroit calme

Le contexte et le lieu où va se dérouler votre séance d’autohypnose sont des éléments clés qui vont déterminer votre réussite.

En effet, surtout si vous débutez, il vous sera difficile de vous plonger dans un état hypnotique si vous vous trouvez dans un lieu bondé ou au beau milieu de votre salon entouré de vos enfants surexcités.

Au contraire, isolez-vous plutôt dans un endroit calme où vous serez certain de ne pas être dérangé. Choisissez un moment opportun et assurez-vous que vos proches ne viennent pas vous solliciter.

Installez-vous alors dans la position qui vous convient le mieux. Assis, allongé, voire debout, détendez-vous, fermez les yeux et respirez paisiblement. Pour vous aider à vous relaxer, vous avez la possibilité d’écouter une musique douce.

Connaître les différentes techniques qui permettent d’entrer en transe

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Pour entrer en transe, plusieurs techniques, qu’on appelle techniques d’induction, s’offrent à vous. Voici celles qui sont le plus utilisées :

  • Pratiquer la respiration abdominale : inspirez lentement par le nez puis bloquez pendant trois secondes votre respiration. Expirez doucement par la bouche puis recommencez.
  • Se focaliser sur un point précis : fixez un point qui se trouve loin devant vous et gardez toute votre attention dessus jusqu’à l’entrée en transe. Ne cherchez pas à décrire ce que vous voyez. Contentez-vous simplement de l’observer.
  • Analyser chaque partie de son corps : aussi utilisée en méditation, cette méthode consiste à scanner chaque partie de votre corps ainsi que ses points d’appui. Dans votre tête, décrivez alors les sensations que vous ressentez au niveau de votre cuir chevelu, de votre visage, de votre cou, et ce, jusqu’à la pointe de vos orteils. Dépeignez également vos sensations au contact de la chaise sur laquelle vous êtes assis ou le lit sur lequel vous êtes allongé.
  • Imaginer une goutte d’eau : dans votre tête, imaginez-vous en train de regarder une goutte de rosée sur un brin d’herbe. Quel est son aspect ? Brille-t-elle au soleil ? Soyez aussi précis que possible dans votre description.

Savoir à quoi ressemble l’état d’autohypnose

Savoir se plonger en état d’autohypnose est un fait. Encore faut-il savoir à quel moment, vous vous trouvez réellement dans cet état. Selon les personnes, les sensations peuvent varier :

  • Vos membres s’alourdissent ou au contraire deviennent plus légers. Une sensation d’engourdissement vous envahit.
  • Votre cerveau tourne à plein régime, mais vous ne pouvez plus vous mouvoir.
  • Vous bâillez sans pour autant ressentir de fatigue.
  • Etc.

Ces sensations, vous allez tout de suite les reconnaître. À leur ressenti, vous pouvez commencer la phase de visualisation ou d’autosuggestion.

Se fixer des instructions simples et précises

Comme je vous l’expliquais précédemment, votre objectif de séance doit être clair et précis. La formulation de vos instructions est donc extrêmement importante. Assurez-vous :

  • de formuler une instruction courte ;
  • de répéter une phrase facilement assimilable ;
  • de parler au présent et à l’impératif.

De ce fait, si vous souhaitez arrêter de grignoter, vous ne direz pas « Aujourd’hui, je vais essayer de ne pas grignoter. J’espère que je vais réussir cet objectif. », mais plutôt « Aujourd’hui, je ne grignote sous aucun prétexte. Je suis capable d’atteindre cet objectif. ».

Vous voyez bien la différence entre ces deux formulations, n’est-ce pas ? La deuxième, plus impactante, vous conditionne et vous plonge dans un état d’esprit où échouer n’est pas envisageable.

Limiter sa séance dans le temps

Une séance d’autohypnose est courte. En général, elle dure une quinzaine de minutes. Pour garantir son efficacité, ne la prolongez pas au-delà de 30 minutes.

Sortir de l’état de transe

Lorsque vous vous trouvez dans un état d’autohypnose, une partie seulement de votre esprit est inconsciente. Pour revenir à l’instant présent, reprenez contact avec votre environnement, votre corps et vos points d’appui.

L’action de se fixer une limite de temps (15 minutes par exemple) va également aider votre cerveau. Le laps de temps écoulé, vous reprendrez peu à peu conscience.

5 exercices d’autohypnose facilement applicables

L’autohypnose représente un outil puissant pour qui souhaite sortir d’une problématique bien précise. Ainsi, cette pratique peut tout aussi bien combattre un trouble anxieux, soulager une douleur chronique ou lutter contre l’insomnie.

Toutefois, lorsque je demande à mes coachés ce qui les préoccupe dans leur vie quotidienne, certaines problématiques sont récurrentes. L’insomnie, le stress, la gestion des émotions, le manque de confiance en soi et la timidité en font partie. Voici 5 exercices pour vous aider à les combattre.

Exercice N° 1 : L’autohypnose pour trouver le sommeil

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Le sommeil est un besoin. Pour recharger vos batteries, assurer vos tâches quotidiennes et travailler efficacement, vous devez bien dormir. Ne pas réussir à trouver le sommeil, ça arrive à tout le monde. Mais lorsque ces insomnies se répètent, cela peu vite troubler votre quotidien jusqu’à le dérégler complètement.

Pour tomber plus facilement dans les bras de Morphée, l’autohypnose s’avère particulièrement efficace. Plusieurs exercices, comme la bulle de sommeil ou la respiration abdominale, peuvent être pratiqués.

Je vous propose aujourd’hui la technique de la relaxation progressive qui consiste à analyser chaque partie de votre corps :

  • Fermez les yeux et prenez conscience de votre corps allongé sur le matelas.
  • Analysez vos sensations pour chaque partie de votre corps, en partant de votre tête jusqu’à vos pieds (votre cuir chevelu, votre front, votre nez, votre bouche, votre cou, votre torse, votre dos, etc.).
  • Pour chacun de vos membres, imaginez-les devenir lourds. Ils s’enfoncent dans votre matelas comme s’il s’agissait de sables mouvants.
  • Cette sensation de lourdeur vous enveloppe et vous relaxe profondément. Vous plongez peu à peu dans le sommeil.

Exercice N° 2 : La transe hypnotique pour lutter contre le stress

Au quotidien, il vous arrive certainement d’être confronté au stress. Surcharge cognitive, surplus de travail : vous avez l’impression d’être stressé en permanence ? Pratiquer un court exercice d’autohypnose peut vous permettre de vous relaxer :

  • Isolez-vous quelques minutes dans un endroit calme et asseyez-vous sur une chaise.
  • Déterminez le temps que vous souhaitez accorder à ce moment (par exemple, 10 minutes).
  • Fermez les yeux, faites abstraction des bruits et odeurs environnantes et focalisez-vous sur votre bien-être.
  • Inspirez profondément par le nez, puis expirez lentement par la bouche. Répétez cette respiration plusieurs fois.
  • Pratiquez ensuite l’autosuggestion en répétant 5 fois de suite une phrase qui représente votre objectif à atteindre. Par exemple : « Je suis calme et me sens en capacité de gérer mes émotions. ».
  • Les dix minutes écoulées, vous revenez naturellement à un état de veille. Vous vous sentez de nouveau calme et apaisé. Ouvrez doucement les yeux puis retournez à vos activités.

Exercice N° 3 : L’état d’hypnose pour mieux gérer ses émotions

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Que vous soyez ou non hyperémotif, il peut vous arriver de vous laisser submerger par vos émotions. Dans certaines situations, cela peut s’avérer problématique et vous porter préjudice.

Pratiquer l’autohypnose pour mieux gérer vos émotions et ainsi gagner en intelligence émotionnelle est un exercice bénéfique en tous points. Vous devenez en effet plus confiant et apprenez à mieux décrypter vos émotions. Ainsi, lorsque vous sentez que vos émotions prennent le dessus, essayez cet exercice d’autohypnose :

  • Visualisez autour de vous une bulle protectrice. Cette bulle ne vous enferme pas. Elle est au contraire un cocon dans lequel vous vous réfugiez sans pour autant être imperméable aux événements extérieurs. L’intérieur est doux, calme et protecteur.
  • Dans cette bulle, vous êtes seul. Personne d’autre ne peut y accéder sans votre accord. Les événements extérieurs qui auraient pu vous toucher ne vous atteignent pas.
  • Restez dans votre bulle autant de temps que souhaité et sortez-en lorsque vous sentez que le flot de vos émotions s’apaise.

Exercice N° 4 : L’autohypnose pour avoir confiance en soi

Beaucoup de personnes manquent de confiance en soi. Elles doutent dans leur capacité à réussir leurs projets, remettent en cause leurs compétences et se focalisent constamment sur leurs points faibles. Pour avoir confiance en soi, l’autohypnose est un exercice court et efficace que vous pouvez pratiquer au quotidien. Vous pouvez procéder ainsi :

  • Plongez dans un état de transe. Pour cela, asseyez-vous dans un endroit calme où vous êtes certain que vous ne serez pas dérangé.
  • Pratiquez la respiration abdominale en la bloquant quelques secondes après chaque inspiration.
  • Adoptez la technique de la visualisation : imaginez que vous vous trouvez dans un jardin verdoyant au tout début du printemps. Vous êtes assis en tailleur sur l’herbe. Dans vos mains se trouve une graine d’arbre.
  • À présent, c’est à vous de faire grandir cette graine. Faites-la croître jusqu’à ce qu’elle devienne une jeune pousse, puis un arbuste et enfin un arbre majestueux.
  • Constatez votre œuvre et soyez-en fier.
  • Lorsque vous vous sentez prêt, revenez doucement à la réalité.

Vous l’avez compris, cette graine qui pousse et se transforme en arbre représente votre confiance en vous. Réalisez cet exercice quotidiennement. Vous allez rapidement le constater : lorsque l’autohypnose est couplée à d’autres exercices, vous gagnez rapidement en confiance en soi.

Exercice N° 5 : L’hypnose pour surmonter sa timidité

La timidité peut se définir par un manque d’assurance et d’aisance en société. Lorsque vous êtes timide, vous vous fermez, bien malgré vous, de nombreuses portes. Par crainte, vous n’arrivez pas à accomplir certaines actions et vous privez de ce fait d’atteindre vos objectifs. La timidité représente donc un frein majeur à votre développement personnel. Vous souhaitez la surmonter ? Cet exercice d’autohypnose pourrait bien vous aider :

  • Pour cet exercice, isolez-vous dans une pièce et placez-vous debout au milieu de celle-ci.
  • À présent, fermez les yeux, oubliez tout ce qui vous entoure et laissez libre cours à vos pensées.
  • Imaginez maintenant un cerceau placé juste devant vous.
  • Façonnez un personnage idéal, celui que vous aimeriez incarner. Celui-ci prend peu à peu forme devant vous, au milieu du cerceau. Est-il plus confiant, plus épanoui, plus charismatique ?
  • Maintenant, avancez d’un pas et prenez la place de votre personnage au centre du cerceau. Cette personne imaginaire, c’est vous : vous l’incarnez.
  • Faites-en sorte de rester quelques instants dans sa peau. Dans vos pensées, adoptez son comportement, sa façon de parler, etc.
  • Une fois ce personnage bien intégré, revenez doucement à l’état de veille en respirant doucement. Ouvrez les yeux : comment vous sentez-vous à présent ?

Cet article sur l’autohypnose vous a-t-il donné envie de vous lancer ? Cette pratique simple et facile à mettre en œuvre au quotidien est à la portée de tous. Si vous découvrez la pratique, sachez que vous ne saurez pas entrer en état hypnotique du jour en lendemain. Savoir entrer dans un état de transe nécessite en effet de l’entraînement et de l’assiduité. Malgré tout, cela en vaut à peine ! Car une fois que vous maîtriserez l’autohypnose, vous pourrez régler beaucoup de problématiques quotidiennes comme l’excès de stress ou le manque de confiance en soi. Vous pourrez ainsi atteindre plus rapidement votre plein potentiel !

➡️ À lire aussi : Hypnose et Développement Personnel : une Alliance Efficace

À très vite,

Max.

Immaturité émotionnelle : qu’est-ce que c’est et comment la reconnaître ?

L’immaturité émotionnelle touche beaucoup plus de monde que l’on ne croît. Ce refus de grandir et de prendre ses responsabilités en tant qu’adulte mène pourtant à bien des souffrances. Dépendance émotionnelle, manque de confiance en soi, besoin d’attention constant : certains signes sur l’immaturité affective d’une personne peuvent vous alerter. Vous souhaitez savoir ce qu’est exactement l’immaturité émotionnelle ? Comment la reconnaître et comment en sortir ? Restez attentifs, je vous explique tout dans cet article.

Immaturité émotionnelle : définition

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Une personne qui souffre d’immaturité émotionnelle (ou immaturité affective) est un adulte dont le comportement peut être qualifié d’enfantin. Certains de ses actes ou décisions sont donc en complète contradiction avec son âge.

Cette personne refuse toute charge émotionnelle, car elle a des difficultés à affronter ses émotions. En outre, elle peut se montrer complètement dépendante des autres. On parle alors de dépendance affective. C’est ainsi qu’au-delà de sa propre douleur, ses proches, et en particulier son partenaire, peuvent également souffrir de cette situation.

Les causes de ce mal-être sont multiples, mais bien souvent en lien avec l’enfance de la personne immature. Par exemple :

  • Un enfant qui a été très gâté et qui a connu très peu de frustrations peut devenir égocentrique à l’âge adulte.
  • Un enfant qui voit ses parents en constante difficulté assimile qu’être adulte est contraire à toute forme de plaisir.
  • Un enfant qui a subi un ou plusieurs traumatismes (perte de ses parents, violences psychologiques ou physiques, etc.) peut, à l’âge adulte, éprouver le besoin de se protéger pour éviter toute nouvelle souffrance.

En grandissant, l’adolescent, puis l’adulte, développe des comportements nocifs et peine à mûrir émotionnellement.

Quels sont les signes d’une immaturité affective ?

Pour la personne qui en souffre, une immaturité affective peut être handicapante. Ayant des difficultés à réguler ses émotions, elle peine à vivre une relation amoureuse, amicale ou professionnelle stable. Voici 7 signes pouvant alerter sur l’immaturité émotionnelle d’une personne.

➡️ Notez toutefois que cette liste n’est pas exhaustive. De même, une personne présentant un ou deux de ces signes ne sera pas nécessairement immature émotionnellement. Pour confirmer le diagnostic, il est indispensable de se rapprocher d’un professionnel en psychologie.

Signe N° 1 : Un manque de confiance en soi

Une personne souffrant d’immaturité émotionnelle présente souvent un cruel manque de confiance en soi. En grandissant, elle a préféré ne pas évoluer émotionnellement par peur des responsabilités.

Avec le manque de confiance en soi, vient s’ajouter une absence d’amour et d’estime de soi importante. L’adulte immature a tendance à se dévaloriser, et ce, dans n’importe quelle situation.

En couple, l’immature est peu sûr de lui. Cela peut le faire basculer dans une dépendance affective vis-à-vis de son partenaire et donc une relation toxique.

Signe N° 2 : Un besoin d’attention et un égocentrisme exacerbés

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Étant resté au stade émotionnel d’un enfant, l’adulte présentant une immaturité émotionnelle est en demande constante de l’attention des autres.

Il souhaite être au centre des discussions et peine à aller au-delà de son opinion propre. Ainsi, dans certaines situations, il peut se révéler très entêté. Lorsque le point de vue de l’autre n’est pas à son avantage, il ne cherche pas à le comprendre et préfère l’ignorer.

Signe N° 3 : Une attitude manipulatrice

L’un des signes qui ne trompe pas chez une personne émotionnellement immature est qu’elle est souvent sur la défensive. Si elle rencontre un problème ou si on l’accuse de quelque chose, elle met tout en œuvre pour nier la situation. Pour cela, elle avance tous les arguments possibles en sa faveur et n’hésite pas, si elle s’en sent obligée, à mentir pour se défendre.

Ce comportement s’apparente en tous points à de la manipulation émotionnelle. Ainsi, un adulte souffrant d’immaturité affective éprouvera une jalousie excessive vis-à-vis de son partenaire. Il n’hésitera pas à violer l’espace personnel de son conjoint, rendant de plus en plus toxique la relation.

Signe N° 4 : Une faible autonomie

Dans la plupart des cas, une personne qui souffre d’immaturité émotionnelle ne peut vivre sans la présence des autres. C’est la raison pour laquelle elle développe souvent une dépendance affective dans son couple.

Ayant peur de prendre ses responsabilités, elle préfère déléguer à son partenaire les tâches quotidiennes du foyer. De même, elle impose à l’autre la prise des décisions importantes pour ne pas avoir à s’en préoccuper. Pour son conjoint, cette attitude devient difficile au fil du temps, car il voit sa charge mentale augmenter.

Signe N° 5 : Une dépendance émotionnelle envers ses parents

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Il est fréquent qu’une personne immature émotionnellement reste très dépendante de ses parents. À l’instar des enfants et des adolescents ayant besoin de leurs parents pour grandir, elle conserve ce fort attachement à l’âge adulte.

Ce besoin d’affection et cette dépendance vis-à-vis de ses parents sont innés chez tous les nouveau-nés. Plus l’enfant grandit, plus il devient mature émotionnellement. Il apprend alors à se détacher de ses parents.

La personne immature, quant à elle, conserve ce lien dans le but de combler ses besoins d’attention et de protection. Adulte, ses parents conservent une place prépondérante dans sa vie au détriment parfois de ses autres relations.

Signe N° 6 : Une difficulté à gérer son argent

Une personne souffrant d’immaturité émotionnelle peut également éprouver des difficultés à gérer son budget. Ses désirs dépassant sa raison, les assouvir devient plus important que le reste. Au risque de devoir s’endetter.

En couple, des disputes par rapport à l’argent surviennent très régulièrement. La personne immature ne contrôle pas ses dépenses et trouve toujours une explication pour pallier son manque de responsabilité.

Signe N° 7 : Une tendance à la victimisation

Même s’il est prouvé qu’elle est coupable, une personne immature émotionnellement trouvera toujours une bonne excuse. Jamais elle n’avouera qu’elle est responsable de ses actes.

Au contraire, même si ce n’est pas la réalité, elle aura tendance à rejeter la responsabilité sur les autres et à se désigner comme une victime. Cette attitude a pour conséquence de faire culpabiliser son interlocuteur. Démuni, il n’osera pas contredire la personne immature par peur de la faire souffrir.

Comment devenir plus mûr sur le plan affectif ?

L’immaturité émotionnelle est une souffrance ancrée depuis l’enfance. En sortir et devenir plus mature émotionnellement est possible, mais c’est un long chemin. Pour évoluer et grandir à titre émotionnel, la personne immature aura bien souvent besoin de l’appui d’un psychologue. Toutefois, même si elles ne remplacent pas un accompagnement thérapeutique, quelques clés peuvent l’aider à mûrir sur le plan affectif.

Clé N° 1 : Identifier ses symptômes et les guérir

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Pour sortir de l’immaturité émotionnelle, la personne doit déjà avoir conscience de ses actes. Ce n’est en effet que de cette façon qu’elle pourra modifier ses comportements immatures et évoluer sur le long terme.

À l’étape de la prise de conscience, ses proches peuvent lui apporter un soutien émotionnel. La personne immature doit se sentir protégée et accompagnée dans les changements qui vont advenir.

Quelques clés peuvent l’aider à développer sa maturité émotionnelle :

  • réaliser de nouvelles rencontres ;
  • admettre que la perfection est inatteignable (des échecs et déconvenues sont inévitables) ;
  • engager des discussions avec l’autre et réaliser des compromis pour garantir une bonne entente ;
  • apprendre à découvrir l’autre en passant du temps ensemble ;
  • comprendre le besoin d’épanouissement de l’autre.

Grâce à ces quelques exercices, la personne immature gagne peu à peu en confiance, en responsabilité et épanouissement.

Clé N° 2 : Travailler son intelligence émotionnelle

L’intelligence émotionnelle représente la capacité d’une personne à savoir identifier, gérer, exprimer et décrypter ses émotions, mais aussi celles d’autrui. Utile sur tous les plans de notre vie, elle permet à qui la possède d’avoir de meilleures relations, une confiance en soi renforcée et une meilleure communication.

Pour une personne souffrant d’immaturité affective, développer son intelligence émotionnelle semble donc tout indiqué.

➡️ À lire aussi : Intelligence Émotionnelle : Qu’est-ce que c’est et comment la développer ?

Clé N° 3 : Guérir ses blessures passées

Les blessures du passé et de l’enfance s’apparentent souvent à un boulet qu’une personne traîne tout au long de sa vie. Ces blessures (rejet, abandon ou encore humiliation) sont profondément ancrées.

Pour aller de l’avant, la personne immature doit essayer de se défaire de ses différentes blessures et ainsi apaiser l’enfant qui est en elle. Elle peut ainsi chercher à identifier le traumatisme qui a causé cette immaturité émotionnelle. Si le traumatisme est lointain ou non identifié, un accompagnement thérapeutique sera alors préconisé.

Ce qu’il faut retenir de l’immaturité émotionnelle

Vous connaissez à présent tous les traits de caractères et comportements d’une personne immature émotionnellement. Si vous ou l’un de vos proches est concerné, vous êtes maintenant plus à même de reconnaître cette pathologie et connaissez les leviers à actionner pour la soulager.

Quoi qu’il en soit, retenez bien les 7 signes caractéristiques d’une personne souffrant d’immaturité émotionnelle :

  • le manque de confiance en soi ;
  • le fort besoin d’attention et l’égocentrisme ;
  • une tendance à la manipulation ;
  • un manque d’autonomie ;
  • une dépendance émotionnelle à l’égard de ses parents ;
  • une gestion de l’argent difficile ;
  • une victimisation constante.

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À très vite,

Max

Être en phase avec soi-même : la clé de l’épanouissement

Être en phase avec soi-même : est-ce que ça vous parle ? Au quotidien, êtes-vous en accord avec les décisions que vous prenez et avec les valeurs que vous défendez ? Malgré la simplicité apparente de cet état, force est de constater que peu de personnes vivent la vie qu’elles souhaiteraient. Car être en accord avec soi-même nécessite un profond travail sur soi et une véritable introspection. Vous-même, prenez-vous le temps de vous développer personnellement ? Êtes-vous aligné ? Si ce n’est pas le cas, je vous invite à lire cet article. Il pourrait bien changer votre vie.

Être en phase avec soi-même : ça veut dire quoi ?

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Je suis certain que, vous qui lisez ces lignes, vous aspirez à l’épanouissement et au bonheur. Vous désirez vivre une vie qui vous ressemble. Une vie dans laquelle vous seriez en accord avec vos valeurs, vos idées et les choix que vous prenez.

Être en phase avec soi-même, c’est exactement cela. Ressentir cet état, c’est se sentir complètement aligné et vivre selon ses propres convictions. Ce n’est que par ce chemin que vous pouvez atteindre le plein épanouissement et la paix intérieure.

Quels sont les trois socles d’un parfait alignement ?

Être en phase avec soi-même nécessite de travailler son développement personnel. J’ai moi-même entamé cette exploration intérieure il y a bien des années. Ce travail sur moi a changé ma vie.

Il m’a en effet permis d’atteindre les objectifs que je me fixais, année après année. J’ai créé une entreprise dont je peux être fier. À travers mes séminaires et mes coachings, j’impacte en effet la vie de milliers de personnes à travers le monde. Enfin, à titre personnel, je partage la vie de Marine, une femme merveilleuse et nous avons deux adorables enfants.

Cependant, je n’ai pas toujours eu cette vie. Cet alignement, je l’ai créé. Et pour cela, trois socles sont, selon moi, indispensables à travailler.

Socle N° 1 : La confiance en soi

Pour être en accord avec vous-même, le premier socle sur lequel vous pouvez travailler est la confiance en soi. En effet, en ayant foi en vos capacités et vos talents, vous pourrez plus facilement vous affirmer et exposer votre point de vue.

Développer votre confiance en vous va également vous faire comprendre à quel point vous pouvez aller loin. Votre potentiel est infini. C’est simplement votre manque de confiance en soi qui vous bloque.

➡️ À lire aussi : Livre sur la Confiance en Soi : le Top 5 des Meilleures Lectures

Socle N° 2 : La connaissance de soi

Si vous souhaitez évoluer et être en phase avec vous-même sur les plans personnels et professionnels, la connaissance de soi est primordiale. En réalisant cette démarche, vous allez apprendre à vous écouter, à vous remettre en question, mais aussi à donner un sens à votre vie.

Pour cela, questionnez-vous et faites régulièrement le point sur des sujets profonds tels que :

  • votre raison d’être ;
  • vos valeurs ;
  • vos forces et vos faiblesses ;
  • vos objectifs à long terme ;
  • vos relations ;
  • etc.

Ce n’est que de cette façon que vous pourrez, sur le long terme, créer une vie selon vos propres termes.

Socle N° 3 : L’acceptation de soi

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Vous ne pouvez pas être parfait. D’ailleurs, personne ne l’est. Pour être en phase avec vous-même, apprenez à vous apprivoiser tel que vous êtes réellement. Ne vous cachez pas derrière un personnage et ôtez cette carapace forgée au fil des années.

Acceptez vos forces et vos faiblesses. Admettez que vous pouvez parfois commettre des erreurs ou prendre de mauvaises décisions. C’est tout à fait normal. C’est arrivé et cela se produira de nouveau dans le futur.

Mais ceci ne doit pas vous empêcher de passer à l’action ni de sortir de votre zone de confort. Vous ne devez pas vous sentir honteux ou inférieur face à des personnes qui vous semblent sûres d’elles. Ces dernières possèdent elles aussi des faiblesses. Simplement, elles réussissent à les assumer et à passer outre pour aller de l’avant.

7 astuces concrètes pour mener une vie selon ses propres termes

Pour travailler votre alignement au jour le jour, de simples actions peuvent faire toute la différence. Laissez-moi vous en délivrer quelques-unes.

Astuce N° 1 : Penser à soi avant tout

Êtes-vous de ceux qui pensent toujours aux autres avant de penser à eux ? En soi, privilégier le bonheur des autres, faire preuve d’altruisme et de compassion est une immense qualité. Malgré tout, celle-ci peut rapidement vous faire oublier le principal : votre bien-être.

Si vous ne prenez pas soin de vous, si vous vous oubliez, personne ne viendra vous sauver lorsque vous en aurez besoin. Alors, même si cela vous demande un effort, imposez-vous des plages horaires pendant lesquelles vous pourrez réaliser une activité rien que pour vous.

Cela peut être faire du sport, dessiner, aller vous balader en forêt, n’importe quelle occupation en réalité ! Accordez-vous simplement ces moments de déconnexion. Vous serez bluffé par la tranquillité d’esprit gagnée.

Astuce N° 2 : Trouver sa raison d’être

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Peu de personnes sur cette terre ont conscience de leur véritable raison d’être. Pour quoi vivent-ils ? Quelle empreinte souhaitent-ils laisser derrière eux après leur mort ? Ces questions sont existentielles. Et il est important que vous vous les posiez si vous souhaitez être en phase avec vous-même.

Comment trouver votre raison d’être (aussi appelée votre « Pourquoi ») ? Tout simplement en vous interrogeant de manière profonde : qu’est-ce qui vous procure le plus de bonheur ? Vous souvenez-vous d’un instant où vous vous êtes réellement senti à votre place ?

Laissez-moi deviner : je suis quasiment certain qu’il ne s’agissait pas du moment où vous avez acheté cette montre de luxe que vous souhaitiez acquérir depuis des mois. Ni ce moment où vous avez siroté un cocktail sur la plage.

Il s’agit plutôt d’un instant où vous avez apporté votre contribution aux autres. Un moment où vous avez mis en œuvre votre talent pour aider votre prochain. Les sentiments d’amour et de joie qui vous ont envahi à ce moment-là sont indescriptibles. À ce moment précis, vous vous êtes senti à votre place.

Votre raison d’être, il faut donc aller la chercher au plus profond de vous-même. Si vous n’y arrivez pas seul, vous pouvez tout à fait vous faire accompagner par un coach en développement personnel. Ce dernier saura vous poser les bonnes questions pour que vous puissiez trouver en vous votre mission de vie.

Astuce N° 3 : Sortir de sa zone de confort et passer à l’action

Comme pour tout objectif, pour être en phase avec soi-même, le passage à l’action est un ingrédient indispensable de la réussite.

Si la plupart des personnes ne sont pas alignées sur leurs choix et leurs valeurs, c’est parce qu’au fond d’elles-mêmes, elles ont peur du changement.

En osant sortir de votre zone de confort et en changeant volontairement vos habitudes pour atteindre vos objectifs, vous vous donnez la chance de vivre une vie plus harmonieuse. Oui, le changement peut faire peur. Mais les victoires, les leçons de vie que vous en tirerez seront bien plus gratifiantes. Et le plus important : vous ne vivrez plus avec le regret de ne pas avoir osé.

Astuce N° 4 : Vivre le moment présent

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Dans votre quotidien, vous arrive-t-il souvent de prendre un moment pour vivre l’instant présent ? Par cet instant, j’entends simplement le fait de prendre du recul sur l’activité que vous êtes en train de faire et de respirer calmement.

En réalité, peu de personnes font cet effort. Pris dans le tourbillon de vos activités, vous ne prenez pas le temps d’effectuer cette mise au point. Pourtant, en vous recentrant sur vous-même, vous pouvez plus facilement prendre conscience des émotions et des envies qui vous habitent. Avancez-vous sur le bon chemin ? Êtes-vous en phase avec vous-même ? Toutes ces réflexions ne peuvent être abouties que si vous prenez le temps de vous les soumettre. Alors, sautez le pas !

Astuce N° 5 : Lâcher prise

Au cours de vos expériences, vous ferez forcément face à des personnes qui ne possèdent pas la même vision que vous.

Apprendre à lâcher prise face à ces situations est l’une des meilleures astuces que je puisse vous recommander pour être en accord avec vous-même. Votre point de vue, vos valeurs et les choix que vous effectuez vous sont propres. Vous ne pouvez en aucun cas les imposer aux personnes qui vous entourent.

Lâcher prise va non seulement vous faire gagner en énergie, mais vous pourrez en plus vous concentrer sur ce qui compte réellement pour vous.

Astuce N° 6 : Écouter son intuition

Au-delà de vos intuitions, la raison guide-t-elle fréquemment vos choix ? Êtes-vous satisfait et aligné sur ces décisions ? Souvent délaissée (à tort), votre intuition se révèle être un allié hors du commun lorsque vous devez effectuer des choix de vie.

Cette petite voix qui vous guide, apprenez à l’écouter. La plupart du temps, elle est en effet alignée sur votre raison d’être. Suivre votre intuition revient donc à être plus en phase avec vous-même.

Astuce N° 7 : Pratiquer la gratitude

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Vivre en harmonie avec soi, mais aussi les autres n’est pas toujours facile. Vous-même, il vous arrive certainement d’être en prise à de multiples contradictions ou autres rancœurs.

Pour alléger ce stress permanent et gagner en épanouissement, la pratique de la gratitude envers vous et vos proches est un exercice extrêmement efficace. Pour l’exercer, rien de bien compliqué.

Chaque fois que vous y pensez, remerciez vos proches d’être présents à vos côtés, dites-leur que vous êtes heureux en leur présence. En ce qui vous concerne, vous pouvez exprimer votre gratitude dans un journal. Chaque jour, écrivez vos fiertés, vos joies, vos réussites. Vous allez le constater : en écrivant ce que vous ressentez de positif, vous vous sentirez plus en accord avec vous-même.

 

Cet article vous a-t-il donné envie d’être en phase avec vous-même ? Pour être désormais complètement aligné sur mes valeurs et les décisions que je prends, je peux vous affirmer que je n’ai jamais été aussi heureux. L’épanouissement est à la portée de n’importe qui, j’en suis certain. C’est d’ailleurs pour cette raison que je suis coach : je veux accompagner le maximum de personnes dans leur changement de vie.

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À très vite,

Max

L’Empathie : Qu’est-ce que c’est et Comment la développer ?

Vous connaissez certainement dans votre entourage une personne empathique. En quelques instants seulement, elle peut identifier et comprendre vos émotions. Parfois, vous n’avez même pas besoin de lui parler qu’elle lit en vous comme un livre ouvert. Car oui, l’empathie est une qualité exceptionnelle. Grâce à elle, vous pouvez mieux vous connaître, adopter une meilleure communication, mais aussi résoudre plus facilement des conflits. Vous voulez en savoir plus ? Vous souhaitez développer votre empathie ? Restez par ici, je vous en dis plus dans cet article.

L’empathie : définition

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Au quotidien, on entend beaucoup parler de l’empathie. Mais, connaissez-vous la définition exacte de ce terme ? Pour faire simple, l’empathie est l’aptitude à savoir percevoir et comprendre les émotions ou le point de vue de son interlocuteur.

Avoir de l’empathie, c’est donc pouvoir vous mettre à la place de l’autre en pratiquant l’écoute active. Vous êtes en mesure d’identifier ses sentiments tout en n’apportant ni jugement ni dévalorisation.

Cette qualité est utile, voire nécessaire, dans tous types de relations (professionnelles, personnelles ou amicales). En effet, je suis certain que vous préférez vous confier à une personne faisant preuve d’écoute et de bienveillance plutôt qu’à quelqu’un qui minimise ou critique votre situation.

Empathie cognitive et empathie émotionnelle

L’empathie se décline en deux types : l’empathie émotionnelle (ou affective) et l’empathie cognitive.

L’empathie émotionnelle n’est pas consciente. Elle reflète la capacité naturelle et instinctive d’une personne à partager les émotions de son interlocuteur. Ainsi, la personne empathique éprouve instantanément de la joie à la vue d’une personne heureuse.

Lorsque la personne se retrouve submergée par les émotions de l’autre, l’empathie affective peut dériver sur de la contagion émotionnelle. Dans ce cas précis, la personne empathique, qui se retrouve dans le même état émotionnel que son interlocuteur, ne peut malheureusement plus lui venir en aide.

L’empathie cognitive, quant à elle, est consciente. Elle caractérise l’aptitude à comprendre les émotions de l’autre tout en prenant en compte ses particularités (caractère, contexte socioculturel, etc.). Si quelque chose tracasse son interlocuteur, la personne lui apporte son soutien en s’intéressant à son problème. Au contraire de l’empathie émotionnelle, elle est en mesure de comprendre les émotions de l’autre sans toutefois les subir.

➡️ À lire aussi : Intuition : 6 conseils pour la suivre

Intelligence émotionnelle et empathie : la différence

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Il y a peu, je vous parlais de l’intelligence émotionnelle. Cette capacité à savoir identifier, contrôler, exprimer et décomposer ses propres émotions et celles des autres peut facilement être confondue avec l’empathie.

Pourtant, même si les deux termes sont liés, l’empathie ne représente en réalité qu’une composante parmi d’autres de l’intelligence émotionnelle. Une personne empathique, même si elle est capable de déceler les émotions de l’autre, ne sera peut-être pas en mesure de déchiffrer les siennes.

Une qualité utile au travail

Que vous travailliez seul ou au sein d’un grand groupe, vous vous retrouvez sans cesse au contact d’autres personnes (sauf si vous élevez des chèvres au fin fond du Larzac !). Comprendre vos interlocuteurs représente alors un réel atout que vous pouvez exploiter à des fins de réussite professionnelle.

Ainsi, si vous êtes cadre ou dirigeant, vous vous devez d’instaurer un climat de confiance favorable à la bonne croissance de l’entreprise. Avoir de l’empathie vous permet de :

  • mieux comprendre vos collaborateurs ;
  • d’anticiper leurs demandes ;
  • de gagner leur confiance et leur respect ;
  • de satisfaire leurs attentes.

En outre, être empathique vous offre la possibilité :

  • de résoudre plus facilement les conflits, les mésententes et autres malentendus ;
  • d’encourager l’intelligence collective en instaurant un climat de travail détendu ;
  • de mieux communiquer en adaptant votre discours selon votre interlocuteur ;
  • de négocier plus efficacement en vous synchronisant à l’autre.

5 astuces pour devenir plus empathique

L’empathie est une qualité qui bien maîtrisée, peut vous permettre d’apaiser vos relations. Certaines personnes en sont naturellement dotées. D’autres en revanche ont besoin de la développer. Car oui, avoir de l’empathie, ça s’apprend. Je vous délivre 5 astuces qui pourraient vous aider.

Astuce n° 1 : Mieux comprendre les émotions

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Le panel des émotions qu’un être humain peut ressentir est extrêmement large. Aux émotions primaires comme la joie ou la colère viennent s’ajouter des émotions secondaires comme le dégoût ou la surprise.

Réussir à les identifier et les nommer chez vous et chez les autres vous aide à comprendre les réactions et les comportements d’autrui.

Ainsi, je vous invite à prendre conscience de vos propres émotions. Apprenez à les accueillir, à les juguler lorsqu’elles sont trop envahissantes et identifiez leur cause.

En réalisant ce travail sur vous-même, vous posséderez une meilleure connaissance des émotions et, de ce fait, vous gagnerez en empathie. Des outils, comme le cercle des émotions, peuvent d’ailleurs vous aider.

➡️ Participez à mon séminaire développement personnel Destination Réussite. Durant cet événement exceptionnel, je vous délivre toutes les connaissances et les clés pour pouvoir atteindre tous vos objectifs de vie.

Astuce n° 2 : Ne pas émettre de jugement

Il est naturel de juger et de vouloir émettre son propre avis. Cependant, quand vous faites ceci, vous interprétez une situation selon votre propre prisme et non celui de l’autre. Vous vous exprimez avec des sentiments qui sont les vôtres.

Pour devenir empathique, essayez de prendre du recul sur chaque situation que vous auriez envie de commenter et allez au-delà des apparences. En jugeant, il est possible que vous blessiez injustement votre interlocuteur.

Je vous donne un exemple. Votre meilleur ami a lancé sa société un an auparavant. Son chiffre d’affaires a du mal à décoller. Il est inquiet pour l’avenir et se confie à vous. Qu’allez-vous lui répondre ? De votre point de vue, peut-être que votre ami n’a pas fait les efforts nécessaires pour faire décoller sa boîte. Peut-être aurait-il dû travailler davantage. Mais justement, ces « peut-être » ne sont que des suppositions. Même s’il est votre meilleur ami, vous ne vivez pas avec lui constamment. Le juger est inutile.

Astuce n° 3 : Prêter attention à l’autre

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Faire preuve de sollicitude envers l’autre est l’un des facteurs inhérents à l’empathie. Votre interlocuteur, pour être soutenu, doit se sentir écouté et compris.

Par exemple, lorsque l’un de vos proches ou collègues vous semble abattu, pensez à lui adresser un message bienveillant. Plutôt qu’un simple « ça va ? », demandez-lui comment il se sent et s’il aimerait en discuter avec vous. Si nécessaire, proposez-lui votre aide.

Astuce n° 4 : Questionner pour mieux comprendre

Une personne contrariée, triste ou frustrée, ne saura pas forcément extérioriser ses sentiments. Pour mieux la comprendre, aidez-la à exprimer ce qu’elle ressent. Cela passe par une série de questions ouvertes lui permettant de s’exprimer librement.

Non seulement cette démarche soulage votre interlocuteur, mais elle lui démontre aussi que vous éprouvez un réel intérêt envers lui.

Astuce n° 5 : Adopter un langage non verbal similaire

Au-delà de l’écoute que vous lui procurez, l’empathie passe également par votre langage non verbal. Si votre posture ou vos expressions ne sont pas adaptées à la situation, votre interlocuteur le ressentira immédiatement et comprendra votre désintérêt.

Écouter votre partenaire tout en scrollant sur votre smartphone ou encore sourire en écoutant la mésaventure de votre ami sont des attitudes opposées à toute forme d’empathie.

Au lieu de cela, adoptez l’effet miroir et connectez-vous au langage corporel de l’autre. S’il est assis, faites de même. S’il vous regarde dans les yeux, adoptez la même attitude. Je vous l’assure : cela fait toute la différence.

 

L’empathie est donc une qualité qui se travaille au jour le jour. Vous qui n’êtes peut-être pas très empathique, vous pouvez le devenir. En forgeant ce trait de caractère, vous allez le constater rapidement : vos relations sont plus saines, vraies et sereines. Ça vaut le coup d’essayer, vous ne trouvez pas ?

➡️ À lire aussi : 5 Axes de Développement Personnel à Travailler de Toute Urgence

À très vite,

Max

Auto sabotage : 6 conseils pour en finir 

L’auto sabotage est un phénomène qui nous amène à détruire toutes nos chances de réussite. C’est un mécanisme inconscient qui nous pousse vers l’échec et qui gâche notre vie. Comment pouvons-nous nous auto saboter alors que nous avons toutes les cartes en main pour être heureux ? Notre esprit étant complexe, ce phénomène prend naissance dans l’enfance pour bien s’ancrer au fil des années. Mais l’auto sabotage n’est pas une fatalité, si vous êtes capable de tout gâcher, vous êtes aussi capable de tout réussir. La clé : le vouloir, le décider et prendre les bonnes décisions ! Dans cet article, je vous explique ce trouble qu’est l’auto sabotage et je vous partage 6 conseils pour en finir définitivement.

Auto sabotage : un comportement inconscient 

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Qu’est-ce que c’est l’auto sabotage ?

L’auto sabotage est un comportement inconscient qui vise à nous mettre en échec pour ne pas atteindre nos objectifs. L’auto sabotage intervient souvent lors de grands changements dans la vie d’un individu. En proie à la peur et au doute, il va tout faire pour échouer et rester dans sa zone de confort, au détriment de son bonheur, pensant n’avoir aucun pouvoir sur les événements. 

En somme, ce sont des mécanismes inconscients que les gens mettent en place, basés essentiellement sur la peur, les doutes et la culpabilité. L’auto sabotage est un trouble lié au syndrome de l’imposteur, dans le sens où l’individu concerné se sent illégitime pour atteindre ses objectifs. 

Nous pouvons nous auto saboter dans tous nos domaines de vie : 

  • la famille ;
  • le couple ;
  • le travail ;
  • l’épanouissement personnel ;
  • les relations sociales. 

Prenons l’exemple d’un homme fraîchement divorcé, qui a perdu toute confiance en lui, mais qui désire réellement retrouver l’amour. Au fond de lui, il pense ne plus pouvoir séduire. C’est la peur de l’échec qui peut l’amener à mal se mettre en valeur et à être grossier pour ne pas séduire. Inconsciemment, il craint de rencontrer une nouvelle compagne, car cela représente un grand changement dans sa vie. 

Pourquoi nous sabotons-nous la vie ? 

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Les comportements d’auto sabotage interviennent donc lors de grands changements de vie ou dans des situations qui impliquent de grandes responsabilités. Cela peut paraître contre-nature de vouloir se saboter alors que nous sommes tous en quête de bonheur. Cependant, ce n’est pas si simple pour tout le monde. 

Pour certaines personnes, c’est justement le bonheur qui est un état contre-nature en raison de leur éducation, de leurs parents, d’un manque d’amour et de plein d’autres épreuves qui ont pu jalonner leur vie. La perte de confiance et d’espoir peut générer des blocages qui empêchent certaines personnes d’être heureuses, par peur d’être déçus ou par désir de garder le contrôle

La peur de réussir à avoir de nouvelles responsabilités ou celle de vivre une nouvelle relation peut aussi être effrayante, dans le sens où elles impliquent une sortie de sa zone de confort. Affronter une nouvelle réalité, aussi séduisante soit-elle, peut amener certaines personnes à s’auto saboter.

Les causes de l’auto sabotage peuvent être : 

  • des croyances limitantes (penser que nous ne méritons pas d’être aimés ou que nous ne sommes pas compétents, etc.) ;
  • le syndrome de l’imposteur ;
  • une faible estime de soi ;
  • la peur de l’échec, du changement et de décevoir les autres ;
  • se fixer des objectifs irréalistes.

Toutes ces causes sont basées sur nos croyances limitantes qui ont pris naissance quand nous étions enfants. Ces croyances automatiques génèrent des pensées négatives qui nous pousseront à nous nuire dans certaines situations. 

Quels sont les différents moyens de s’auto saboter ? 

  • Ne jamais rien terminer : la personne va entreprendre de nombreux projets, va se démener et accorder de nombreuses heures à son travail pour finalement ne jamais rien concrétiser. En agissant ainsi, la personne évite l’éventualité d’un échec ou de ne pas être à la hauteur. Le risque étant de se percevoir comme mauvais et incompétent et de sombrer dans le syndrome de l’imposteur.
  • La procrastination : c’est cette habitude de toujours repousser ses tâches les plus importantes. Cela traduit une peur viscérale du résultat final. En ne faisant pas les choses, on pense avoir une excuse face à l’échec.
  • Le perfectionnisme : c’est l’excuse idéale pour ne jamais rien réaliser, car la personne veut à tout prix être parfaite ou ne jamais rien terminer en modifiant sans cesse.
  • Les excuses : dans un aspect plus global, la personne peut trouver une myriade d’excuses pour justifier le fait de ne rien entreprendre par manque d’argent, manque de temps, se considérant trop âgé, etc.

En prenant conscience de ces mécanismes d’auto sabotage, vous pourrez mieux vous comprendre et y apporter les solutions les plus efficaces. Entreprendre un coaching en développement personnel, centré uniquement sur vous, peut vous faire gagner un temps infini. Il est toujours très bénéfique d’avoir un regard extérieur et d’être accompagné par une personne expérimentée et bienveillante. 

Auto sabotage : 6 conseils pour en finir définitivement 

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Améliorez votre estime de soi 

L’estime de soi, c’est le regard que l’on porte sur soi et qui est vital pour notre équilibre psychologique : comment nous percevons-nous? Aime-t-on ce que l’on voit de nous ? L’estime de soi est composée de 

  • l’amour de soi ;
  • l’image de soi ;
  • la confiance en soi.

Une personne qui manque d’estime de soi pense qu’elle ne mérite pas d’être heureuse ou d’obtenir du succès. En proie aux croyances limitantes, elle va saboter toutes ses chances d’être heureuse pour conforter sa croyance qu’elle ne mérite pas l’amour et le bonheur. 

La bonne nouvelle, c’est que l’estime de soi, ça se travaille et ça s’améliore ! Vous pouvez faire ce travail seul ou encore mieux, accompagné par un coach expérimenté et bienveillant. Je vous partage les clés de l’estime de soi : 

  • le rapport à soi-même : il est capital de se connaître, de s’accepter et de faire preuve d’honnêteté envers soi-même ;
  • le rapport à l’action : le travail sur l’estime de soi se fait toujours dans l’action, en faisant taire la critique intérieure et surtout en acceptant l’idée même de l’échec ;
  • le rapport aux autres : il est essentiel de pouvoir s’affirmer, mais aussi de savoir faire preuve d’empathie. 

Stoppez les ruminations mentales

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Ces ruminations mentales représentent les ressassements incessants de toutes nos inquiétudes et nos contrariétés. Elles se nourrissent de nos peurs. C’est un concentré de pensées négatives qui tournent en boucle dans notre esprit et qui nous épuisent. Nous ressassons les échecs passés pour en tirer des conclusions qui vont saboter notre présent. 

Mais derrière ces échecs et l’auto sabotage se cachent des comportements nuisibles qu’il est urgent de remettre en question. Si vous vous refaites le film des événements perpétuellement avec des “si j’avais su”, vous allez vous emprisonner dans un schéma de rumination mentale qui va vous empêcher de rationaliser et d’agir.  

La tendance à se décharger de ses responsabilités peut aussi vous maintenir dans la rumination mentale : croire un peu trop au destin, être trop superstitieux ou se victimiser en permanence vous empêche d’agir et vous fait ressasser. En revanche, si vous relatez vos échecs par écrit, de manière factuelle, vous pourrez en tirer des enseignements positifs et précieux. Vous seul pouvez décider de remplacer vos pensées négatives par des pensées positives

Apprenez à gérer vos peurs et vos croyances limitantes 

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Nous l’avons déjà évoqué, la peur sous toutes ses formes nourrit le phénomène d’auto sabotage. Si vous craignez l’échec, le changement, ou la solitude, vous allez mettre en place des mécanismes inconscients pour éviter ces situations. À la base, la peur nous invite à nous protéger, mais à son paroxysme, elle nous empêche d’agir. Les peurs sont propres à chacun et proviennent souvent de l’enfance et de nos expériences.

Les croyances limitantes sont des affirmations personnelles, construites elles aussi au fil de notre vie, que nous croyons vraies. Comme la peur, elles sont propres à chacun et si nous décidons de nous y accrocher, elles vont nous gâcher la vie. Mais comme la peur, si vous les identifiez, les évaluez et que vous les remettez en question, vous pourrez installer de nouveaux comportements qui changeront votre vie. 

Combattez la procrastination 

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La procrastination, c’est donc cette tendance à toujours reporter vos tâches quotidiennes les plus importantes. Souvent liée à vos rêves les plus chers, la procrastination est une armure contre l’éventualité de l’échec : en ne faisant pas, vous n’échouez pas. Mais en ne faisant pas, vous gâchez toutes vos chances d’atteindre vos objectifs et vous tomberez petit à petit dans l’auto sabotage permanent. 

Si vous désirez écrire un roman ou faire le tour du monde en voilier, la procrastination va contribuer à enlever toute réalité à ces projets pour en faire juste des fantasmes. La conséquence, c’est que vous ne réaliserez jamais ces projets qui auraient pu vous rendre heureux et vous perdrez confiance en vous. 

Pour sortir de la procrastination, imposez-vous un calendrier avec des dates précises et réalisez un plan d’action. Prenez rendez-vous avec vous-même, tenez un journal de bord pour noter précisément votre objectif et les raisons profondes qui vous animent. Ce qu’il vous reste à faire, agir ! N’attendez pas le bon moment ou la perfection, ce ne sont que des excuses qui vont vous nuire.

Cessez de vous culpabiliser 

Le sentiment de culpabilité peut aussi contribuer à l’auto sabotage : vous pouvez avoir peur de réussir autant que d’échouer. Il est fréquent que certaines personnes craignent de faire trop d’ombre à leurs frères et sœurs ou à leurs parents. L’opportunité de s’élever socialement pour des personnes aux origines plus modestes peut être paralysante. Inconsciemment, ils peuvent compromettre cette opportunité pour continuer à être acceptés par leur famille et leur communauté.

Le besoin d’être aimé et de rendre fiers ses parents est aussi un vecteur de culpabilité : vos parents ont toujours voulu que vous soyez avocat alors que vous rêviez d’être comédien. Mais comme vous avez ce besoin viscéral de rendre fiers vos parents, vous abandonnez vos rêves de théâtre alors que vous êtes pourtant très doué.  

Pour cesser de culpabiliser, il est important de bien analyser la cause du malaise, de rationaliser les événements et de surtout identifier ce que vous désirez vraiment au plus profond de vous. 

Visualisez vos succès 

autosabotage

Maintenant que vous avez conscientisé vos pensées négatives, il est nécessaire de les changer en pensées positives. En changeant votre état d’esprit, vous allez automatiquement cesser de vous autosaboter. Pour cela, prenez le temps de déterminer ce que vous souhaitez vraiment obtenir, ce qui fait vraiment sens pour vous et vous seul.

Si vous méditez, c’est un excellent moyen de lâcher prise et de visualiser votre objectif : concentrez-vous sur ce que vous souhaitez obtenir, donnez lui forme et ressentez toutes les émotions positives liées à l’atteinte de cet objectif. Engrammez cette sensation dans votre cerveau pour vous inciter à agir et à ne plus vous saborder.

Créer un tableau de vision est une aide précieuse et créative pour ancrer votre projet dans votre esprit et vous y tenir sur la durée. Une fois confectionné, accrochez votre tableau dans un endroit que vous fréquentez souvent. Pourquoi ne pas visualiser la fin de l’auto sabotage dans votre vie ? 😉

➡️ Découvrez mon article sur les bonnes résolutions afin de pouvoir les définir et vous y tenir.

Ce qu’il faut retenir 

Vous voilà maintenant un peu plus renseigné sur l’auto sabotage et ses conséquences sur votre vie. Si vous ne devez retenir qu’une seule chose, c’est que vous êtes le seul capable de changer votre état d’esprit pour cesser de compromettre vos chances de bonheur. Tout est en vous, tout part de vous, si vous agissez et que vous appliquez ces 6 conseils, vous cesserez de vous auto saboter et vous pourrez enfin vous épanouir. Je compte sur vous ! 😉 Les voici de nouveau : 

  • améliorez votre estime de soi ;
  • stoppez les ruminations mentales ;
  • apprenez à gérer vos peurs et vos croyances ;
  • combattez la procrastination ;
  • cessez de vous culpabiliser ;
  • visualisez vos succès.

À vous de me partager ci-dessous vos avis et vos conseils pour en finir avec l’auto sabotage. Je serai curieux de vous lire. Si vous lisez cet article, c’est que vous souhaitez transformer votre vie et que vous cherchez des conseils pour y parvenir. C’est le bon moment pour participer à mon séminaire développement personnel, toutes les clés de votre succès vous y attendent.

À bientôt, 

Max  

 

La Communication Non Violente : le Guide Complet

Connaissez-vous la communication non violente ? Aussi appelée CNV, cette puissante méthode de communication peut résoudre et même éviter bien des conflits. De plus en plus utilisée en management, mais aussi en éducation, cette technique facilite les relations avec autrui et encourage des valeurs fortes comme le respect et l’empathie. La CNV, vous en avez entendu parler et vous souhaitez en apprendre plus ? Vous désirez savoir comment l’appliquer au quotidien et dans quel contexte ? De son origine à ses bienfaits, je vous dis tout sur la communication non violente !

L’origine de la communication non violente

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Dans les années 60, le docteur américain Marshall Rosenberg théorise pour la première fois la communication non violente (couramment raccourcie par son acronyme CNV). Fortement influencé par son professeur Carl Rogers, mais aussi Gandhi, il lui tient à cœur de divulguer au plus grand nombre cette méthode de communication.

Tout au long de sa carrière, il forme ainsi à la non-violence diverses communautés américaines faisant face à des conflits sociaux économiques ou raciaux.

En 1984, fort du succès et de l’engouement qu’il rencontre avec son approche, il fonde le Centre pour la Communication non violente. Basé à Austin, le CNVC (Center for Nonviolent Communication) organise désormais des formations sous forme de stages partout dans le monde.

Souhaitant encore élargir son champ d’action et présenter concrètement sa méthode, Marshall Rosenberg publie en 1999 un livre sur la CNV intitulé « Nonviolent Communication : a language of compassion ». Les mots sont des fenêtres (ou des murs), la traduction française de l’ouvrage, est à présent un best-seller, utile à toute personne souhaitant en savoir plus sur le sujet.

La CNV : qu’est-ce que c’est ?

La communication non violente est une technique de communication basée sur des qualités comme l’empathie, l’humanité et le respect.

Utilisée principalement à l’oral, cette méthode a pour but de modifier un conflit en dialogue apaisé. Elle s’applique aussi bien avec des personnes que vous rencontrez pour la première fois que des proches (amis, famille ou collègues).

Grâce à elle, vos relations individuelles ou en groupe sont pacifiées et plus respectueuses des envies et attentes de chacun.

La communication non violente ne peut être comparée à une thérapie. Malgré tout, le simple fait de développer vos qualités pour améliorer vos relations vous permet aussi de travailler votre développement personnel.

Aujourd’hui, de nombreuses formations sur la communication non violente, en présentiel ou en ligne, existent. C’est en outre une pratique très utilisée en coaching professionnel ou personnel.

Les 4 étapes de la CNV

La théorie de Marshall Rosenberg sur la communication non violente se base sur quatre étapes simples. En respectant leur ordre, vous communiquez de manière plus bienveillante. L’autre ne se sent ni jugé ni contraint.

Étape N° 1 : Observer et évaluer les faits

Pour cette première étape, constatez objectivement la situation sans la juger.

Car, lorsque vous laissez libre cours à votre colère, vous accusez et attribuez la cause de la mésentente à votre interlocuteur. Or, ces jugements, comparaisons ou menaces le déstabilisent et ne font qu’envenimer la situation.

Étape N° 2 : Exprimer ses émotions

Énoncez simplement vos émotions telles que vous les ressentez à l’instant. N’accusez pas l’autre d’en être la source. Il est ainsi inutile de lui dire que vous vous sentez trahi, rejeté ou incompris. À la place, exprimez vos ressentis réels (vous êtes en colère, triste, fatigué, déçu, etc.).

Étape N° 3 : Identifier ses besoins

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Pour cette troisième étape, identifiez de manière claire vos besoins.

Pour ce faire, il vous faut puiser à l’origine de vos sentiments et trouver quels sont vos besoins insatisfaits. Dans cet ordre, votre cheminement (de l’émotion vers le besoin) est particulièrement intéressant. En effet, il vous permet de mieux comprendre vos désirs, mais aussi de mieux les exprimer.

Étape N° 4 : Réaliser sa demande

Une fois votre émotion et votre besoin exprimés, vous pouvez formuler avec bienveillance votre demande. Il est nécessaire qu’elle soit énoncée de manière claire et précise.

En effet, cette demande va ouvrir le dialogue et ne doit pas susciter d’incompréhension quelconque. Votre but premier est que votre demande soit satisfaite. Pour cela, votre interlocuteur ne doit ressentir dans votre message aucune injonction ni critique.

Quels sont ses bienfaits ?

Dans le milieu personnel ou professionnel, la communication non violente peut apaiser des situations tendues et garantir un climat plus serein. Elle s’avère notamment bénéfique dans les cas suivants.

En développement personnel

L’empathie est l’une des qualités primordiales à posséder pour utiliser la CNV. Pour la développer, vous apprenez à mieux vous connaître en pratiquant l’auto-empathie, mais aussi à mieux écouter les autres.

Cette qualité vous est utile avec vos proches, mais aussi vos collaborateurs. Vous simplifiez vos relations, êtes plus à l’écoute de vos ressentis et de ceux des autres et gérez plus facilement les mésententes.

En éducation

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Vous êtes parent ? La communication non violente est une puissante méthode de communication qui va vous permettre d’améliorer vos relations avec votre enfant. En effet, tout lui en posant des limites et en exprimant votre besoin, vous lui permettez également d’accueillir ses émotions et de mieux les accepter.

C’est aussi l’occasion pour lui d’assimiler des qualités et des valeurs fondamentales, telle que le respect de soi et d’autrui, l’humanisme et bien sûr l’empathie.

Dans le cadre professionnel

La communication non violente prend de plus en plus sa place en entreprise, particulièrement chez les cadres et dirigeants. Et pour cause : une entreprise ne peut se développer que sur des relations saines et stables. Une bonne communication et un engagement des équipes sont donc nécessaires.

En tant que manager, apprendre la CNV vous permet de :

  • Mieux vous connaître : vous développez votre empathie et apprenez à mieux vous écouter.
  • Mieux accepter et gérer vos émotions, mais aussi celles des autres : vous, comme vos collaborateurs, contrôlez vos émotions sans les réprimer. Vous êtes en mesure de les accepter et d’en faire calmement part aux autres.
  • Résoudre un conflit plus rapidement : plutôt que de réagir sous le coup de l’émotion, vous exprimez calmement vos ressentis à vos collaborateurs. Vous pouvez ainsi résoudre la situation de manière plus rapide et sereine.
  • Développer votre leadership : vous pratiquez un management plus empathique et collaboratif. Votre équipe n’en est que plus motivée.

Au sein d’une équipe, la communication non violente est source de nombreux avantages. Elle permet à vos collaborateurs de :

  • Se sentir libre de s’exprimer : ils traduisent plus facilement leurs émotions et ressentis, ce qui vous permet de mieux les connaître.
  • Développer leur intelligence émotionnelle : ils gèrent leurs émotions plus aisément et développent leur confiance en soi.
  • Évoluer dans un environnement de travail sain : grâce à la CNV, les relations sont plus franches et apaisées. Les conflits sont également résolus plus rapidement.
  • Se rapprocher de leurs collègues : une équipe soudée est l’un des principaux facteurs qui favorisent la croissance d’une entreprise.
  • Aborder des sujets épineux sans agressivité : tout mécontentement ou axe de progression est abordé sans hostilité. Le but est de faire comprendre à l’autre son ressenti, puis d’envisager conjointement une solution.

Quid de la communication non violente dans le couple

L’écoute, la compréhension de l’autre et le respect sont des valeurs primordiales à appliquer si vous souhaitez une relation amoureuse saine.

Le manque de communication ou des émotions exprimées de la mauvaise manière sont souvent source de conflit au sein d’un couple. La méthode de la communication non violente peut, de ce fait, résoudre bien des incompréhensions.

En pratique, la CNV permet d’éviter reproches, accusations et autres critiques. En l’utilisant, vous exprimez vos propres ressentis et amorcez le dialogue tout en douceur. Plutôt que de se sentir agressé, votre partenaire est prêt à écouter votre demande et à se remettre en cause si nécessaire.

3 exercices pour pratiquer la communication non violente au quotidien

Comme dans toute discipline ou pratique, la théorie est indispensable. Toutefois, ne négligez en aucun cas le passage à l’action ! La communication non violente n’est pas une méthode qui s’acquiert du jour au lendemain.

Si vous souhaitez être à l’aise avec cette technique, il vous faut la pratiquer au quotidien, et ce, pendant plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Vos débuts seront balbutiants (vous penserez sans cesse aux 4 étapes à appliquer). Mais petit à petit, vous n’y penserez même plus !

Pour vous améliorer rapidement, quelques exercices peuvent être effectués de manière régulière. Je vous en cite trois dès maintenant.

Exercice N° 1 : Savoir gérer sa colère

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Tout le monde peut ressentir de la colère. Moi le premier ! En revanche, lorsque celle-ci devient hors de contrôle, elle envenime les relations. De plus, en exprimant mal votre colère, vous tombez dans le jugement de l’autre.

Cet exercice de communication non violente peut vous aider à la canaliser.

En premier lieu, si la colère vous tombe dessus, ne criez pas. Si elle est trop intense, n’hésitez pas à quitter les lieux. Prenez alors un moment pour écouter vos ressentis émotionnels comme physiques (votre respiration est-elle saccadée, votre corps est-il soumis à des tensions, etc.).

Cette pause, même courte, vous permet d’ordonner vos pensées. Elles sont tout de suite plus claires. Vous êtes ainsi en mesure d’identifier quels sont vos besoins et quelles sont les causes de votre colère.

Cette phase terminée, vous pouvez ensuite accueillir votre émotion. Peut-être même que celle-ci n’est pas le seul ressenti qui vous habite. La tristesse, la fatigue ou encore la peur peuvent prendre le relai.

Pour finir, avant de vous exprimer, veillez bien à formuler dans votre tête une demande claire et sans jugement.

Exercice N° 2 : Pratiquer l’écoute bienveillante

Avec cet exercice, vous développez votre bienveillance et votre empathie. Ces qualités sont indispensables si vous désirez entretenir des relations saines et sans conflit.

En premier lieu, vous accueillez ce que dit l’autre sans intervenir ni donner votre avis (qu’il soit positif ou négatif). En aucun cas, vous ne lui coupez la parole. Vous êtes attentifs à ce qu’il vous dit et essayez de comprendre ce qu’il ressent sans y apporter de jugement.

Lorsque votre interlocuteur s’arrête de parler, veillez à reformuler simplement ce qu’il vous a dit. Décrivez alors ses sentiments et essayez de deviner, s’il ne les a pas exprimés, quels sont ses besoins. Interrogez-le : votre reformulation est-elle correcte ? Pour finir, seulement s’il vous le demande, exprimez votre avis.

Exercice N° 3 : Exprimer sa gratitude

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Savoir exprimer votre gratitude est un puissant exercice pour développer votre communication non violente. Quotidiennement, apprenez à la manifester sous toutes ses formes.

Dites à vos proches, à vos collaborateurs, à quel point vous êtes reconnaissant de l’aide qu’ils vous apportent. Soulignez leurs victoires et exposez-leur vos émotions. Êtes-vous satisfait, comblé, heureux ?

En plus de vous procurer du bien-être, la gratitude comblera également votre interlocuteur. Vraiment, il n’y a pas de quoi s’en priver.

Ce qu’il faut retenir

Vous connaissez à présent les principes de la communication non violente. Cette méthode, en plus de faciliter vos relations, va vous permettre de développer des qualités telles que le respect et l’empathie.

Quoi qu’il en soit, retenez bien les 4 étapes fondamentales de la CNV :

  1. observation des faits ;
  2. évaluation de ses émotions ;
  3. reconnaissance de ses besoins ;
  4. demande claire et bienveillante.

Si désormais, vous avez envie de passer à l’action, je vous en félicite ! Pour vous aider à évoluer personnellement et professionnellement, j’organise chaque année le séminaire développement personnel Destination Réussite. Pendant ces trois jours, vous apprenez à mieux vous connaître, identifier vos blocages et dépasser vos limites. J’ai hâte de vous rencontrer !

À très vite,

Max.

Dépendance Affective : qu’est-ce que c’est et comment s’en sortir ?

Comment vivre sa vie sereinement si l’on cherche sans cesse l’approbation des autres ? Comment prendre confiance en soi si l’on est dépendant d’un autre pour chacune de ses décisions ? La dépendance affective est pernicieuse. Au sein d’une relation amoureuse, d’une amitié et parfois même au travail, elle est source, pour la personne dépendante, d’une immense souffrance. Car être dépendant affectif, c’est en quelque sorte, renier son droit au bonheur. Vous ou l’un de vos proches, vous trouvez dans cette situation ? Vous désirez sortir de la dépendance affective ? Je vous explique tout dans cet article !

Dépendance affective : définition

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Une personne est considérée comme dépendante affective lorsqu’elle recherche sans cesse l’approbation et le jugement positif de l’autre. Tout ce qu’elle entreprend nécessite le consentement de son partenaire, proche, ami ou collègue.

Peu à peu, le dépendant affectif se met donc instinctivement en retrait vis-à-vis des autres. Il perd également de vue ce qui compte vraiment pour lui. Ses choix et son avis ne comptent plus réellement, tant qu’ils sont approuvés par l’autre. Ce comportement, en plus de lui faire perdre toute estime et confiance en soi, l’éloigne de plus en plus du bonheur et de l’épanouissement personnel.

Cette dépendance affective entraîne même parfois des dérives bien plus graves. Humiliations, violences physiques et psychologiques ou encore harcèlement : cette peur de l’abandon, notamment au sein d’un couple, peut faire accepter à la personne dépendante affective des comportements intolérables.

Quels sont les principaux symptômes de cette dépendance ?

La dépendance affective reste méconnue. Bien souvent, une personne souffrant de ce trouble n’en a même pas conscience.

Voici quelques exemples de signes pouvant refléter une dépendance affective au sein d’une relation :

  • la difficulté à se séparer de l’autre ;
  • la difficulté à prendre seul des décisions ;
  • la demande d’un avis sur chaque projet entrepris ;
  • la surveillance constante de l’autre ;
  • l’impossibilité d’imaginer une vie sans son partenaire ;
  • une relation trop fusionnelle ;
  • la sollicitation continuelle de l’autre ;
  • le refus que l’autre pratique des activités de son côté ;
  • etc.

Tous ces comportements traduisent chez la personne dépendante affective une immense peur de la solitude. Avec son partenaire, proche ou ami, elle éprouve un besoin irrépressible de se reposer sur lui, car elle est incapable de se rassurer elle-même. Faire le moindre choix est compliqué, parce qu’elle ne souhaite déplaire à personne.

Pourquoi devient-on dépendant affectif ?

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Comme beaucoup de troubles psychologiques, la dépendance affective naît bien souvent dans l’enfance. Un enfant ayant reçu trop peu d’affection, ayant souffert d’un manque d’attention ou ayant été responsabilisé très jeune est ainsi plus à même de devenir dépendant affectif à l’âge adulte. En effet, il a très vite compris que son avis passait après celui des autres et qu’il valait mieux se placer en retrait plutôt que d’être le centre de l’attention.

Adulte, une personne dépendante affective pense que, pour être aimée et appréciée, elle doit être réservée. Un avis sur ce qu’elle entreprend et le regard des autres compte énormément pour elle. Elle éprouve d’ailleurs un stress immense à l’idée d’un possible désaccord vis-à-vis de ses actes ou de ses décisions.

Au-delà des traumatismes conscients ou inconscients de l’enfance, on remarque également des traits de caractère communs aux personnes dépendantes affectives. Ce comportement peut notamment survenir chez des personnes manquant de confiance en soi, renfermées, timides ou encore hypersensibles.

La dépendance émotionnelle touche-t-elle uniquement le couple ?

Bien qu’elle survienne majoritairement au sein d’une relation amoureuse, la dépendance affective touche aussi les autres types de relations.

Ainsi, à l’instar d’une relation de couple, une amitié peut rapidement devenir toxique à cause de la dépendance affective. La personne dépendante, très attachée à son ami, pourra exiger de lui une relation exclusive et sera même jalouse à l’idée qu’il fréquente ou côtoie d’autres gens. Quelles que soient les preuves d’amitié qui lui sont données, elle sera toujours insatisfaite.

De même, une sujétion proche de la dépendance affective peut aussi s’instaurer au travail. Une personne ayant un fort besoin de reconnaissance sollicitera plus souvent son manager ou ses collègues. Dans le cadre de missions collectives ou d’un challenge personnel, cette subordination peut vite devenir handicapante. La personne dépendante se remet constamment en question. Par peur de l’échec, elle fait preuve d’un perfectionnisme à l’extrême ou, au contraire, procrastine. Tous ces éléments mis bout à bout lui font ressentir un irrépressible syndrome de l’imposteur.

Dépendance affective : comment en sortir ?

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Avant toute chose, la personne dépendante affective doit avoir conscience de son trouble. En effet, si elle reproduit ce schéma depuis l’enfance sans en connaître d’autres, il est probable qu’elle ne se rende pas compte du tort qu’elle cause à elle-même et aux autres.

Pour vaincre la dépendance affective, elle peut déjà réaliser quelques exercices de son côté comme :

  • commencer à prendre des décisions, même minimes, sans l’approbation de l’autre ;
  • passer un après-midi ou une journée seule une fois par semaine ;
  • ne pas hésiter à donner en premier son avis lors d’une discussion commune ;
  • noter ses progrès dans un carnet ;
  • etc.

En plus de ces exercices, un soutien psychologique ou un coaching personnel sera souvent nécessaire. En effet, la dépendance affective entraîne une énorme perte d’estime de soi. Pour la retrouver, l’œil et le point de vue extérieur d’un professionnel de l’accompagnement sont particulièrement efficaces. Cela permet à la personne d’identifier et de soulever ses peurs et blocages pour ensuite vivre sa vie de manière plus sereine et épanouie.

Livres sur la dépendance affective : 3 titres à découvrir pour la surmonter

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Commencer à lire des livres de développement personnel a changé ma vie. Car c’est à leur lecture que je me suis décidé à évoluer, à devenir meilleur. Ainsi, si vous pensez souffrir de dépendance affective, je suis persuadé que ces quelques lectures vous aideront à redresser la barre ou, au minimum, prendre conscience qu’un changement est possible.

Dépendance affective : Six étapes pour se prendre en main et agir — Geneviève Krebs

Geneviève Krebs est psychopraticienne en thérapies brèves, auteure et coach spécialiste de la dépendance affective. Avec cet ouvrage, elle vous aide à mieux comprendre ce trouble tout en vous expliquant de manière concrète comment sortir de ce schéma de dépendance affective.

Vaincre la dépendance affective — Sylvie Tenenbaum

Cet ouvrage représente une excellente alternative au précédent. Sylvie Tenenbaum est psychothérapeute, certifiée en PNL, analyse transactionnelle, hypnose ericksonienne et analyse systémique.

Son analyse de la dépendance affective et de ses mécanismes est pointue. Dans Vaincre la dépendance affective, vous découvrez comment vous libérer de cette dépendance. L’auteure vous invite également à une véritable introspection intérieure. S’aimer soi-même, mieux se connaître, gagner en authenticité : ces thèmes y sont abordés avec franchise et sincérité.

50 exercices pour sortir de la dépendance affective — Géraldine Prévot Gigant

Avec ce livre sur la dépendance affective, on passe au concret. Ces 50 exercices, truffés de tests, quiz et questionnaires, vous aideront à aimer sans dépendance. Vous apprendrez notamment à :

  • faire le point sur votre degré d’attachement ;
  • développer votre estime de soi ;
  • visualiser l’amour d’une autre façon que sous le joug de la dépendance ;
  • ne plus répéter les mêmes schémas ;
  • tirer un trait sur l’amour idéal.

Vous possédez désormais toutes les clés pour bien comprendre la dépendance affective. Cette pathologie se soigne aujourd’hui très bien. Pour s’en sortir, la solution la plus plébiscitée reste l’accompagnement par un psychologue ou un coach personnel. Cette solution permet en effet à la personne dépendante émotionnellement de comprendre et casser son schéma de dépendance.

➡️ Au-delà d’un accompagnement, vous souhaitez travailler votre confiance et votre estime de soi ? Venez participer à mon séminaire développement personnel Destination Réussite. Pendant ce week-end de trois jours, je vous apprends tous les secrets qui me permettent, à ce jour, de vivre pleinement ma vie. Je vous promets trois jours extrêmement riches : tant en enseignements qu’en émotions !

À très vite,

Max

Intuition : 6 Conseils pour la Suivre et la Développer 

L’intuition est un phénomène beaucoup trop abstrait pour les uns, une vérité absolue provenant de son inconscient pour les autres. Ce qui est certain, c’est que l’intuition a toujours guidé les êtres humains depuis des temps immémoriaux, l’intuition agissant comme une vraie boussole. De nos jours, ce sixième sens est toujours présent, nous l’avons tous en nous, c’est à nous de l’écouter et de nous y fier. Il est courant dans nos sociétés manichéennes, d’opposer l’intuition à la raison, il est plus judicieux de les voir comme des alliés qui nous montrent le chemin. L’être humain étant multiple, l’intuition l’est aussi, dans cet article je vous explique ce phénomène passionnant. Je vous donne également 6 conseils pour la développer au quotidien. C’est parti ! 😉

L’intuition : qu’est-ce que c’est et pourquoi l’écouter ? 

intuition

Ça veut dire quoi avoir de l’intuition ?

La définition de l’intuition peut être délicate à saisir, dans le sens où l’on fait appel à des notions plus subtiles, détachées du mode de raisonnement logique habituel. L’étymologie du mot intuition est intéressante : il vient du latin intuitio qui signifie “l’acte de voir d’un seul coup d’œil.” L’intuition est donc une information, une connaissance immédiate et pertinente qui vient à nous de manière subite et indépendamment de toute raison

Certains la définissent comme cette petite voix intérieure ou ce sixième sens qui nous guide à faire des choix, sans trop savoir pourquoi, juste en se faisant confiance. L’intuition vient sûrement de notre inconscient et elle surgit dans notre vie au moment opportun. Une chose est sûre, c’est que l’intuition naît à l’intérieur de nous et bien qu’étrange, ce phénomène guide l’être humain depuis la nuit des temps. 

“Qui regarde à l’extérieur, rêve. Qui regarde à l’intérieur s’éveille.” Carl Gustav Jung

Comment s’exprime l’intuition ? 

L’intuition peut s’exprimer de différentes manières, notre inconscient véhiculant des messages sous trois différentes formes : 

  • le ressenti ;
  • la vision ;
  • la pensée juste.

Les intuitions nous arrivent souvent sous forme sensorielle, elles passent automatiquement par notre corps. Il existe plusieurs types d’intuitions que vous avez sûrement déjà expérimentés : vous rencontrez votre nouveau collègue pour la première fois, vous lui serrez la main et vous vous sentez mal à l’aise, vous avez l’impression que ça ne va pas fonctionner avec lui, car vous ne le “sentez pas”. 

Il y a aussi l’intuition qui vous amène à faire une action immédiate sans trop savoir pourquoi. Par exemple, vous vous rendez à votre lieu de travail, vous prenez exceptionnellement un chemin différent et vous rencontrez un ami que vous n’avez pas vu depuis des années. C’est un hasard heureux, une vision immédiate qui vous a aidé à faire un choix judicieux sans explications rationnelles. 

Vous pouvez aussi avoir cette intuition de la pensée juste qui vous fait prendre des décisions pertinentes, là aussi sans explications rationnelles : vous cherchez à acheter une maison, celle que vous vous apprêtez à acheter est parfaite, mais votre sixième sens vous dit de ne pas signer le compromis de vente. Plus tard, vous pourrez vous apercevoir que ce choix venu de nulle part fut judicieux. Nous vivons ce type de manifestation fréquemment, pour les voir, il suffit juste de leur laisser de la place et d’ouvrir son esprit à plus de subtilités. 

Pourquoi est-il bénéfique de suivre son intuition ?

Bien souvent, nous reconnaissons nos intuitions en ne les suivant pas. Combien de fois n’avons nous pas fait confiance à notre petite voix intérieure pour le regretter amèrement par la suite. Combien de fois, vous avez pu vous dire : “je le savais dès le départ, j’aurais dû suivre mon intuition”. Et à chaque fois, votre première impression était souvent la bonne. 

Effectivement, pour laisser de la place à l’intuition, vous devez un peu lâcher le raisonnement logique pour ouvrir votre esprit. Le monde intuitif est à la portée de tous et traduit l’essence même de votre être. C’est en cela qu’il est bénéfique de cultiver ses intuitions, elles vous guideront toujours vers ce qui est le meilleur pour vous.

Avoir de l’intuition, ce n’est pas faire de la magie ou abandonner complètement la logique. Bien au contraire, avoir de l’intuition, c’est regarder attentivement ce qu’il y a à l’intérieur de vous pour vous guider dans la matière et vous faire confiance en prenant les bonnes décisions. L’intuition et la raison peuvent être des alliés précieux pour vous aider à transformer votre vie

Si c’est le moment pour vous de changer votre vie et de vous épanouir enfin pleinement, participez à mon séminaire développement personnel Destination Réussite

6 conseils pour écouter et développer votre intuition 

Apprivoisez la solitude et le calme intérieur 

intuition

De nombreuses personnes craignent la solitude et la fuient le plus possible. Et pourtant, c’est le moyen le plus efficace de retrouver son calme intérieur pour accueillir les intuitions. Je ne vous suggère pas là de vous isoler dans une cabane au fond des bois et de vivre comme un ermite, mais juste de cultiver un peu plus les moments de solitude. 

S’isoler quelques heures avec soi-même, ne pas être parasité par le bruit et l’agitation d’une vie moderne et effrénée, vous donnera accès à votre intériorité et les trésors qui s’y cachent : vos intuitions. Être seul et au calme vous permettra de les ressentir, de les voir ou de les entendre. Prenez juste ce moment pour vous et soyez prêt à accueillir ce que votre inconscient a à vous révéler, votre vie n’en sera que plus enrichie. 

Cultivez l’empathie 

intuition

L’empathie, c’est pouvoir se mettre à la place des autres et ressentir ce qu’ils ressentent. Une personne empathique fait appel à des qualités intérieures ainsi qu’à des notions plus subtiles pour pouvoir déceler ce que ressent l’autre. Empathie et intuition sont donc des phénomènes très liés. Souvent, les personnes intuitives sont très empathiques et inversement, car elles sont dans l’écoute active d’elle-même, mais aussi des autres. 

L’empathie peut être une aptitude innée, mais sachez que tout comme l’intuition, elle s’apprend. Les occasions de travailler votre empathie sont aussi nombreuses que les personnes que vous côtoyez au quotidien. Prenez le temps de vous mettre à la place des autres : commencez par votre entourage proche, votre conjoint par exemple et essayez de le comprendre avant de réagir. 

➡️ Découvrez mon article sur les langages de l’amour.

Vous pouvez réaliser cet exercice avec autant de personnes que vous rencontrez, il va améliorer vos relations avec les autres, vous inciter à écouter votre petite voix intérieure et à faciliter la venue de votre intuition.

Prêtez attention aux coïncidences

intuition

Je suis persuadé que vous avez vécu de nombreuses coïncidences dans votre vie. Une coïncidence, c’est quand deux événements sans rapport se percutent dans votre quotidien pour faire sens à vos yeux. Par exemple, vous pensez à votre meilleur ami que vous n’avez pas vu depuis longtemps, le téléphone sonne et c’est ce dernier qui vous appelle. 

“Ce qu’on ne veut pas savoir de soi-même finit par arriver de l’extérieur comme un destin.” Carl Gustav Jung

Il est aussi important de savoir ouvrir son esprit sur les coïncidences et d’y prêter attention, elles peuvent aboutir à de précieuses intuitions. Si vous devez visiter une maison et qu’à chaque fois la visite n’arrive pas à se dérouler ou qu’elle est repoussée, il y a peut-être quelque chose à déduire. Comme le dit Carl Gustav Jung, la vie se charge parfois de vous guider pour affûter votre intuition et vous amener à prendre les bonnes décisions. 

Soyez à l’écoute de votre corps et de ses signaux 

intuition

Nous l’avons évoqué plus haut, les intuitions se manifestent par des sensations corporelles

  • des picotements ;
  • le coeur qui s’emballe ;
  • une boule au ventre ;
  • une sensation d’étouffement ;
  • une plénitude absolue ;
  • une personne que l’on “ne sent pas”, etc.

En restant à l’écoute de ces sensations, vous pourrez identifier celles qui reviennent le plus souvent lorsque vos intuitions se manifestent. En fait, notre cerveau serait capable de capter des informations sensorielles avant notre conscience afin d’y répondre au mieux. 

Chaque individu manifeste son intuition de manière différente. En étant plus attentif à vos sensations, sans trop rationaliser, vous saurez mieux identifier vos intuitions et les développer. Pour cela, vous devez vraiment prendre soin de vous et être à l’écoute de votre corps et de votre esprit.

Tenez un journal 

intuition

Si vous aimez écrire, tenir un journal quotidien de vos intuitions peut se révéler être un moyen efficace pour les développer. Prenez l’habitude de noter toutes vos intuitions mais aussi les sensations corporelles qui s’y rattachent. Ainsi, vous pourrez mieux les identifier quand elles surviennent.

Ensuite, notez les événements avec précision : relatez les moments où vous n’avez pas écouté votre intuition et ceux où vous l’avez écoutée. Relatez également les conséquences dans chacune des situations afin de pouvoir établir des liens entre vos ressentis et ce qu’il s’est passé. Ce qui est intéressant, c’est de pouvoir revenir dessus afin d’en tirer des enseignements, voir des évolutions et améliorer l’écoute de vos intuitions. 

Vous pouvez également noter dans votre journal les astuces et les conseils qui fonctionnent le mieux pour vous. Ce type de témoignage écrit est sûrement la meilleure manière de suivre vos progrès pour développer votre intuition au quotidien.

Initiez-vous à la méditation et à la respiration consciente  

intuition

L’état méditatif est une technique efficace pour faciliter la survenue des intuitions. En effet, la méditation vous contraint à prendre ce temps calme pour vous et à regarder à l’intérieur de vous. La méditation est un merveilleux moyen de vous connecter à ces notions plus subtiles qui favorisent l’intuition. 

Méditer, c’est tourner son attention vers soi et ses sensations corporelles tout en étant dans le moment présent, avec bienveillance et sans jugement. Nul besoin de prendre la position du lotus, vous pouvez méditer en : 

  • marchant seul dans la forêt ;
  • pratiquant un art ;
  • écoutant de la musique ;
  • jardinant, etc.

Pensez à pratiquer la respiration consciente dans vos différentes activités, mais aussi en tant qu’exercice seul comme la cohérence cardiaque : 3 fois par jour, 6 respirations par minute, pendant 5 minutes. En vous connectant à votre souffle, vous allez oxygéner votre cerveau, le synchroniser avec votre cœur et tracer le chemin de votre intuition.

Un coaching de développement personnel peut vous aider à faire confiance à votre intuition mais aussi à la développer pour transformer votre vie.

Ce qu’il faut retenir 

Vous en savez maintenant un peu plus sur l’intuition et comment l’écouter et la développer au quotidien. Je le répète, ce phénomène ne relève pas de la magie, quand bien même il est nécessaire de se détacher un peu de la logique. Votre intuition peut vraiment vous aider à prendre les bonnes décisions, celles qui seront les plus pertinentes et qui feront sens pour vous. Pour cela, c’est à vous de jouer et d’appliquer ces 6 conseils pour devenir une personne de plus en plus intuitive, je vous les rappelle à nouveau : 

  • apprivoisez la solitude et le calme intérieur ;
  • cultivez l’empathie ;
  • prêtez attention aux coïncidences ;
  • soyez à l’écoute de votre corps et de ses signaux ;
  • tenez un journal ;
  • initiez vous à la méditation à la respiration consciente.

Que pensez-vous des intuitions ? Partagez-moi en commentaires ci-dessous, vos intuitions les plus significatives, celles qui ont contribué à changer le cours de votre vie. Je serai curieux de les connaître.

➡️ Lisez mon livre Réussite Maximum pour transformer votre vie durablement.

À très vite,

Max

 

 

Intelligence Émotionnelle : Qu’est-ce que c’est et comment la développer ?

L’intelligence émotionnelle : en avez-vous déjà entendu parler ? Cette habileté à savoir déceler, comprendre et analyser ses émotions et celles des autres est aujourd’hui largement sous-estimée. Une personne sera en effet beaucoup plus admirée pour les connaissances et aptitudes qu’elle possède plutôt que pour sa capacité à gérer ses émotions. Pourtant, depuis les années 90, notre connaissance en la matière a beaucoup évolué. Nous savons aujourd’hui que l’intelligence émotionnelle peut littéralement booster votre efficacité et vos performances. En la possédant, vous irez bien plus loin que la plupart des gens, même ceux qui, à vos yeux, semblent plus intelligents ! Vous voulez en savoir plus ? Dans cet article, découvrez ce qu’est l’intelligence émotionnelle et apprenez à la développer ! Bonne lecture. 😉

Intelligence et émotions : deux termes a priori opposés

l_intelligence_emotionnelle

À première vue, intelligence et émotions sont deux termes que tout oppose. Ainsi, une émotion, réaction primaire à un événement, ne semble pas compatible avec une capacité de raisonnement ou d’analyse.

Pour cette raison, le QI ou Quotient Intellectuel, a longtemps représenté la seule mesure valable de l’intelligence d’un individu. Toutefois, on sait désormais que cette mesure est largement incomplète ! D’autres facteurs, tout aussi primordiaux, entrent en jeu. Les plus importants sont les suivants :

  • l’éducation ;
  • l’environnement familial ;
  • le contexte social ;
  • le caractère.

L’intelligence émotionnelle se situe au cœur de ces facteurs. Car, à titre personnel, comme collectif, elle joue un rôle primordial dans l’épanouissement et la performance d’un individu.

Intelligence émotionnelle : définition et origine

Qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle ?

L’intelligence émotionnelle traduit la faculté à savoir discerner, contrôler, exprimer et décrypter ses propres émotions, mais aussi celles des autres. Cette habileté est bien plus puissante qu’elle n’y paraît.

Au-delà de l’intelligence dite « rationnelle », qui inclut notamment le raisonnement logique, l’intelligence émotionnelle est un atout d’épanouissement inégalable. En possédant un fort QE (Quotient Émotionnel) :

  • Vous comprenez mieux vos ressentis.
  • Vous ne réagissez plus sous le coup de l’émotion (vos sautes d’humeur sont rares).
  • Vous savez capter les informations émotionnelles des autres (à leur expression ou à leur voix par exemple).
  • Vous êtes en mesure de mieux répondre aux émotions des autres.
  • Votre prise de décision est en adéquation totale au contexte.

➡️ À lire aussi : Comment contrôler ses émotions ? | La formule magique

L’origine de l’intelligence émotionnelle

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Le terme d’intelligence émotionnelle apparaît pour la première fois en 1990. Ce concept a depuis été théorisé de multiples façons.

Peter Salovey et John Mayer, tous deux psychologues, sont ainsi les premiers à définir un modèle d’intelligence émotionnelle. Celui-ci s’articule en quatre branches :

  1. la perception des émotions chez soi et chez les autres (via le langage verbal et non verbal) ;
  2. l’intégration des émotions pour faciliter la réflexion et la prise de décision ;
  3. la compréhension des émotions, terme qui se rapporte à l’empathie ;
  4. la gestion de ses émotions et de celles des autres pour atteindre ses objectifs.

Peu à peu, d’autres professionnels s’intéressent au sujet. Daniel Goleman, journaliste scientifique et psychologue, s’est inspiré du travail de Salovey et Mayer pour créer son propre modèle. Celui-ci est construit autour de 5 axes principaux :

  1. la conscience de soi et l’habileté à comprendre ses émotions ;
  2. la maîtrise de ses sentiments ;
  3. l’automotivation ;
  4. l’empathie ;
  5. les aptitudes sociales.

Bien maîtrisés, ces axes représentent un formidable outil pour développer son efficience décisionnelle.

L’ouvrage de Goleman, intitulé « l’intelligence émotionnelle », est aujourd’hui un best-seller et une référence pour qui veut approfondir le sujet.

En 1997, le docteur Reuven Bar-on introduit le terme de Quotient Émotionnel (QE). Il définit quant à lui l’intelligence émotionnelle comme l’habileté d’une personne à performer en s’adaptant aux exigences et pressions de son environnement. Dans son modèle entrent notamment en compte les compétences intrapersonnelles et interpersonnelles, l’adaptabilité, la gestion du stress et l’humeur générale.

Ainsi, au-delà de l’aptitude à déchiffrer et accueillir ses émotions et celles des autres, on comprend que l’intelligence émotionnelle regroupe bien d’autres habiletés. L’assurance, l’honnêteté, l’empathie, la résilience, l’ouverture d’esprit ou encore le pouvoir de persuasion sont des qualités intrinsèques de l’intelligence émotionnelle.

L’importance de développer son intelligence émotionnelle

Sur le plan professionnel, comme personnel, être doté d’un haut degré d’intelligence émotionnelle ne présente que des avantages. En effet, cela vous permet :

  • de mieux maîtriser vos émotions, par conséquent vos actions ;
  • de mieux accepter vos sentiments ;
  • de développer votre confiance en soi ;
  • d’avoir de meilleures relations (à la maison comme au travail) ;
  • de mieux communiquer avec votre entourage ;
  • de développer vos habiletés sociales et professionnelles ;
  • etc.

Quelle est son utilité au travail ?

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Vous êtes manager ou chef d’entreprise ? De nombreuses recherches en neurosciences le prouvent : la réflexion et la prise de décision sont liées à vos émotions. Trop les négliger revient donc à une forme d’autosabotage.

En effet, selon Daniel Goleman, précurseur dans le domaine, deux tiers de vos résultats sont dus à vos compétences émotionnelles. Plus celles-ci sont développées, plus vous serez à même de comprendre, motiver et influencer positivement vos équipes.

Car il faut bien comprendre que la réussite d’une entreprise n’est pas simplement le fruit des connaissances et aptitudes techniques de ses collaborateurs. Ces derniers, qui évoluent ensemble au sein de l’organisation, doivent également pouvoir s’exprimer, bien communiquer et collaborer sereinement. Tout conflit, toute incompréhension peut ralentir, voire complètement stopper l’évolution de l’entreprise.

Bien entendu, développer son intelligence émotionnelle au travail ne se fait pas en un jour. Mais si vous avez déjà compris l’importance de l’améliorer, vous avez déjà fait un grand pas, croyez-moi. 😉

Développer son intelligence émotionnelle en 3 étapes

Je suis certain que vous l’avez remarqué : vos émotions prennent une place importante dans votre vie. Pire, quand celles-ci prennent le dessus, elles la gouvernent littéralement ! Alors, comment réussir à contrer cette prise de pouvoir ? En boostant votre intelligence émotionnelle bien sûr ! Pour ce faire, vous pouvez suivre ces trois étapes simples.

Étape N° 1 : Nommer ses émotions

Identifier et nommer vos émotions est primordial pour booster votre intelligence émotionnelle. Si vous n’arrivez pas à les caractériser précisément, vous ne pourrez pas les gérer, tout simplement.

Ainsi, jour après jour, apprenez à mettre un mot sur vos émotions et dites-le à voix haute. Cette simple action va vous permettre de réguler radicalement votre émotion.

➡️ À lire aussi : Le cercle des émotions : un outil pour mieux les comprendre

Étape N° 2 : Les accueillir

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Une fois votre émotion identifiée, ne la chassez pas de votre esprit. Acceptez-la pendant quelques instants. Si vous êtes en colère, dites-le à voix haute sans pour autant vous juger.

Les émotions négatives, comme la tristesse, la colère, la frustration, sont des ressentis normaux que tout le monde rencontre plus ou moins souvent. Vous ne devez pas en avoir honte. En acceptant cette émotion, vous allez vous rendre compte qu’au bout de quelques minutes, elle s’amenuise pour finalement s’évacuer par le corps.

Étape N° 3 : Changer son P.M.F.

Pour terminer, je vous encourage à changer votre P.M.F. (Physiologie, Monologue, Focus). Cette stratégie, je la détaille dans tous mes séminaires, car je suis convaincu de son efficacité.

La Physiologie

Comment utilisez-vous votre corps ? Comment respirez-vous, comment bougez-vous ? Quelle est votre posture ? Votre physiologie est bien plus importante que vous ne le pensez. Elle influe immanquablement sur votre état émotionnel. L’inverse est aussi exact : votre état émotionnel entraîne généralement une posture particulière.

Ainsi, une tête basse, des sourcils en position oblique et des commissures inclinées vers le bas traduiront de la tristesse. Au contraire, un sourire franc, des épaules en arrière et un visage détendu seront synonymes d’une émotion positive, comme la sérénité ou la joie.

Pour cette raison, je vous invite tout de suite à modifier consciemment votre posture le plus souvent possible. Une émotion négative vous submerge ? Transformez alors votre physiologie, comme si vous éprouviez un sentiment positif. Respirez calmement et patientez quelques instants. Je suis certain qu’après ce court exercice, vous vous sentirez déjà bien mieux.

Le Monologue

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Toute la journée, des pensées nous assaillent. Ce monologue intérieur, comme je l’appelle, engendre nombre d’émotions. Et ce sont justement ces dernières qui déclenchent nos actions.

Alors, à votre avis, que se passe-t-il si vous parlez constamment de manière négative ? Si vous répétez sans arrêt que vous n’êtes pas à la hauteur, que vous êtes un incapable ? Vos actions, vos choix reflèteront ces pensées !

Au contraire, si vous choisissez d’inverser la balance en parlant de manière positive, si vous commencez à vous interroger sur la nature même de vos émotions, vous verrez instantanément un changement chez vous.

Le Focus

Sur quoi vous concentrez-vous au quotidien ? Sur vos problèmes et vos échecs ? Ou sur vos réussites et vos axes d’amélioration ? Croyez-moi, le fait de se concentrer uniquement sur le positif est l’un des axes majeurs pour gagner en intelligence émotionnelle.

Daniel Goleman évoque d’ailleurs l’automotivation comme l’un des axes principaux de l’intelligence émotionnelle. C’est exactement de cela qu’il s’agit ! Pratiquer la gratitude, parler de manière positive va influencer votre façon d’être sur le long terme.

Comprenez-vous désormais l’utilité de développer votre intelligence émotionnelle ? Au-delà de vos connaissances et aptitudes indispensables, cette habileté va vous permettre de passer à un niveau supérieur dans votre vie. J’espère vous avoir convaincu !

➡️ Vous voulez travailler votre développement personnel ? Vous souhaitez connaître les clés qui vous aideront à performer et atteindre tous vos objectifs de vie ? Venez participer à mon séminaire développement personnel Destination Réussite. Chaque année, durant tout un week-end, je vous délivre toutes mes connaissances en la matière pour que vous puissiez améliorer durablement votre vie !

Je vous dis, à très vite.

Max