L’Indécision : Qu’est-ce que c’est et Comment s’en Sortir ?

Vous êtes-vous déjà retrouvé paralysé à l’idée de prendre une décision importante ? Préférez-vous suivre l’avis des autres plutôt que d’avoir à choisir ? Cet état d’esprit porte un nom : il s’agit de l’indécision. Sans vous en rendre compte, cette incapacité de faire un choix est un véritable boulet que vous trainez. Cette constante incertitude vous bloque et vous empêche de réaliser les objectifs que vous vous êtes fixés. Vous souhaitez en savoir plus sur cette attitude ? Vous voulez en sortir ? Découvrez dans cet article ce qu’est l’indécision et comment la combattre !

L’indécision : définition

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L’indécision se traduit par l’incapacité de faire un choix. Des choix, vous devez en faire tous les jours. Du plus anodin (quel pantalon fais-je porter aujourd’hui ?) au plus complexe (quel chemin vais-je prendre dans mon business ?), vous êtes constamment confronté à ces prises de décisions qui, quelquefois, vous donnent du fil à retordre.

Peur de l’échec, peur d’offenser ou encore peur du regard des autres : ce qui vous pousse à l’indécision est en réalité une véritable source de mal-être et une confrontation à vos propres angoisses. Devant un choix difficile, vous vous posez mille et une questions. Vous essayez, tant bien que mal, d’anticiper les conséquences de tel ou tel choix.

Ceci peut se révéler particulièrement angoissant. Surtout lorsque vous vous retrouvez face à plusieurs décisions difficiles à prendre au même moment.

Face à cette incertitude, vous pouvez au contraire avoir l’impression de contrôler la situation. Ne pas faire de choix vous donne l’illusion de vous trouver dans un certain confort. Pourquoi tenter le diable en risquant de faire le mauvais choix ? Indirectement, vous espérez même que vos proches prennent le taureau par les cornes et décident à votre place ! C’est une certaine forme de couardise, vous ne trouvez pas ?

D’où vient cette incapacité de faire un choix ?

L’indécision peut toucher chacun d’entre nous. Toutefois, certains sont plus touchés que d’autres :

  • Une personne au caractère perfectionniste : cherchant à tout prix l’excellence, elle aura tendance à analyser en profondeur une situation avant de prendre sa décision. Ceci n’est pas une tare en soi, car, dans certains cas, cette prudence amène à de meilleurs choix. Néanmoins, à trop vouloir la perfection, cette personne n’agit pas. Mieux vaut fait que parfait, n’est-ce pas ?
  • Un adulte ayant hérité de ce trait de caractère : ayant grandi avec des parents eux-mêmes indécis, cette personne possède un schéma de pensée similaire. Si elle souhaite avancer, il est indispensable qu’elle se détache de cette croyance.
  • Une personne voulant plaire à tout le monde : enfant, on lui a répété que le regard des autres était très important. Que faire plaisir était primordial pour être aimé. Cet état d’esprit pousse indirectement à l’indécision et force à croire que se calquer sur l’avis des autres est préférable.

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Quelles sont les conséquences de cette incertitude ?

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Poussée à l’extrême, l’indécision est néfaste, tant pour vous que pour vos proches. Un indécis aura en effet beaucoup plus de difficultés à affirmer et assumer ses choix. Il sera perçu comme une personne au caractère effacé. Quelqu’un à qui on ne demande plus l’avis puisque l’on sait pertinemment qu’il répondra « comme vous voulez », « ça m’est égal, choisissez pour moi ».

Car, c’est un fait établi, faire preuve d’une indécision constante vous pousse à l’immobilisme. Englué dans vos sempiternelles réflexions, vous n’avancez pas vers vos objectifs. Or, je l’ai toujours dit : le passage à l’action est primordial pour pouvoir vivre la vie dont vous rêvez.

Pour vos proches, la situation peut être plus ou moins difficile à vivre. En les poussant à prendre une décision à votre place, vous leur transférez la responsabilité de vos actes.

Parfois, lassés de votre attitude, certains choisissent tout simplement de prendre de la distance. D’autres peuvent réagir avec colère, vous forçant à faire ce choix que vous repoussez sans cesse.

Pour vous aider à faire face à vos responsabilités, il est préférable que vos proches adoptent une tout autre attitude. Ils peuvent ainsi :

  • peser avec vous les pour et les contre ;
  • dédramatiser la situation (même si vous échouez, vous serez en mesure de rebondir) ;
  • vous aider à faire le deuil du choix non pris ;
  • vous soutenir après la prise de décision et dans les conséquences qu’elle implique.

Mes 6 conseils pour sortir de l’indécision

Même si votre indécision est un trait de caractère hérité de votre enfance, sachez qu’en travaillant sur vous, vous avez le pouvoir de changer. Rien n’est irréversible, je vous l’assure !

Conseil N° 1 : Apprendre à se connaître

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Pour sortir de l’indécision, la première chose que vous pouvez faire est d’apprendre à mieux vous connaître. J’évoquais précédemment les possibles causes de l’indécision. Pour sortir de cet état d’esprit, savoir pourquoi vous agissez ainsi est primordial.

Seul ou accompagné d’un coach en développement personnel, vous devez essayer d’identifier vos blocages. Ce n’est qu’à partir de ce moment-ci que vous pourrez les briser et dépasser cette indécision chronique.

Au-delà de l’identification de ces blocages, prenez conscience de vos préférences, de vos besoins et de vos objectifs. Identifiez vos forces et vos faiblesses et tirez-en parti. Au fil du temps, vous allez le constater, votre estime et votre confiance en soi augmenteront. Vous éprouverez alors moins d’appréhension à l’idée de prendre une décision importante.

Conseil N° 2 : Se renseigner un maximum sur le sujet

Votre peur de l’inconnu joue une part importante dans votre indécision. Car il est vrai que personne n’aime se confronter à quelque chose qu’il ne connaît pas.

Pour éviter de vous poser trop de questions sans réponse, efforcez-vous de collecter le plus d’informations possible sur le sujet. Vous souhaitez devenir coach professionnel, mais n’osez pas vous lancer ? Renseignez-vous sur ce métier, collectez des témoignages ! Vous avez besoin de déléguer, mais avez peur de ne pas choisir la bonne personne ? Assurez-vous de bien la connaître en lui posant le maximum de questions. Votre intuition fera le reste.😉

Conseil N° 3 : Imaginer les conséquences et peser les pour et les contre

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L’indécision est une terrible source de stress. Pour en sortir, je vous conseille de réaliser cet exercice.

Isolez-vous dans un endroit calme et demandez à ne pas être dérangé. Muni d’une feuille et d’un crayon, écrivez noir sur blanc toutes les conséquences que pourrait engendrer votre choix.

Pour chaque décision possible, pesez les pour et les contre. Imaginer tous les scénarios qui pourraient se produire va vous permettre de dédramatiser la situation et de mieux évaluer les éventuels risques encourus. Pour cette étape, essayez d’être le plus neutre possible, cela vous aidera dans votre prise de décision.

Conseil N° 4 : Se laisser du temps

Ne dit-on pas que la nuit porte conseil ? Bien que je vous pousse à passer à l’action, je ne vous encourage pas à l’impulsivité ! Une décision importante se doit d’être réfléchie. Malgré tout, un temps de réflexion trop long n’est pas bon non plus ! Pour vous aider, imposez-vous une date butoir. Le délai passé, prenez votre décision.

Conseil N° 5 : Assumer ses choix

Au-delà de la prise de décision en elle-même, assurez-vous d’assumer votre choix. Ainsi, même si les conséquences ne sont pas celles que vous espériez, restez déterminé et continuez d’avancer. Une réaction négative n’engendrerait, au contraire, que de la déception et de la frustration.

Conseil N° 6 : Ne pas avoir peur de l’échec

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Personne ne réussit tout ce qu’il entreprend. Acceptez le fait, qu’en prenant cette décision, vous pouvez échouer, vous pouvez vous tromper. Si cet échec arrive, ne le voyez pas comme une fatalité, mais plutôt comme une leçon qui va vous permettre d’avancer vers votre objectif. Croyez-moi : grâce à cet état d’esprit, vous avancerez dix fois plus vite vers votre but !

 

Comprenez-vous désormais l’importance de sortir de l’indécision ? Cette attitude, vous pouvez la changer, même si elle vous a été transmise dans votre enfance. Je dis toujours qu’il faut avoir le courage de passer à l’action, de sortir de sa zone de confort. Aller au-delà de l’indécision pour accomplir ses objectifs est un acte fort. Et je sais que vous en êtes capable !

À très vite,

Max

Hacker son cerveau : 5 techniques pour vaincre ses peurs 

Hacker son cerveau revient à pouvoir le modifier pour changer notre rapport à certains événements, notamment face à nos peurs. Il ne s’agit pas là de science fiction, mais bel et bien d’agir pour améliorer nos comportements et être plus heureux dans notre vie. Nous avons tous des peurs plus ou moins ancrées en nous qui peuvent nous gâcher la vie. Il est important de comprendre que dans la plupart des cas ces peurs ne sont pas fondées et qu’il est possible de mieux les appréhender. Pour cela, vous devez comprendre le fonctionnement de votre cerveau et connaître les techniques qui vous permettront de progresser. Dans cet article, je vous fais découvrir 5 techniques pour hacker votre cerveau et vaincre vos peurs. C’est parti !

Hacker son cerveau, ça veut dire quoi ?

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Hacker son cerveau, c’est en quelque sorte contrecarrer ses habitudes pour en créer de nouvelles, bien plus bénéfiques pour soi. Le terme hacker est un mot anglais qui signifie pirate informatique. Un hacker pirate des sites web, des logiciels, mais peut aussi contourner des systèmes de sécurité afin d’effectuer des changements.

Disons qu’hacker son cerveau, c’est un peu le même principe, le but étant de rentrer dans son cerveau pour mettre en place de nouvelles connexions neuronales qui produiront de nouveaux comportements. Les neurosciences ont largement démontré ces dernières années le phénomène de plasticité neuronale. Pendant de nombreuses années, la science pensait que le cerveau se dégradait une fois atteint l’âge adulte. 

Au cours du XXème siècle, non seulement cette idée a été remise en question, mais il a été aussi admis que le cerveau pouvait s’organiser et créer de nouveaux neurones. Ainsi, notre cerveau peut se modifier en fonction des expériences affectives, psychiques et cognitives que nous vivons. Hacker son cerveau, c’est utiliser la plasticité neuronale pour pouvoir le modifier à son avantage. 

Comment marche le mécanisme de la peur dans le cerveau ?

La peur est une émotion d’anticipation qui nous informe d’un danger potentiel pour nous inviter à nous protéger. La peur prend naissance dans la partie la plus ancienne de notre cerveau : le cerveau reptilien. Selon le docteur Paul D. MacLean, au début de l’humanité, les dangers étaient perpétuels, les êtres humains devaient se protéger pour sauver leurs vies et celles de leur tribu. Ce mécanisme de peur était essentiel à la survie de l’espèce

Ce mécanisme est toujours ancré dans notre cerveau et nous guide au quotidien encore aujourd’hui. Sauf que de nos jours, notre vie n’est plus menacée dès notre réveil ! C’est dans le cerveau reptilien que les pensées automatiques surviennent. Par exemple, je me retrouve nez à nez avec une araignée, si c’est ma phobie, je vais penser automatiquement qu’elle va me faire du mal et que je dois sauver ma vie. Mon conjoint veut me parler d’une chose sérieuse, si j’ai peur de l’abandon, je vais penser automatiquement qu’il va me quitter. Suivant votre éducation, votre environnement et vos expériences de vie, les peurs sont multiples : 

  • peur de la mort ;
  • peur du rejet ;
  • peur de l’échec ;
  • la peur du changement ;
  • la peur de la peur elle-même.

Pour pouvoir hacker son cerveau, il est essentiel de comprendre que la peur est une interprétation de la réalité et qu’elle n’engage que nous. Mais aussi que bien souvent, notre vie n’est pas en danger et qu’il est bon de l’interpréter autrement : 

  • De quoi ai-je peur ?
  • Que se passerait-il si mes pires craintes se réalisaient de la pire manière qui soit ?
  • Est-ce que je survivrai ? 

Il existe des astuces et des techniques pour hacker votre cerveau et vaincre vos peurs. Elles sont efficaces si elles sont appliquées avec rigueur et surtout avec régularité, c’est la répétition qui modifie vos connexions neuronales et qui implémente de nouveaux comportements.

Si vous souhaitez ne plus vivre dans la peur, lisez mon livre Réussite Maximum et transformez votre vie durablement.

5 techniques pour hacker son cerveau et vaincre ses peurs 

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Activez le circuit de la récompense 

Votre cerveau est dans une recherche constante du plaisir et pour en avoir toujours plus il met en place un circuit de la récompense pour vous motiver. Dans ce mécanisme, votre cerveau va sécréter de la dopamine (hormone du plaisir) qui est un élément majeur dans la motivation. En associant du plaisir à un comportement, vous le reproduirez. 

La survie de notre espèce est basée sur ce système de récompense, le plaisir sexuel associé à la reproduction permet à l’humanité de perdurer depuis des millions d’années. Dans une époque plus récente, l’avènement des réseaux sociaux doit tout au circuit de la récompense grâce aux likes qui nous injectent du plaisir immédiat en perfusion. 

Imaginons que vous ayez peur de la prise de parole en public, pour hacker votre cerveau, partagez vos craintes dans un article de blog ou sur les réseaux sociaux pour recevoir des encouragements. Filmez ou enregistrez la réaction de vos interlocuteurs qui sont bien souvent bienveillants, interrogez-les sur votre prise de parole pour qu’ils vous encouragent à continuer. En recevant des réactions gratifiantes et en ressentant du plaisir, vous aurez la motivation de recommencer et de finir par surmonter vos peurs. 

Entrez en cohérence cardiaque  

La cohérence cardiaque est un exercice de respiration qui permet d’apaiser son niveau de stress et d’anxiété mais aussi de surmonter nos peurs. Le cœur est composé entre autres, de 40 000 neurones et tout l’intérêt de cet exercice de respiration est de synchroniser le cœur et le cerveau. Lors d’émotions fortes comme la peur, l’accélération cardiaque est provoquée par des stimulis du cerveau.

En pratiquant la cohérence cardiaque, vous garderez un équilibre entre votre système sympathique (déclenché en cas de stress et qui accélère le rythme cardiaque) et le système parasympathique (qui est un système de récupération, de repos et de relaxation contribuant au ralentissement du rythme cardiaque). Lors d’une prise de parole en public par exemple, pratiquez ces exercices de respiration pour être calme et détendu : 

  • 3 fois par jour ;
  • 6 respirations ; 
  • pendant 5 minutes.

En pratiquant la cohérence cardiaque, vous allez hacker votre cerveau, le synchroniser avec votre cœur et vous pourrez surmonter toutes sortes de peurs avec plus de calme et de sérénité. 

Pratiquez la méditation 

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La méditation est une pratique issue du bouddhisme qui s’est largement intégrée en occident pour en faire une pratique laïque, la plus courante étant la méditation de pleine conscience. La pleine conscience, c’est porter son attention sur l’expérience du moment présent avec bienveillance et sans jugement. 

La méditation de pleine conscience va donc mobiliser votre capacité d’attention et votre discernement sur le moment présent. Vous pouvez adopter une posture de méditation classique, les yeux fermés ou ouverts, mais vous pouvez aussi être assis, couché ou debout. Vous pouvez faire votre méditation en marchant, en faisant la vaisselle ou en pratiquant un art. L’essentiel étant de revenir à vous et au moment présent. 

Il est évident que lors d’une méditation, les pensées s’échappent, vous pensez aux choses que vous devez faire ou à la nouvelle couleur du mur de votre chambre. C’est parfaitement humain, l’important est juste de revenir régulièrement au moment présent. La méditation contribue à muscler votre cerveau pour faire de la place et installer de nouveaux comportements.

Selon Antoine Lutz, docteur en neurosciences cognitives, la pratique régulière de la méditation permet d’activer certaines zones du cerveau qui commandent :

  • notre attention ;`
  • nos émotions ;
  • notre présence au monde. 

La méditation permet donc de hacker son cerveau en initiant des changements qui vont vaincre les peurs. La méditation ne fait pas disparaître nos peurs, elle modifie notre rapport aux peurs. Elle permet d’appréhender la peur telle qu’elle est et de s’habituer à elle. Une araignée aussi grosse soit elle ne peut pas vous faire autant de mal que vous le craignez. 😉

Essayez la méthode V.E.R.A

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Notre cerveau marche un peu comme un ordinateur. Depuis notre enfance, nous avons reçu différents « programmes » sur le sujet de l’argent, des relations, de ce qui est possible et impossible… Pour tout vous dire, j’ai moi-même eu de nombreuses croyances limitantes qui me freiner dans ma réussite. Mais après avoir travailler sur moi, j’ai mis en place une méthode très efficace que j’ai dénommé la V.E.R.A (Visualiser, Écrire, Ressentir et Affirmer).

La méthode V.E.R.A permet de « reprogrammer » son esprit avec des pensées positives qui deviennent alors « automatique ». Fondée sur des étuds en neuroscience, cette méthode à démontré son efficacité sur des dizaines de milliers de personnes, notamment lors de mon séminaire phare « Destination Réussite ».

Cette méthode très puissante consiste à visualiser le résultat que vous voulez afin de permettre à votre cerveau de le voir et donc d’y croire également. Puis il est important de l’écrire régulièrement et de le ressentir pour programmer votre esprit et développer de nouvelles croyances. Et enfin il est important d’exprimer vos nouvelles convictions en utilisant des affirmations positives.

➡️ Pour en savoir plus sur la méthode V.E.R.A découvrez mon article comment reprogrammer son cerveau et transformer sa vie

Apprenez à côtoyer vos peurs 

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Dans un premier temps, il est crucial de reconnaître vos peurs, de les assumer et d’en parler. Reprenons l’exemple de la peur de prendre la parole en public, si vous la gardez pour vous et que vous en faites un tabou, vous allez rentrer dans un cercle vicieux qui ne fera que nourrir cette peur. 

Ensuite, faire preuve de courage vous sera salvateur. Le courage pour surmonter ses peurs, signifie de s’y confronter, de les côtoyer pour s’y habituer et changer ses réactions. De plus, en faisant preuve de courage, vous allez ressentir de la fierté, cette fierté viendra activer votre circuit de la récompense et vous inciter à continuer à être courageux pour vaincre vos peurs. 

Je suis bien conscient que ce n’est pas facile d’affronter ses peurs et certaines sont issues d’événements traumatisants, mais je vous assure que c’est le meilleur moyen pour hacker votre cerveau et vaincre vos peurs les plus ancrées. Soyez indulgent avec vous-même et prenez le temps, allez-y petit à petit. Si vous avez la phobie des araignées, ne commencez pas tout de suite par vous immerger dans une pièce pleine d’araignées comme dans Fort Boyard ! Vous pouvez commencer par les regarder sur une image ou à l’écran, adoptez la stratégie des petits pas et soyez régulier, c’est de cette manière que vous en viendrez à bout. 

Ce qu’il faut retenir 

Hacker son cerveau pour modifier ses comportements et vivre une vie plus sereine n’a jamais été aussi accessible. Que ce soit seul ou aidé par un thérapeute, vous avez toutes les cartes en main pour agir, vaincre vos peurs et changer votre vie. En appliquant ces techniques, vous empruntez déjà le bon chemin, je vous les rappelle à nouveau : 

  • activez le circuit de la récompense ;
  • entrez en cohérence cardiaque ;
  • pratiquez la méditation ;
  • essayez la méthode V.E.R.A ;
  • Apprenez à côtoyer vos peurs.

Avez-vous déjà hacké votre cerveau ? Quelles sont les techniques que vous utilisez pour modifier vos comportements et vaincre vos peurs ? Je serai ravi et curieux de les connaître. Je peux vous accompagner à changer votre mindset pour vivre enfin la vie de vos rêves, si vous êtes prêt à vivre cette expérience rejoignez moi lors de mon séminaire développement personnel Destination Réussite

À bientôt,

Max

 

 

FOMO : Qu’est-ce que c’est et comment s’en défaire ?

Vous éprouvez des sueurs froides rien qu’à l’idée de manquer une soirée avec vos amis ? La pensée même de rater un déjeuner business vous rend anxieux ? Si c’est le cas, vous souffrez probablement de la FOMO (Fear Of Missing Out). Cette peur de manquer quelque chose d’important est de plus en plus récurrente. Et elle touche les jeunes, comme les plus âgés. Mais que signifie-t-elle exactement ? Quels sont ses symptômes et comment s’en débarrasser ? Restez par ici, je vous dis tout sur la FOMO.

FOMO : à quoi correspond ce sentiment ?

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Définition de la FOMO

La FOMO, acronyme de Fear Of Missing Out, se traduit littéralement par la « peur de manquer quelque chose », comme :

  • la dernière tendance à la mode ;
  • un diner au restaurant avec ses amis ;
  • un événement culturel comme un concert, un festival, une exposition ;
  • une soirée business et réseau ;
  • la dernière stratégie business qui fonctionne ;
  • les dernières actualités ;
  • etc.

Cette peur, qui a toujours existé, s’est fortement accentuée ces dernières années. En effet, avec la montée en puissance des réseaux sociaux et le développement de smartphones toujours plus performants, nous avons accès à l’information 24 heures sur 24.

Que ce soit sur Twitter, Instagram, Facebook ou encore Tik Tok, nous visualisons des contenus informatifs, inspirants, drôles. Et tout cela en illimité ! De quoi en perdre la tête, n’est-ce pas ?

Les signaux qui doivent alerter

Cette peur de rater quelque chose de primordial est pernicieuse. En effet, la plupart d’entre nous n’ont même pas conscience qu’ils souffrent de la FOMO. Car même si vous vous savez plus ou moins accro aux réseaux sociaux, vous en défaire ne vous semble pas insurmontable.

Les symptômes et signaux d’alerte relatifs à ce syndrome sont divers. En voici quelques exemples :

  • une présence constante sur les réseaux sociaux pour ne rater aucun événement ou nouvelle tendance ;
  • un partage sur les réseaux sociaux de tout ce qui se passe de positif dans votre vie ;
  • une déconnexion impossible, même lors d’événements familiaux ou amicaux ;
  • l’angoisse de ne pas récolter assez de likes ou de commentaires sous vos publications ;
  • un sentiment d’irritation lorsque vos proches parlent d’un événement pour lequel vous n’étiez pas présent ;
  • une angoisse à l’idée que vos proches vivent des expériences plus excitantes que les vôtres ;
  • une peur de ne pas être au fait des expériences de vos amis ou de votre famille ;
  • une inquiétude à l’idée que vos amis se divertissent sans vous ;
  • une frustration de ne pas assister à un événement en raison de vos obligations familiales ou professionnelles ;
  • etc.

Ce que cette peur de manquer dit de vous

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D’où peut bien venir cette peur incontrôlable de manquer quelque chose ? Qu’est-ce qui entraîne cette pathologie ?

Bien souvent, j’ai remarqué que la FOMO cachait un fort besoin d’appartenance à un groupe. De plus, la majorité possède également une faible estime de soi.

Lorsque vous vous rendez à un événement important ou une réunion entre amis, vous comblez votre besoin d’affection, d’amour ou de reconnaissance. Interagir avec d’autres personnes sur les réseaux sociaux vous emplit de satisfaction.

Vous avez réellement besoin de ces rencontres, qu’elles soient physiques ou virtuelles. Cela vous donne l’impression d’avoir un rôle à jouer dans la société.

Au contraire, si vous ne pouvez vous rendre à un événement enrichissant, penser à toutes les discussions que vous allez manquer, vous procure un fort sentiment de stress, voire d’anxiété. Votre sensation de solitude se renforce et votre peur de l’oubli et de l’abandon se manifeste.

Quelles sont les conséquences de la FOMO ?

La FOMO est une réelle pathologie reconnue par les psychologues. Comme toute affection, cette angoisse apporte donc son lot de répercussions, tant physiques que psychologiques :

  • des problèmes de sommeil ;
  • une difficulté à se concentrer ;
  • une comparaison à l’autre constante ;
  • un sentiment d’être exclu ;
  • l’impression que la vie des autres est plus enrichissante ;
  • un sentiment d’infériorité ;
  • etc.

Comment la surmonter ?

Comme tout blocage, peur ou angoisse, le syndrome de la FOMO n’est pas irréversible et se soigne. D’ailleurs, certains exercices pour en venir à bout peuvent être mis en place.

Travailler son estime de soi

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Le besoin d’appartenance, la peur de la solitude et de l’oubli : tout ceci traduit un manque d’estime de soi important. Une bonne estime de vous-même est source de confiance en l’avenir. Elle vous permet également d’accomplir vos objectifs plus rapidement.

Travailler son estime de soi est une activité de tous les jours. Vous pouvez par exemple :

  • prendre du temps pour vous ;
  • vous autocongratuler pour vos succès ;
  • pratiquer la pensée positive ;
  • arrêter de vous plaindre en permanence ;
  • ne plus vous comparer aux autres ;
  • etc.

Désinstaller certaines applications de votre smartphone

La simple pensée de supprimer certaines applications de votre smartphone vous fait peur ? Pourtant, c’est bien la meilleure chose à faire pour se débarrasser de cette addiction.

Scroller en permanence, se tenir informé des prochains événements, interagir sur les réseaux sociaux : ces activités sont stimulantes pour votre cerveau. Mais en abusant de ces pratiques, votre smartphone se transforme en véritable drogue !

Réaliser une détox digitale peut être salvateur. Sans les réseaux sociaux, vous retrouvez goût à d’autres activités oubliées telles que la cuisine, la lecture ou encore les loisirs créatifs. Vous disposez par ailleurs de plus de temps pour travailler ou profiter de votre famille. Au fil des jours, la FOMO s’étiole pour disparaître complètement.

💡 Si toutefois, vous avez besoin des réseaux sociaux (par exemple pour votre activité professionnelle), je vous conseille alors de réguler votre temps d’utilisation. Sur chaque application, vous pouvez instaurer une limite de temps. Celle-ci va vous permettre de vous discipliner et vous évitera de passer des heures devant les écrans.

Apprendre à apprécier la solitude

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Les personnes souffrant de la FOMO éprouvent en général une difficulté à être seul. Ce fort besoin de socialisation se traduit par une peur incontrôlable de la solitude (physique, comme virtuelle).

Pour contrer ce sentiment, le mieux que vous pouvez faire est d’apprendre à passer quelques moments seul, sans être connecté. Au début courts, ces instants peuvent s’allonger au fil du temps. C’est l’occasion de vous recentrer sur vous et de retrouver la vraie valeur de votre temps.

 

Syndrome découlant de notre société ultra-connectée, la FOMO n’est pas une fatalité. Comme je vous l’indiquais, il est primordial de prendre du recul sur vos actes pour prendre conscience des choses qui comptent réellement pour vous.

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À très vite,

Max

Syndrome de la Bonne Élève : Qu’est-ce que c’est et Comment le Vaincre ? 

Le syndrome de la bonne élève touche majoritairement les femmes en raison de leur éducation et de clichés qui ont la vie dure. Cependant, vouloir tout faire parfaitement, ne pas prendre en compte ses besoins, être dépendant du jugement extérieur, avoir un manque de confiance peut aussi transcender les genres. Nous voulons tous bien faire, moi le premier, c’est humain et plutôt saint. En revanche, quand cela vire à l’obsession et que cela génère un mal-être, il est important de s’en rendre compte et d’agir. Ce syndrome de la bonne élève, vous pouvez l’éprouver au travail, mais aussi dans votre vie professionnelle et familiale. La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas une fatalité et que vous pouvez le vaincre. Je vous explique tout dans cet article. 😉

Le syndrome de la bonne élève, ça veut dire quoi au juste ? 

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Définition et origines

Le syndrome de la bonne élève, c’est une tendance à vouloir tout faire parfaitement et d’attendre constamment les félicitations de ses proches et de ses supérieurs. Ce comportement incite à toujours faire passer les autres en premier et à être dépendant du jugement extérieur.

À l’instar du syndrome de l’imposteur, le syndrome de la bonne élève n’est pas une maladie ni une pathologie. C’est un ensemble de traits de caractères et de comportements répétés qui visent la perfection et l’excellence quoi qu’il en coûte. Ce comportement peut se retrouver dans la vie privée, mais il est évidemment surtout présent dans le monde du travail et de l’entreprise en mettant l’individu sous pression.

Le syndrome de la bonne élève se construit dès l’enfance. Il se développe au sein de l’école traditionnelle, les enfants apprenant à : 

  • obéir ;
  • se taire ;
  • bien faire ; 
  • avoir de bonnes notes ;
  • être sages ; 
  • être récompensés ; 
  • être punis.

D’ailleurs, les conseils de classe attribuent à chaque fin de trimestre, des encouragements, des compliments, des félicitations ou des sanctions. Cette vision assez manichéenne du bien et du mal dans le cadre de l’école peut être accentuée par la pression familiale. Les parents peuvent soumettre leurs enfants à un haut niveau d’exigence, conditionnant leur amour aux bons résultats scolaires et au bon comportement de leur enfant. Ce dernier se sent dans l’obligation d’être parfait

La personnalité joue aussi un rôle important dans l’intensité du syndrome. Un enfant hypersensible sera plus impacté qu’un enfant d’un naturel plus intrépide. Le syndrome de la bonne élève met en cause un déséquilibre dans le développement psychologique d’un individu qui va rester emprisonné dans l’atteinte de la perfection. Cependant, cette façon scolaire de fonctionner n’a plus lieu d’être dans le monde de l’entreprise, les critères de réussite étant différents.  

Pourquoi parler de ce syndrome au féminin ?

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Ce syndrome peut aussi toucher les hommes, mais effectivement dans une proportion très inférieure. En effet, les psychologues et les sociologues s’accordent à dire que ce syndrome affecte majoritairement les femmes. En cause, un mode d’éducation différent pour les petites filles et une société qui accorde plus le droit à l’imperfection aux hommes plutôt qu’aux femmes. 

Les petites filles sont plus souvent encouragées à être gentilles, douces, conciliantes et discrètes. Là où les petits garçons sont plutôt incités à être fort, à s’affirmer et à ne pas montrer leurs émotions. Ces stéréotypes sont dommageables tant pour les petites filles que pour les petits garçons, ces derniers étant soumis à d’autres formes de pression. 

Tous les parents ne cèdent pas à ces stéréotypes et élèvent leurs enfants différemment, c’est alors que la société et l’entourage prennent le relais : en témoignent les diktats au corps parfait, de l’épouse parfaite, de la mère parfaite, etc. Les femmes ont donc plus tendance à arriver dans le monde du travail avec ce souci de perfection et d’excellence qui s’ajoute à l’épuisement de la charge mentale

Bien heureusement, les temps changent et les stéréotypes tendent à être détectés et déconstruits. Et quand bien même ces clichés perdurent, les femmes possèdent toutes les capacités pour passer à l’action et vaincre ce syndrome de la bonne élève. 

Les répercussions du syndrome de la bonne élève 

Rappelons-le, le syndrome de la bonne élève ne relève pas de la maladie, mais il peut impacter fortement votre vie privée et professionnelle. Si vous lisez cet article, c’est que vous vous demandez certainement si vous êtes atteint de ce syndrome. Dit-on de vous que vous êtes rigoureux, ultra-perfectionniste, avec une capacité de travail démesurée

Vous-vous mettez une énorme pression, vous en faites dix fois trop, et pour vous, il n’y a pas d’autres options que l’excellence. La peur de l’échec vous terrifie, vous êtes dépendant du jugement extérieur, drogué à la reconnaissance et aux compliments de vos supérieurs et de vos proches. Bref, si vous vous reconnaissez dans ce rapide descriptif, il y a de grandes chances que vous soyez atteint du syndrome de la bonne élève. Les conséquences sur votre vie peuvent être : 

  • l’incapacité à savoir dire non ;
  • une charge de travail colossale ;
  • l’anxiété ;
  • un épuisement professionnel qui mène au burn out ;
  • une sous-rémunération et une inégalité salariale ;
  • un manque de confiance en soi ;
  • une carrière professionnelle qui stagne ;
  • une charge mentale augmentée ;
  • des problèmes de couple et familiaux, etc. 

Ce tableau est un peu déprimant, je vous le concède, mais pas de panique vous avez le pouvoir de vaincre le syndrome de la bonne élève en reprenant les rennes de votre vie et en commençant un travail sur soi

Syndrome de la bonne élève : 6 conseils pour le vaincre 

Conseil N°1 – Identifier ses atouts et ses qualités 

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Dans un premier temps, il est crucial de reprendre confiance en soi. Le syndrome de la bonne élève peut faire déplacer des montagnes en termes de travail, mais ce n’est pas pour autant synonyme de confiance et d’assurance. Bien au contraire, attendre indéfiniment la validation d’autrui démontre bien que nous n’avons pas conscience de nos qualités et de nos atouts.  

Si la vie m’a bien appris une chose, c’est que vous seul pouvez décider de votre valeur ! Ne laissez pas le pouvoir aux gens de vous dévaluer. Apprenez à identifier vos qualités et vos atouts, notez-les dans un joli carnet et répétez-les dans votre esprit comme un mantra. Voici deux exercices simples pour les identifier : 

  • revenez sur vos succès et vos réussites : quelles sont les qualités, les ressources dont vous avez fait preuve pour vous démarquer et réussir ?  
  • demandez de l’aide à vos proches : laissez-leur quelques jours pour vous donner chacun, une liste de 10 qualités.

En étant convaincu de votre force et de vos qualités, vous serez toujours aussi efficace, mais en restant serein et sûr de vous.

Conseil N°2 – Se libérer des attentes des autres 

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Il est important d’intégrer que vous êtes devenu un adulte et que vous n’êtes plus à l’école. Il existe évidemment des règles à respecter pour vivre en harmonie avec la société, mais en tant qu’adulte accompli et non en tant qu’enfant soumis à l’autorité. Que ce soit au sein de votre couple ou au travail, votre conjoint et votre manager ne sont pas vos professeurs. N’attendez pas d’eux qu’ils vous distribuent les bons et les mauvais points. 

Maintenant, que vous êtes parfaitement conscient de votre valeur, vous savez vous mettre au même niveau que vos interlocuteurs. Par exemple, au sein de votre entreprise, vous avez pu obtenir un poste grâce à vos compétences et à votre expertise, vous n’avez donc pas à être dépendant du jugement extérieur. Travaillez pour vous-même, la seule personne à combler, c’est vous. Voici trois astuces pour vous détacher des attentes des autres : 

  • soyez toujours proactif, agissez selon votre cœur sans rien attendre en retour ; 
  • sachez mettre des limites et respectez vous en premier ; 
  • n’idéalisez pas les personnes, ils ont des qualités et des défauts, comme nous tous.  

Si vous souhaitez prendre conscience de votre valeur à vitesse grand V et gagner en motivation pour vivre la vie dont vous avez toujours rêvé, participez à mon séminaire développement personnel, Destination Réussite.

Conseil N°3 – Définir ses souhaits et ses propres attentes 

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Vous voilà libéré des attentes des autres, il est maintenant important de vous pencher sur vos propres attentes et vos souhaits. Le syndrome de la bonne élève vous incite souvent à faire passer les désirs des autres avant les vôtres. Mais bien souvent, les personnes ne savent pas vraiment ce qu’elle désire, car elles ne se sont jamais penchées sur cette question. 

De quoi avez-vous vraiment envie ? Qu’est-ce qui vous fait réellement vibrer ? Quels sont vos objectifs professionnels et personnels ? Notez vos réponses sur papier, c’est le meilleur moyen pour faire que votre cerveau les intègre durablement. Ensuite, faites un point sur votre situation actuelle et définissez un plan d’action pour atteindre la vie de vos rêves.

Formulez clairement vos souhaits et vos attentes, d’abord à vous-même, ensuite à votre entourage et tout contribuera à votre réussite. Il ne s’agit pas d’une attitude égoïste, bien au contraire, en étant heureux et épanoui, vous ferez du bien autour de vous et au monde en général. Dans un avion, en situation d’urgence, le personnel navigant doit s’alimenter en oxygène en premier pour pouvoir être capable d’aider les autres. 😉

Conseil N°4 – Apprendre à dire non et à être bienveillant avec soi-même

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C’est sûrement la chose la plus compliquée pour une personne atteinte du syndrome de la bonne élève : oser dire non. Étant très dépendante du jugement d’autrui, elle craint de ne plus être aimée et estimée. Je vous assure pourtant que ce sera salutaire pour votre santé mentale. Si vous n’osez pas dire non, vous serez débordé au travail par des tâches qui ne sont pas les vôtres et vos collègues prendront l’habitude de vous les confier. Vous vivrez la même chose dans votre vie familiale, avec la charge mentale en plus. 

Être solidaire, travailler en équipe, s’entraider, c’est primordial dans la vie de tous les jours, mais il faut savoir mettre des limites pour prioriser ses propres tâches et ne pas vivre sous pression. Apprenez surtout à ne pas culpabiliser quand vous dites non car de facto vous vous dites oui et c’est une excellente chose. Votre bien-être est aussi précieux que celui de votre entourage. Quand vous dites non, vous pouvez y mettre les formes, proposer des alternatives, mais vous n’avez pas à vous justifier. 

Conseil N°5 – Travailler ses peurs 

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La peur, c’est une émotion d’anticipation qui nous informe d’un potentiel danger à venir et nous invite à nous protéger. Parfois, elles sont justifiées, mais bien souvent nous nous drapons dans des peurs qui ne se concrétisent jamais. La principale caractéristique de la peur, c’est qu’elle nous empêche de passer à l’action et de prendre des risques. Le syndrome de la bonne élève se nourrit de toutes vos peurs : 

  • la peur du regard des autres ;
  • la peur de l’abandon ;
  • la peur de l’échec ;
  • la peur de la critique ;
  • la peur de ne plus être aimé ;
  • la peur de se mettre en avant ;
  • la peur de dire non ;
  • la peur de tout au final. 

Il est important de savoir identifier vos peurs, de les évaluer et d’apporter les preuves concrètes du danger réel. Voici un petit protocole pour travailler sur vos peurs, les dépasser et passer à l’action : 

  • acceptez vos peurs comme une information utile qui vous invite à vous protéger ;
  • évaluez le niveau réel de la menace ;
  • identifiez et déstabilisez la croyance automatique : apporter des preuves concrètes du danger. Est-ce si grave ? Votre vie est-elle en danger ?
  • intégrez une pensée alternative qui va vous faire voir la situation sous un angle positif.

Conseil N°6 – Se faire accompagner par un coach   

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Il est parfois nécessaire pour évoluer et gagner du temps d’avoir recours à un regard extérieur. Entreprendre un coaching en développement personnel, c’est prendre le temps de vous soucier de vous, de mieux vous connaître, d’améliorer votre bien-être et votre épanouissement. Le coach va vous mettre face à vos contradictions avec bienveillance et vous faire prendre conscience de vos comportements automatiques et de vos croyances limitantes

Concernant le syndrome de la bonne élève, vous pouvez être conscient d’en être atteint sans pour autant pouvoir améliorer votre situation. Le coaching est particulièrement précieux pour débloquer ces situations et vous aider à vous transformer grâce à des outils puissants et efficaces.

Le coach est aussi là pour vous accompagner, vous motiver et vous faire prendre conscience de la merveilleuse personne que vous êtes. Il va vous aider à reprendre confiance en vous, la confiance étant le meilleur moyen de vaincre le syndrome de la bonne élève. 

Ce qu’il faut retenir 

Vous en savez maintenant un peu plus sur le syndrome de la bonne élève et comment parvenir à le vaincre. Ne culpabilisez pas d’en souffrir et allez toujours de l’avant. Je peux vous assurer que vous pouvez vaincre ce syndrome en passant à l’action et en suivant ces quelques conseils. Il suffit juste de le décider et de se lancer ! 😉 

Je vous rappelle les 6 conseils : 

  • Conseil N°1 – Identifier ses atouts et ses qualités ;
  • Conseil N°2 – Se libérer des attentes des autres ; 
  • Conseil N°3 – Définir ses souhaits et ses propres attentes ; 
  • Conseil N°4 – Apprendre à dire non et être bienveillant avec soi-même ;
  • Conseil N°5 – Travaillez sur ses peurs ; 
  • Conseil N°6 – Se faire accompagner par un coach.   

Que pensez-vous de ces conseils ? En avez-vous d’autres ? Partagez-les dans les commentaires ci-dessous, je serai curieux de les connaître. 

➡️ À lire aussi : découvrez 5 axes de développement personnel à travailler de toute urgence.

À très vite,

Max

 

 

Le Dépassement de Soi : Osez vivre une vie qui vous ressemble

Dans la vie, j’ai très tôt compris que rien ne me tomberait tout cuit dans la bouche. Si je voulais réussir, il fallait que je sois déterminé. J’ai donc vite appris la véritable définition du dépassement de soi. Cette attitude, celle de vouloir aller toujours plus loin, je l’ai adoptée très jeune. Depuis, elle ne m’a plus quitté. Constamment, je sors de ma zone de confort avec comme objectif de devenir meilleur. Vous aussi, vous avez pour ambition de vous réaliser pleinement ? Vous désirez vous dépasser pour atteindre vos objectifs de vie ? Alors, laissez-moi vous expliquer ce qu’est le dépassement de soi et comment le mettre en œuvre. Vous êtes prêts ? Alors, c’est parti ! 😉

Le dépassement de soi : qu’est-ce que c’est ?

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Nous possédons tous nos propres limites. Que ce soit au niveau physique, culturel ou éducatif, vous pensez peut-être que certains traits de caractère ou caractéristiques physiques vous empêchent d’atteindre l’un de vos objectifs.

Pour ma part, j’ai longtemps pensé être incapable de parler en public. Je me trompais bien entendu. Aujourd’hui, j’anime des séminaires devant plusieurs milliers de personnes. J’ai réussi à laisser de côté ma peur du regard des autres. J’ai réussi à me dépasser, tout simplement. Si on m’avait dit ça il y a quelques années, j’en serais tombé de ma chaise.

Ainsi, si je peux expliquer avec des mots simples le dépassement de soi, en voici sa définition : il s’agit de l’aptitude à repousser ses propres limites au-delà de ce que l’on pensait possible. La notion de compétition avec autrui n’entre donc pas en jeu. Ici, s’il doit y avoir un combat, c’est bien avec vous-même.

« On n’a rien sans rien. Si on ne se met pas la misère à l’entraînement, si on ne se force pas à repousser les limites, on ne va nulle part. »

Teddy Riner, multiple médaillé d’or de judo aux championnats olympiques et mondiaux, résume très bien la notion de dépassement de soi, vous ne trouvez pas ? Si vous souhaitez atteindre des sommets, sortir de votre zone de confort sera inévitable.

Bien sûr, les freins qui peuvent vous ralentir sont nombreux. Et contrairement à ce que vous pourriez penser, la plupart ne sont pas physiques, mais psychologiques.

En première place, le manque de confiance en soi, qui touche beaucoup d’entre nous, représente une véritable barrière au dépassement de soi. Une motivation en berne, la peur de l’échec ou encore la peur du jugement sont également des entraves à notre épanouissement personnel.

Pourquoi se dépasser ?

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En voulant vous dépasser personnellement ou professionnellement, vous vous lancez un défi personnel. Et vous savez pertinemment que vous ne pourrez atteindre vos objectifs si vous n’expérimentez pas de nouvelles pratiques.

Le dépassement de soi, au-delà de vous faire entrevoir de nouveaux horizons inconnus jusqu’alors, se révèle bénéfique pour :

  • Mieux se connaître : en réalisant de nouvelles actions, en sortant de votre quotidien routinier, vous apprenez à mieux vous connaître. Vous appréhendez vos émotions et vos réactions sous un angle nouveau.
  • Développer sa confiance en soi : en allant au-delà de vos limites personnelles, vous gagnez en confiance et en estime de soi. En effet, le fait de se lancer un défi, puis de l’accomplir déclenche en vous un fort sentiment de fierté.
  • Mesurer sa capacité à dépasser les obstacles : lorsque vous passez outre une barrière, une peur ou une croyance limitante, vous les percevez de manière différente. Ce qui vous semblait insurmontable est en effet possible ! Cette sensation est grisante, n’est-ce pas ?
  • Améliorer sa concentration : dans une société ultra-connectée, il est parfois difficile de garder le cap. Le dépassement de soi permet justement de renforcer ses capacités mentales. Vous serez donc plus à même de résister lorsqu’il s’agira de consulter vos réseaux sociaux au lieu de travailler !

➡️ Le dépassement de soi est l’un des thèmes phares de mon séminaire développement personnel Destination Réussite. Pendant trois jours, entouré de milliers de personnes, vous découvrez avec moi comment atteindre votre plein potentiel et réussir tout ce que vous entreprenez. Je suis impatient de vous rencontrer !

Comment sortir de sa zone de confort ?

Toutes les personnes à succès que je connais sortent constamment de leur zone de confort ! Alors même si elles ont des peurs, elles arrivent à les contrôler, puis les dépasser ! Si vous suivez depuis un moment, vous savez que j’encourage avant tout le passage à l’action et le dépassement de soi. Ces deux actions représentent le pilier de votre réussite. Sortir de sa zone de confort, se dépasser, ce n’est toutefois pas évident pour tout le monde. Ces quelques conseils pourront vous aider.

Identifier ses forces

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Chacun d’entre vous possède ses propres forces, valeurs et qualités. Grâce à elles, vous avez la possibilité d’aller bien plus loin que vous ne le pensez !

Si vous n’avez encore conscience de vos points forts, je pense à des outils utiles, comme le test ItsMyTree™ que j’ai moi-même conçu. Celui-ci vous permet de mettre en avant vos forces dominantes, mais aussi de visualiser quels leviers de croissance vous pouvez mettre en place pour vous améliorer.

Connaître vos points forts est un réel atout dans le dépassement de soi. En intégrant votre potentiel, vous êtes ensuite plus à même de repousser vos limites.

Comprendre ses points faibles

Il est primordial de connaître ses atouts. Mais il est aussi important d’avoir conscience de ses faiblesses. Blessures, émotions négatives, comportements et pensées pessimistes, mais aussi blocages : réalisez une liste exhaustive de ce qui vous empêche, à ce jour, d’aller de l’avant.

Parfois difficile, cette étape est pourtant nécessaire. Si vous craignez de ne pas avoir l’objectivité nécessaire, vous avez la possibilité de vous faire accompagner par un coach en développement personnel.

Lorsque vous serez pleinement au fait de vos faiblesses, il sera plus facile pour vous de prendre du recul et de vous accepter tel que vous êtes.

Écouter ses ressentis

Vous possédez la fâcheuse tendance d’agir en fonction des autres ? Vous jugulez sans cesse vos émotions pour plaire à vos proches ? Vous avez besoin d’un avis pour toutes les décisions importantes que vous devez prendre ?

Se dépasser, sortir de sa zone de confort, nécessite avant tout d’être en accord avec ce que l’on entreprend. En n’écoutant pas vos ressentis, en vous pliant constamment à l’avis des autres, vous vous privez de votre libre arbitre. À long terme, cette attitude vous pousse à l’indécision constante. Vous en conviendrez : ce comportement n’est en aucun cas propice au dépassement de soi.

Arrêter la comparaison aux autres

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Le dépassement de soi, c’est un combat personnel que vous menez. En aucun cas, ce n’est une compétition. Quelle nécessité alors de se comparer aux autres ? Aucune !

Se comparer à une personne que vous jugez plus talentueuse, plus cultivée, ne sert à rien. En réalité, vous ne connaissez que la partie immergée de l’iceberg, celle qu’il ou elle veut bien vous montrer. Alors même si sa progression semble fulgurante en apparence, dites-vous que vous n’avez sous les yeux qu’une partie de la vérité. Vos ambitions, vos objectifs vous sont propres et sont incomparables.

Se challenger

Au-delà de vos objectifs de vie, vous pouvez également vous fixer des challenges de développement personnel.

Lire un livre par semaine, prendre du temps pour soi, faire du sport tous les jours sont autant de petits défis personnels faciles à mettre en place. À plus ou moins long terme, ces challenges vous permettent de vous épanouir, mais aussi de faire du dépassement de soi une véritable habitude.

Établir un plan de développement personnel

Un plan de développement personnel peut se réaliser à n’importe quel moment. Malgré tout, la période de fin d’année est propice pour remettre à plat vos objectifs pour l’année qui s’annonce.

Je le répète toujours : planifier votre vie est primordial si vous souhaitez réaliser vos rêves. Avancer « au feeling » est la pire chose que vous puissiez faire. Alors même si la vie est parfois faite de belles surprises, assurez-vous aussi de les provoquer !

Établir un plan de croissance personnelle va vous permettre de clarifier vos ambitions. C’est aussi le moment pour se fixer des objectifs audacieux qui vont vous faire sortir de votre zone de confort.

Avoir conscience qu’il est possible d’échouer

La peur de l’échec ne devrait paralyser personne. Toutes les personnalités publiques, tous les sportifs professionnels que vous connaissez n’ont pas rencontré directement le succès. Au contraire, la plupart ont connu de multiples déconvenues avant de comprendre quelles étaient les méthodes qui fonctionnaient.

Ce que je veux vous faire comprendre, c’est que l’échec n’est en aucun cas une fin en soi. Cet échec, c’est au contraire une leçon qui va vous permettre d’atteindre la réussite.

Fêter ses victoires

Une victoire, même minime, ça se fête. Vous avez été régulier dans votre pratique sportive cette année ? Félicitez-vous ! Vous avez atteint un palier de chiffre d’affaires supplémentaire ? Fêtez-le ! Vous vous êtes libéré de votre addiction aux jeux vidéos ? C’est formidable !

En vous concentrant sur vos victoires, vous allez le constater : vous allez penser de manière plus positive. Grâce à cet état d’esprit positif, vous dépasser sera d’autant plus facile.

Quelques citations sur le dépassement de soi pour s’inspirer

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Les citations positives sur le dépassement de soi, ainsi que les personnes qui les ont énoncées m’inspirent beaucoup au quotidien. En les lisant, vous vous rendrez compte que rien n’est impossible. Si d’autres l’ont fait, pourquoi pas vous ?

« S’accomplir, c’est se dépasser »

Denys Gagnon

« Face à la roche, le ruisseau l’emporte toujours, non pas par la force, mais par la persévérance. »

H. Jackson Browne

« Le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité de la vaincre. »

Nelson Mandela

« Sinueux sont les chemins suivis par les grandes rivières, mais cela ne les déroutent pas de leur but. »

Friedrich Nietzsche

« Le futur appartient à ceux qui croient en la beauté de leurs rêves. »

Françoise Dolto

« La vie est trop courte pour la passer à regretter tout ce qu’on a pas eu le courage de tenter. »

Marie-Claude Bussières-Tremblay

« Pour réussir, il ne suffit pas de continuer, il faut toujours se dépasser »

Madeleine Ferron

Comprenez-vous à présent le réel pouvoir du dépassement de soi ? Si vous souhaitez vivre votre vie et non la subir, le meilleur des moyens reste encore de constamment se dépasser. Je sais pertinemment que vous en êtes capable.

➡️ À lire aussi : Avoir une vie extraordinaire | les 5 piliers essentiels.

À très vite,

Max

La Peur du Regard des Autres : définition et astuces pour s’en défaire

Si je vous dis que nous sommes tous, à plus ou moins grande échelle, atteints d’un mal qui nous empêche d’atteindre nos objectifs : que me répondez-vous ? La réponse évidente semble être le manque de confiance en soi. Mais il existe une peur plus subtile et pourtant très répandue. Cette crainte, c’est la blemmophobie, plus couramment appelée la peur du regard des autres. Paralysante et angoissante, elle nous renvoie à nos pires démons intérieurs, ceux que nous voudrions chasser définitivement. Vous voulez en savoir plus ? Vous désirez connaître les astuces pour vous débarrasser de votre peur du jugement ? Restez par ici, je vous dis tout dans cet article.

La blemmophobie : ça veut dire quoi ?

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Plus connue comme la peur du regard des autres, la blemmophobie est un mal qui touche beaucoup plus de monde que l’on ne croit. En souffrant de cette peur, vous êtes en alerte constante sur l’image que vous renvoyez aux autres. Vous craignez également le jugement des gens sur vos actes et sur vos décisions.

Le résultat est souvent le même. Par peur de ce que les autres vont penser de vous, vous préférez agir en fonction d’eux. Vous choisissez de leur faire plaisir, plutôt que de vous écouter. À terme, cette situation est préjudiciable. Votre peur du regard des autres l’emporte sur vos envies et vos idées. Est-ce la vie dont vous rêvez ? Il y a fort à parier que la réponse est négative.

La peur du regard des autres : pourquoi faut-il s’en détacher ?

En pensant que tout le monde vous juge, en imaginant les critiques avant même qu’elles ne surviennent, vous ne faites en réalité que des suppositions.

J’aimerais donc que vous vous posiez cette question : vous est-il déjà arrivé de sortir de votre zone de confort (par exemple, parler en public ou aborder quelqu’un dans la rue) ? Je suis certain que oui.

Que s’est-il passé à ce moment précis ? La ou les personnes face à vous ont-elles émis un quelconque jugement à votre encontre ? Dans la plupart des cas, la réponse est non. Si ce moment reste douloureux pour vous, il est probable que ce soient vos propres peurs qui aient surgi à ce moment-là.

Vous trouvant médiocre, vous avez alors imaginé que les personnes face à vous pensaient la même chose. Ce qui n’est peut-être pas le cas, vous en conviendrez.

Au contraire, en vous débarrassant de cette peur du jugement, vous vous autorisez à vivre une existence qui vous ressemble. Vous ouvrez également la porte à de nouvelles opportunités pour améliorer durablement votre vie.

D’où vient cette peur d’être jugé ?

Chacun d’entre vous possède sa propre histoire face à la peur du jugement. Malgré cela, après avoir coaché des milliers de personnes à travers le monde, j’ai pu identifier les causes majeures de cette crainte.

La peur de ne pas être aimé

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Pendant toute mon enfance et mon adolescence, on m’a sans cesse répété qu’il fallait que j’adopte une attitude lisse pour plaire à tout le monde.

« Qu’est-ce que les gens vont penser de toi ? » ; « Que vont dire les gens si tu adoptes cette attitude ? » : ces phrases, je les ai entendues des milliers de fois. Tant et si bien que j’ai développé cette crainte irrépressible de ne pas être aimé ! Cette peur d’être jugé par les autres !

Transmis par les parents, les professeurs, les médias et toutes les figures d’autorité, ce programme nous poursuit toute notre vie. Et cette peur d’être rejeté, nous la transmettons aussi à nos enfants, bien souvent, sans le vouloir.

Une comparaison constante à l’autre

La comparaison à l’autre est naturelle, surtout à l’ère des réseaux sociaux. Chaque jour, nous sommes confrontés à l’image soi-disant parfaite que renvoient les personnalités publiques. Nous admirons leur réussite personnelle ou professionnelle. De même, nous côtoyons tous les jours des personnes « plus belles », « plus douées » ou « plus confiantes » que nous.

Cela nous mène dans une comparaison permanente à l’autre ! Ce comportement, plutôt que nous tirer vers le haut, fait monter en nous cette appréhension du jugement. Sommes-nous assez bien vis-à-vis de ce que l’on « exige » de nous ? Serons-nous un jour à la hauteur ? Toutes ces questions sont légitimes. Moi-même, je me les suis un jour posées ! Malgré tout, ce comportement mérite d’être remis en cause pour pouvoir aller de l’avant.

Un entourage toxique

Certaines personnes, parfois bien malgré elles, dénigrent tous nos faits et gestes. Pétries par leurs croyances limitantes et leurs peurs, elles nous les transmettent et nous persuadent de ne pas agir de telle ou telle manière.

Un entourage toxique (parfois, il peut ne s’agir que d’une seule personne) nuit à notre bien-être et mine notre confiance en soi. Plutôt que nous stimuler, ces personnes nous forcent à la stagnation et brisent notre évolution personnelle. Se développe alors la crainte de mal faire, mais aussi une peur incontrôlable du jugement des autres.

La difficulté à accepter la critique

La critique, même si elle s’avère constructive, ne plait à personne. Elle nous renvoie à nos propres échecs, ce qui peut s’avérer extrêmement blessant. En revanche, refuser strictement tout jugement négatif peut être malsain.

Cette attitude, en plus d’empêcher une remise en question parfois nécessaire, renforce la peur du jugement. Elle nous contraint alors à adopter des comportements qui ne nous ressemblent pas et qui sont contraires à nos envies.

Quelles sont mes astuces pour se débarrasser de la peur du regard de l’autre ?

Se défaire d’une peur, quelle qu’elle soit, demande une volonté et une détermination en acier. Moi-même, avant de trouver la réussite, j’ai dû travailler sur mon développement personnel pendant de nombreuses années. Pour les avoir expérimentées, je suis certain que ces astuces vous aideront à vous débarrasser, petit à petit, de cette peur du regard des autres.

Se rappeler que la vie est précieuse

Nous pouvons tous mourir demain, n’est-ce pas ? Alors, même si vous avez déjà conscience de ce fait, avez-vous l’impression de vivre pleinement votre vie ?

Ces jugements dont vous avez peur, de qui viennent-ils ? La plupart du temps, ce sont des personnes qui ne seront même pas présentes à votre enterrement ! Ces mêmes gens ne vous soutiendront peut-être pas en cas de coup dur. D’ailleurs, même s’ils sont proches de vous, ayez en tête que leur point de vue compte peu au final. Cette vie est la vôtre, en aucun cas la leur !

Croyez-moi : lorsque ce déclic se matérialisera vraiment en vous, le regard des autres sur vous ne présentera plus aucune once d’importance !

Apprendre à s’aimer

Chacun d’entre nous possède tout un tas de qualités que d’autres n’ont pas ! Vous possédez vos propres forces qui font de vous quelqu’un d’unique.

Apprendre à s’aimer est primordial pour se débarrasser de la peur du regard des autres. Si vous ne possédez aucune estime personnelle, si vous manquez de confiance en vous, il sera beaucoup plus difficile de surmonter cette blemmophobie.

Pour passer cette étape, rassemblez vos qualités et vos forces. Notez-en dix que vous vous répéterez chaque jour. Faites-en des mantras. Ce conseil peut paraître anodin, mais il n’en est rien. C’est en réalisant cet exercice que vous gagnerez en confiance en vous.

Cette peur du regard de l’autre s’éloignera alors de plus en plus pour finalement s’étioler. Bien sûr, elle fera de temps en temps son retour. Mais en travaillant sur vous, souvent pendant des années, les critiques et jugements des autres ne nous atteindront plus.

Utiliser son énergie pour contribuer

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Vous êtes-vous déjà demandé ce que vous apportiez au monde ? Ou à plus petite échelle, à vos proches ? Contribuez-vous à leur bonheur ? Utilisez-vous vos qualités et vos forces pour impacter positivement des vies ?

Croyez-moi, en ayant cette mission de vie, en étant focalisé sur cette contribution, vous porterez beaucoup moins attention au regard des autres.

Moi-même, je l’expérimente. Pendant mes séminaires, je prends la parole devant des milliers de gens. Sur scène, je reste toujours focalisé sur ce que j’apporte de positif aux personnes qui sont venues m’écouter.

Alors, bien entendu, je ne suis pas différent de vous. Je ressens toujours une pointe de stress au moment de me lancer. Mais je réussis toujours à le surmonter en pensant avant tout aux déclics que je vais déclencher parmi les spectateurs. Grâce à cet état d’esprit, ma peur du regard des autres a totalement disparu.

➡️ Vous souhaitez savoir comment mener une vie qui vous ressemble ? Une vie où vous seriez complètement affranchi du regard des autres ? Découvrez dès à présent le programme de mon séminaire développement personnel, un événement riche en rencontres et révélations.

Se rendre compte que nous ne sommes que le miroir des problèmes des autres

Nous avons tous jugé spontanément quelqu’un pour ce qu’il est ou ce qu’il incarne. Et dans la majorité des cas, ces critiques étaient infondées, car elles reflétaient juste nos propres problèmes.

Moi-même, quand j’étais jeune, j’avais en horreur les hommes frimeurs qui paradaient sur leur mobylette rouge. Je passais mon temps à parler sur leur dos. À votre avis, qu’est-ce que cette attitude disait de moi ? Eh bien tout simplement, celle d’un jeune homme jaloux qui aurait voulu, lui aussi, parader sur sa mobylette ! Je voulais être à leur place, je les enviais !

Quand j’ai enfin réussi à surmonter ce problème avec moi, leur passage ne m’agaçait plus, je n’y prêtais plus aucune attention. Car je me suis rendu compte que j’extériorisais ma rancœur à travers eux. Ils incarnaient seulement le miroir de ce que je voulais posséder. Alors, je vous en conjure : ne vous gâchez plus la vie avec cette peur du regard des autres !

Vous le comprenez désormais : la peur du regard des autres n’est pas une fatalité ! En identifiant vos appréhensions et en utilisant ces quelques astuces, vous pouvez enfin décider de vous en débarrasser ! Cette crainte abolie, de nouvelles portes s’ouvrent devant vous. Vous pourrez enfin vivre une vie qui vous convient, une vie selon vos propres termes.

➡️ À lire aussi : Mes 8 conseils indispensables pour avoir confiance en soi.

Bonnes Résolutions : 6 Astuces Efficaces pour les définir et s’y tenir 

Nous voilà déjà rendus aux fêtes de fin d’année, l’occasion de passer du temps en famille, de faire un peu le point sur l’année écoulée et de prendre les fameuses bonnes résolutions. Peut-être avez vous déjà pensé à vous fixer des objectifs pour l’année prochaine ou alors vous n’y pensez même plus n’arrivant jamais à les tenir. Faire du sport, mieux manger, lire plus de livres, si vous tenez vos résolutions, elles vont sans nul doute améliorer votre vie. Il se trouve malheureusement que ce sont souvent des vœux pieux, abandonnés dès la première semaine de janvier. Ces bonnes résolutions n’aboutissent pas, car elles sont souvent prises à la hâte entre le champagne et le dessert et qu’elles ne font l’objet d’aucune réflexion particulière. Il est donc important de leur donner du sens et de mettre en place un protocole précis pour les réaliser. Dans cet article, je vais vous partager 6 astuces efficaces pour définir vos bonnes résolutions et surtout vous y tenir. Êtes-vous prêt à commencer la nouvelle année en beauté ? c’est parti !

Définissez vos bonnes résolutions grâce à la méthode SMART

bonnes-resolutions

C’est quoi la méthode SMART ?

Toutes les bonnes résolutions ne sont ni plus ni moins que des objectifs que l’on se fixe pour l’année à venir. Alors pourquoi ne pas utiliser une méthode d’atteinte d’objectif qui a largement fait ses preuves en entreprise ? La méthode SMART est un outil qui permet de définir des objectifs de manière simple et claire afin de mettre toutes les chances de son côté pour les atteindre. 

Cet outil permet de valider ses bonnes résolutions et d’en avoir la maîtrise à court et à long terme. Il permet aussi de garder la motivation nécessaire sur toute une année et de voir ses bonnes résolutions enfin réalisées. SMART est un acronyme qui reprend les lettres suivantes : 

  • S pour spécifique ;
  • M pour mesurable ;
  • A pour ambitieux ;
  • R pour réaliste ;
  • T pour temps.

Exemple d’une bonne résolution validée avec la méthode SMART

Imaginons que vous souhaitiez prendre la décision d’arrêter de fumer pour la nouvelle année. Dans le cadre de la méthode SMART, vous devez formuler un objectif clair et précis : “Je souhaite arrêter de fumer pour prendre soin de ma santé et pouvoir mieux respirer pendant le sport.”

Votre objectif doit être mesurable : “je n’achèterai plus un paquet de cigarettes par jour, il n’y aura plus de cendrier chez moi et je veux retrouver toute ma capacité pulmonaire lors de mon prochain check-up chez mon médecin”.

Un objectif ambitieux est un objectif fort qui est un vrai défi pour l’intéressé. Dans le cas présent, il ne s’agit pas d’arrêter de fumer juste les deux premières semaines de janvier. Il est important de prendre une résolution percutante qui aura un impact décisif dans votre vie. 

Votre objectif doit être réaliste et avoir du sens pour vous afin de ne pas perdre rapidement en motivation. Si vous fumez un paquet de cigarettes par jour depuis vingt ans, prendre la décision d’arrêter de fumer du jour au lendemain sans se faire accompagner n’est pas réaliste. Il y a de grandes chances que cela ne fonctionne pas, vous allez vous démotiver et vous ne tiendrez pas votre résolution.

Enfin, votre objectif doit être délimité dans le temps. Il est impératif que vous vous fixiez une date butoir pour pouvoir doser vos efforts et vous organiser, sinon vous risquez de vous démotiver rapidement : “Au 1er septembre 2023, j’aurai complètement arrêté de fumer des cigarettes.”

Cet outil de validation d’objectif, simple d’utilisation, vous permettra de mettre en place des objectifs précis, mais aussi d’identifier ce dont vous aurez besoin pour les atteindre. 

Découvrez mon livre de développement personnel, Réussite Maximum, il vous apportera des clés pour vous aider à tenir vos résolutions en 2023.

Écrivez vos bonnes résolutions sur papier et établissez un plan d’action 

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Une fois que vous avez validé vos bonnes résolutions, il est important de les écrire à la main. Les neurosciences ont démontré que l’écriture à la main était beaucoup plus stimulante pour le cerveau et qu’elle favorise l’apprentissage. En écrivant vos résolutions sur papier, votre cerveau pourra mieux les intégrer et mettre tout en œuvre pour les réaliser.   

Associez du plaisir et de la créativité à vos bonnes résolutions : procurez-vous du papier de qualité et un beau stylo plume pour noter les objectifs de l’année à venir. Vous pouvez également faire une liste en suivant la méthode SMART et la noter sur un bel agenda comme un bullet journal par exemple. Un bullet journal, c’est un agenda créatif et personnel, il est idéal pour vous accompagner toute une année dans la réalisation de vos bonnes résolutions. 

Écrire est aussi une manière de vous engager avec vous-même sur quelque chose de concret. Mais restez les pieds sur terre et ne définissez que quelques objectifs pour ne pas vous éparpiller. Si nous reprenons l’exemple de l’arrêt du tabac, c’est un gros défi et il serait plus judicieux d’y accorder toute son énergie. 

Réfléchissez bien à votre plan d’action et aux étapes qui vont vous permettre de tenir vos bonnes résolutions. Écrivez en détails votre plan d’action, le temps que vous allez lui consacrer ainsi que vos grandes et petites victoires quotidiennes. Ainsi, vous pourrez suivre et mesurer votre progression pour garder votre motivation et la voir se décupler au fil des mois.  

Trouvez un compagnon de route 

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Trouver un compagnon de route et faire ce chemin ensemble pour tenir vos bonnes résolutions est l’un des meilleurs moyens pour garder la motivation et continuer à avancer. Il n’est pas question de se comparer aux autres, mais juste de se soutenir et de s’épauler durant ce challenge. 

Si vous décidez de faire plus de sport pour la nouvelle année, il est fort probable que vous connaissiez des personnes qui souhaitent faire la même chose, c’est une résolution assez courante. Vous pouvez entreprendre un programme sportif commun et vous motiver mutuellement à faire du sport régulièrement. 

Lors d’un challenge de ce type, vous pouvez avoir des coups de mou et l’appel du canapé peut être tentant ! 😉 Mais si vous fonctionnez en binôme, vous vous laisserez moins aller, ne serait ce vis-à-vis de votre compagnon de route que vous ne voudrez pas décevoir. Quand vous ne serez pas motivé à aller courir, ce sera votre compagnon qui prendra le relais pour vous rebooster et inversement. 

Il n’est pas non plus nécessaire de partager les mêmes résolutions, vous pouvez aussi vous soutenir moralement sur des objectifs différents à atteindre. L’important est d’avancer avec quelqu’un avec qui vous pourrez partager vos victoires, vos craintes et vos doutes. Demandez à vos proches, vos amis, vos voisins ou vos collègues, je suis convaincu qu’il y aura toujours une personne pour relever des défis avec vous. 

Célébrez vos succès et récompensez-vous 

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Prendre du temps pour célébrer ses succès et se récompenser est une façon de s’encourager, de faire honneur à chaque étape franchie et de retrouver de l’énergie. C’est aussi un excellent moyen de se motiver à tenir ses résolutions. Le circuit de récompense de notre cerveau détermine nos comportements en éprouvant plaisir et bien-être. Il ne s’agit pas non plus de devenir dépendant à la récompense, mais juste de maintenir votre motivation à son niveau maximum. 

Vous pouvez par exemple vous accorder un déjeuner ou un dîner dans votre restaurant préféré ou vous offrir un petit cadeau. Cela peut aussi être des moments plus simples comme regarder votre série préférée, déguster un bon café au soleil ou se balader en forêt. Au-delà de la récompense, pensez au chemin parcouru, visualisez-le et félicitez-vous sincèrement. 

Vous pouvez aussi partager ce moment avec vos proches, le regard bienveillant et admiratif d’autrui est aussi un excellent moteur pour la persévérance et la réussite. Planifier vos récompenses à l’avance peut vous aider à visualiser vos réussites avec plus de plaisir et de motivation. 

Respectez une routine quotidienne 

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Une des clés pour réussir à appliquer ses bonnes résolutions dans le temps, c’est de respecter une routine quotidienne. Définissez votre routine dès la mise en place de votre plan d’action en prévoyant une plage horaire précise dans votre emploi du temps. Pour tenir ses bonnes résolutions, vous devez y accorder du temps tous les jours, ne serait-ce que 5 min. C’est la régularité au quotidien qui vous rapprochera tout le long de l’année de votre objectif final. La routine a aussi des effets bénéfiques sur le cerveau : 

  • elle permet de faire le tri des choses à faire dans une journée ;
  • elle facilite la prise de décision ;
  • elle permet de diminuer le stress ;
  • elle facilite la discipline et l’endurance.

Pour mettre en place cette routine quotidienne, il est important de bien se connaître et de savoir s’écouter, par exemple êtes-vous plutôt du matin ou du soir ? Vous devez donc connaître votre rythme biologique et le respecter. Il ne sert à rien de vous lever tous les matin à 4 h si vous n’êtes pas productif à ce moment-là. Vous ne ferez que perdre du temps. Gardez en tête le “pourquoi” de cette nouvelle routine pour pouvoir la maintenir au fil des jours et des mois : 

  • vous souhaitez arrêter de fumer pour prendre soin de votre santé et vivre plus longtemps ; 
  • vous voulez reprendre le sport pour vous maintenir en forme et vous sentir mieux dans votre peau ;
  • vous souhaitez changer votre alimentation pour manger plus de fruits et de légumes, etc. 

Réalisez votre tableau de visualisation 

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Le tableau de visualisation est un outil très précieux pour vous accompagner et vous aider à tenir vos bonnes résolutions. Il s’agit de créer, grâce à un support papier ou digital, une représentation visuelle de ce que l’on souhaite pour l’année à venir. À l’instar d’un bullet journal ou d’une liste toute simple, le but est de se projeter et de tout mettre noir sur blanc.

C’est le moment de lâcher prise, de faire confiance à vos émotions et d’être créatif. Utilisez tout ce qui vous parle et vous tient à cœur

  • citations ;
  • photos ;
  • peinture ;
  • images et illustrations ;
  • souvenirs divers et variés, etc.

L’important est d’utiliser tout ce qui vous permet de visualiser concrètement vos objectifs tout en étant heureux de le confectionner et de le regarder par la suite régulièrement. Voici les avantages du tableau de visualisation au quotidien : 

  • Il fait émerger le plaisir en étant créatif pour représenter ce que vous souhaitez obtenir et comment l’obtenir. Si vous prenez du plaisir à voir et à faire les choses, vous conserverez votre motivation et vous irez jusqu’au bout de votre défi. Si vous vous ennuyez, vous abandonnerez tôt ou tard. 
  • Il permet de rester focus sur vos résolutions toute l’année et de ne pas les oublier en cours de route. En affichant votre tableau de visualisation au-dessus de votre bureau par exemple, vous ne les perdrez jamais de vue. 

Le tableau de visualisation est un outil précieux pour garder la motivation et rester concentré sur vos objectifs. Il vous donne aussi une belle fenêtre de créativité et de plaisir dans votre challenge, cependant, ne pensez pas que cet outil est magique et qu’il suffit de s’en tenir là pour tenir vos bonnes résolutions. Il est indispensable de rester toujours dans l’action pour atteindre vos objectifs. Visualisez, mais agissez toujours grâce à des actions concrètes

Ce qu’il faut retenir 

Vous connaissez maintenant 6 astuces efficaces pour définir vos bonnes résolutions et les tenir tout au long de l’année. Toute fin d’année est aussi une fin de cycle et le début d’un renouveau, profitez de ce moment pour faire le point sur ce que vous souhaitez vraiment accomplir. Le savoir, c’est un excellent début, mais il faut maintenant agir et appliquer ces astuces pour faire de cette nouvelle année, la meilleure année de votre vie. À vous de jouer ! 😉

Je vous les rappelle à nouveau : 

  • définissez vos bonnes résolutions grâce à la méthode SMART ;
  • écrivez vos bonnes résolutions sur papier et établissez un plan d’action ;
  • trouvez un compagnon de route ;
  • célébrez vos succès et récompensez-vous ;
  • respectez une routine quotidienne ;
  • réalisez votre tableau de visualisation.

Avez-vous déjà pris vos bonnes résolutions pour la nouvelle année ? Quelles sont vos astuces pour vous y tenir ? Je serai curieux de lire vos commentaires ci-dessous. Et si vous souhaitez que l’année 2023 soit celle du changement, participez à mon séminaire développement personnel Destination Réussite et vivez la meilleure année de votre vie !

À très vite,

Max

 

Cercle des Émotions : un outil pour mieux les comprendre

Chaque jour, nous sommes confrontés à nos émotions. Pour certains d’entre nous, il est difficile de les contrôler. Lorsqu’elles s’installent en nous, elles nous envahissent, nous engloutissent même ! Alors, dites-moi, cette sensation vous parle ? Vous sentez-vous démuni face à ces ressentis qui prennent trop de place et vous empêchent d’agir à votre guise ? Je vous rassure, cet état n’est pas une fatalité. Aujourd’hui, je vous présente le cercle des émotions, un outil de développement personnel qui va vous aider à nommer et apprivoiser vos ressentis. Vous découvrirez également comment l’utiliser et dans quels contextes l’employer. Vous êtes prêt ? Alors, c’est parti !

Le cercle des émotions : c’est quoi ?

Le cercle des émotions, aussi connu sous le nom de roue des émotions, est un outil de développement personnel élaboré par Robert Plutchik en 1980. Ce professeur et psychologue américain a consacré une partie de sa carrière à effectuer des recherches sur les émotions.

Il a notamment soutenu la théorie selon laquelle nos ressentis influent biologiquement nos actions et nos réactions. De ce postulat est née la roue des émotions. Celle-ci a pour but d’illustrer et de décrire les relations entre nos ressentis.

Quelle est son utilité ?

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Que ce soit avec votre enfant, un membre de votre famille ou un collègue de travail, la roue des émotions se révèle être un puissant outil d’épanouissement personnel. Savoir mettre en lumière ses émotions, les nommer, puis les classer, présente en effet bien des avantages :

  • Vous possédez une meilleure connaissance de vous-même.
  • Vous pouvez catégoriser précisément vos émotions.
  • Vous gagnez en empathie et êtes capable de mieux comprendre les émotions des autres.
  • Vos relations familiales, amicales et professionnelles sont plus faciles.

➡️ À lire aussi : Comment contrôler ses émotions, un article riche d’enseignements si vous souhaitez juguler vos ressentis.

Comment interpréter la roue de Plutchik?

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Sur le cercle des émotions, apparaissent tout un panel de ressentis. Parmi ceux-ci, Robert Plutchik met en lumière 8 émotions fondamentales.

Celles dites « primaires » :

  • la joie ;
  • la peur ;
  • la colère ;
  • la tristesse.

Et celles dites « secondaires » :

  • la confiance (reliée à la joie) ;
  • le dégoût (relié à la tristesse) ;
  • l’anticipation (reliée à la colère) ;
  • la surprise (reliée à la peur).

Bien entendu, chacune de ces émotions fondamentales peut varier en intensité. Ainsi, la contrariété se mue en colère, puis en rage. La sérénité se transforme en joie, puis en extase. Le code couleur utilisé sur la roue transmet d’ailleurs très clairement cette évolution.

En outre, l’emplacement choisi pour ces ressentis sur la roue des émotions est soigneusement étudié. Chaque émotion fondamentale se combine avec celle qui la côtoie et s’oppose à celle qui lui fait face.

Apparaissent alors des états que nous éprouvons tous et qui représentent le résultat d’une combinaison d’émotions (que Plutchik nomme « dyade »).

Les 8 dyades primaires (c’est-à-dire les 8 combinaisons d’émotions fondamentales voisines) induisent les états suivants :

  • l’amour (la joie mêlée à la confiance) ;
  • la soumission (la confiance mêlée à la peur) ;
  • la crainte (la peur mêlée à la surprise) ;
  • le désappointement (la surprise mêlée à la tristesse) ;
  • le remords (la tristesse mêlée au dégoût) ;
  • le mépris (le dégoût mêlé à la colère) ;
  • l’agressivité (la colère mêlée à l’anticipation) ;
  • l’optimisme (l’anticipation mêlée à la joie).

Dans quel contexte utiliser cet outil de développement personnel ?

Cet outil, beaucoup utilisé avec les plus jeunes, peut toutefois être exploité à tout âge ! Ainsi, enfants et adultes peuvent s’en servir pour communiquer sur leurs ressentis. Le cercle des émotions est d’ailleurs très utile lorsqu’il s’agit d’éviter conflits et autres malentendus.

Voici quelques exemples de situations où l’utilisation du cercle des émotions se révèle bénéfique :

  • pour discuter d’un sujet important ou épineux avec votre famille ;
  • pour aider votre enfant à comprendre et accueillir ses émotions ;
  • pour l’aider à identifier et comprendre les émotions des autres ;
  • pour dépeindre votre propre état émotionnel et qualifier vos ressentis ;
  • pour détailler et expliquer clairement une situation à un proche, un collègue ;
  • pour gérer un conflit, dans le cadre professionnel ou personnel ;
  • etc.

➡️ Vous souhaitez découvrir d’autres techniques et outils de développement personnel efficaces ? Une fois par an, j’organise le séminaire développement personnel Destination Réussite. Trois jours pendant lesquels vous allez apprendre comment atteindre tous vos objectifs, même ceux qui vous semblent inatteignables aujourd’hui !

La roue des émotions au travail : dans quels domaines est-elle profitable ?

Vous êtes professeur, entrepreneur ou responsable marketing ? Bien qu’elle puisse être utilisée à titre personnel, la roue de la vie peut également se révéler fort utile dans le cadre de votre travail.

Développer l’intelligence émotionnelle des enfants

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Toute personne qui travaille dans une structure accueillant de jeunes enfants le sait : avant 5 ans, il est difficile pour un tout-petit de contrôler ses émotions. En effet, il n’est pas en mesure de faire le lien entre la cause de son émotion et ses conséquences possibles. On ne peut donc attendre de lui qu’il réagisse comme un adulte.

Grâce au cercle des émotions, outil riche en vocabulaire, l’enfant apprend à connaître tout le panel de ressentis qui existent. Il est aussi capable de distinguer les émotions positives des émotions envahissantes et inconfortables. Enfin, la roue des émotions va lui permettre de développer, petit à petit, son intelligence émotionnelle.

Susciter l’intérêt grâce au marketing émotionnel

Lorsqu’une entreprise se lance, faire connaître sa marque au plus grand nombre est primordial. Alors que vous soyez entrepreneur solo ou responsable marketing au sein d’une grande entreprise, vous devez instaurer rapidement une stratégie marketing.

Votre but s’énonce simplement : vous devez convaincre le maximum de personnes que vos services ou vos produits sont les meilleurs. Et pour cela, vous différencier de vos concurrents semble être l’une des solutions les plus envisageables.

Aujourd’hui, le marketing émotionnel, qui mise sur les émotions des gens, s’insinue dans tous les domaines d’activité.

Ainsi, si vous souhaitez créer du lien avec votre cible, le cercle des émotions va vous aider à identifier quels sont les ressentis que vous voulez lui transmettre. Vous pourrez aussi plus facilement établir des liens entre les émotions et donc identifier quels sont les meilleurs leviers à activer pour conquérir votre cible.

Utiliser le cercle des émotions dans le cadre d’un coaching professionnel

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À ce jour, de plus en plus de cadres ou de chefs d’entreprises se font coacher. En effet, nombreux sont ceux qui voient dans le coaching professionnel, un moyen d’atteindre plus rapidement leurs objectifs (par exemple, gagner en leadership, dépasser un seuil de chiffre d’affaires, etc.).

Vous n’arrivez pas à atteindre un ou plusieurs de vos objectifs professionnels ? Sachez que, dans la majorité des cas, ce sont vos émotions qui vous freinent et vous empêchent de passer à l’étape supérieure.

C’est pour cette raison que de nombreux coachs business utilisent aujourd’hui la roue de la vie. Car c’est en identifiant clairement quelles sont les émotions que vous portez en vous que vous pourrez comprendre d’où proviennent vos fausses croyances.

 

Comprenez-vous à présent l’utilité du cercle des émotions ? Appréhender et écouter vos propres ressentis, mais aussi ceux des autres, est une immense qualité. Que ce soit à titre personnel ou professionnel, cet outil de développement personnel va vous faire gagner en empathie et en sagesse. Je suis curieux, utilisez-vous déjà la roue des émotions ? Qu’en pensez-vous ? Faites-le-moi savoir en commentant cet article !

À très vite,

Max

Syndrome de l’Imposteur : 4 Conseils pour s’en débarrasser 

Le syndrome de l’imposteur est un mécanisme psychologique beaucoup plus répandu que l’on ne croit. Il vient avec son cortège de peur d’échouer, de dévalorisation, de manque de confiance en soi, et de perfectionnisme exacerbé. Peut-être vous reconnaissez-vous ?  Au-delà du syndrome, on parle aussi d’expérience ou de phénomène, car soyons bien clair, ce n’est pas une maladie. Cependant, en ne vous sentant jamais légitime, à long terme, ce phénomène peut nuire à votre santé mentale. Mais pas de panique, il existe toujours des solutions si vous décidez de passer à l’action ! Êtes-vous êtes prêts à dire adieu au syndrome de l’imposteur ? Voici 4 conseils pour vous y aider, c’est parti. 😉

Le syndrome de l’imposteur, c’est quoi ?

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Définition 

Le syndrome de l’imposteur exprime le sentiment injustifié et permanent de ne pas être légitime dans ses réussites. Ce syndrome confère une certaine tendance à minimiser ses succès voir de les attribuer à des facteurs extérieurs comme le hasard, la chance, l’aide d’autrui, etc. Les personnes atteintes de ce syndrome sont persuadées de n’avoir aucune qualité particulière et vivent dans la peur de se faire démasquer, se considérant comme des impostures. 

Le terme syndrome de l’imposteur a été inventé en 1978 par deux psychologues américaines : Pauline Rose Clance et Suzanne A. Imes. C’est grâce à leur travail de thérapeute ainsi qu’à leurs études, qu’elles se rendent compte que certains participants et patients ne reconnaissent pas leur valeur et leur réussite malgré leurs diplômes et les nombreuses preuves de validation externes. Ces personnes qui éprouvent une peur quasi-constante, mettent en place des stratégies de défense

  • soit elles en font trop pour attribuer leur succès à une forte quantité de travail plutôt qu’à leurs compétences. Elles deviennent perfectionnistes et ont tendance à culpabiliser ceux qui en font moins. Ce mécanisme peut conduire à terme au burn-out.
  • soit elles procrastinent pour mieux accepter l’échec et parlent de chance et de hasard pour justifier leurs succès. Ces personnes ont tendance à se plaindre fréquemment des éléments extérieurs qu’elles ne peuvent pas contrôler. 

Les symptômes 

Il est important de préciser que le syndrome de l’imposteur n’est ni une maladie ni une pathologie. C’est un sentiment, un état psychologique désagréable qu’il est difficile d’éliminer. Les personnes ne focalisent que sur leurs doutes et leurs échecs en étant convaincus que les autres n’échouent jamais et ne doutent jamais.

Le syndrome de l’imposteur prend naissance au sein d’un système de croyances automatiques et erronées qu’il convient de remettre en question pour avoir des pensées plus positives et adéquates. Les signes du syndrome de l’imposteur peuvent être : 

  • des émotions récurrentes comme la peur, la culpabilité, la honte, l’anxiété ;
  • la minimisation des succès pour l’attribuer à des facteurs externes : “J’ai simplement eu beaucoup de chance lors de mon dernier match” ; 
  • un perfectionnisme exacerbé qui amène à une surcharge de travail inutile ;
  • la mise en doute permanente des compétences : “je vais travailler toute la nuit, mais je ne suis pas sûr d’y arriver”.
  • une faible estime de soi : “Je n’avais aucun mérite, cette tâche était si simple” ;
  • la tendance à fuir les réunions, les prises de parole, les événements publics pour éviter d’être mise en échec ;
  • des pensées dysfonctionnelles automatiques ou des ruminations constantes : la personne ne reconnaît pas ses compétences ni la qualité de son travail et se demande en boucle pourquoi elle a réussi telle ou telle chose. 

Le syndrome de l’imposteur est corrélé à un manque de confiance en soi qui va impacter la vie privée et professionnelle. Une personne peut se sentir illégitime au travail, ayant le sentiment de ne pas mériter la confiance de ses collègues et de ses supérieurs. Mais ce syndrome peut aussi se retrouver dans la vie privée, la personne pensant qu’elle ne mérite pas l’amour de son conjoint, de ses amis et de sa famille.

Les causes du syndrome

Le syndrome de l’imposteur est assez répandu puisqu’au moins 70 % des personnes dans le monde se sentent concernées par ce phénomène selon le Journal of Behavioral Science. Plusieurs facteurs peuvent expliquer ce sentiment : d’abord, il prend souvent naissance dès l’enfance dans l’éducation des individus. En effet des attentes parentales très fortes en termes d’études et de parcours scolaires peuvent favoriser l’apparition de ce syndrome. Le manque d’attention et de marques d’affection joue aussi un rôle important.  

Être issu d’une famille aux origines modestes peut donner l’impression d’être illégitime dans le cas d’une ascension fulgurante ou d’un changement de classe sociale. Une personne qui réussit sans avoir jamais obtenu aucun diplôme peut aussi développer un syndrome de l’imposteur. Toutes les périodes de transition dans une vie sont susceptibles de faire naître ce sentiment d’imposture : 

  • un nouveau travail ;
  • de nouvelles responsabilités ; 
  • un changement de manager ;
  • une nouvelle maternité ;
  • une nouvelle relation amoureuse, etc. 

Ce syndrome touche les femmes et les hommes, et ce, indifféremment du milieu professionnel ou du milieu social. Cependant, à cause de stéréotypes de genre tenaces, le sentiment d’imposture touche plus souvent les femmes mais ce constat tend à se stabiliser.

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4 conseils pour se débarrasser du syndrome de l’imposteur 

Conseil N°1 – Acceptez-vous de manière inconditionnelle

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S’accepter de manière inconditionnelle, c’est savoir s’accepter tel que nous sommes avec nos bons et nos mauvais côtés. Il est aussi important de restaurer son estime de soi et de respecter ses besoins en la matière. L’estime de soi, c’est le regard que nous portons sur nous-même qui est vital pour notre équilibre psychologique. Elle est composée de : 

  • l’amour de soi : inconditionnel, tout être humain étant digne d’être aimé et respecté ;
  • l’image de soi : comment nous nous voyons avec nos qualités, nos défauts et nos limites ;
  • la confiance en soi : avoir la certitude de posséder toutes les capacités nécessaires pour compter sur soi et affronter tous les aléas de la vie. 

Il est nécessaire de savoir aussi s’accepter quand nos actions ne sont pas toujours pertinentes et que nous ne faisons pas l’unanimité auprès des autres. Vous pouvez mal agir dans certaines situations, vous n’êtes pas une mauvaise personne pour autant. Vous pouvez prendre de mauvaises décisions au travail, cela ne signifie pas que vous êtes un imposteur, mais juste que vous êtes humain.  

Tous les plus grands leaders de l’histoire, ceux qui ont changé le monde, ont tous pris des mauvaises décisions et ont connu l’échec. Steve Jobs aurait pu sombrer dans le syndrome de l’imposteur après son éviction d’Apple en 1985, au contraire, il a rebondi et a créé les Studios Pixar. Les fusées d’Elon Musk ont explosé plusieurs fois avant le succès que nous connaissons. Ce dernier aurait pu se considérer comme un imposteur dans ce domaine si élitiste qu’est l’exploration spatiale. 

Tous ces exemples tendent à vous montrer que vous pouvez changer votre mécanisme psychologique et que vous pouvez décider de ne pas être un imposteur. Ces personnages ont connu l’échec et ne sont pas des imposteurs, pourquoi le seriez vous ? 

Conseil N°2 – Prenez du recul et faites un état des lieux 

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Savoir faire le point sur son rapport au syndrome de l’imposteur est essentiel pour pouvoir vous en débarrasser. Reconnaître que vous éprouvez ce syndrome en identifiant chez vous les symptômes éventuels et leur degré d’intensité est une étape décisive : 

  • à quel point ce phénomène vous pose-t-il problème ? 
  • est-ce qu’il vous empêche de faire des choses ?
  • combien de temps allez-vous encore en subir les conséquences ? 

Il est aussi judicieux de vous demander dans quels domaines et dans quelles circonstances, ce syndrome peut venir faire irruption dans votre vie. Ensuite, identifiez vos pensées négatives automatiques et les croyances limitantes associées. Par exemple, votre manager vous confie un nouveau dossier qui représente une charge de travail assez conséquente. Vos pensées négatives automatiques sont les suivantes : “pourquoi me confier un dossier aussi important ? Je ne suis pas à la hauteur ? Je ne vais jamais y arriver”. 

La croyance est une affirmation personnelle, consciente ou non, que nous croyons vraies. Dans notre exemple, vous êtes persuadés que vous ne pouvez travailler que sur des sujets que vous maîtrisez, la nouveauté vous effraie et vous vous sentez incapable de gérer ce dossier. Cette croyance peut venir de l’enfance ou d’une expérience professionnelle passée. En ayant identifié cette croyance, vous pouvez essayer de lui donner une autre interprétation plus positive en vous demandant si vous avez des preuves de ce que vous avancez ? 

Tout l’intérêt de cette démarche est de changer votre système de pensées et de croyances pour les transformer en ressources. Apprenez à vous confronter à vos comportements et aux situations pour les comprendre. Dans le cas contraire, vous risquez d’entretenir ce sentiment d’imposture. Reconnaître aussi que vous avez besoin d’aide extérieure et vous faire accompagner par des coachs en développement personnel expérimentés vous fera progresser beaucoup plus vite. 

Conseil N°3 – Reconnaissez et célébrez vos succès 

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Reprenons notre exemple précédent, si votre responsable vous confie des dossiers importants et nouveaux, c’est sûrement parce qu’il connaît vos compétences et que vous lui avez déjà prouvé votre efficacité : pour faire simple, vous faites sûrement déjà du bon travail et il vous fait confiance. 

Cet exemple est déclinable dans toutes les situations où vous vous sentez un imposteur, que ce soit dans votre sphère privée ou professionnelle. Si votre femme est mariée avec vous, c’est qu’elle vous a trouvé de nombreuses qualités et qu’elle vous aime tout simplement. Si vous faites partie d’une équipe de sport, c’est également parce que vous possédez des qualités et des aptitudes. Pour tenter de vous convaincre, soyez objectif et répondez à ces questions : 

  • de quoi êtes-vous le plus particulièrement fier dans votre vie ? 
  • quels sont vos plus grands succès ? 
  • quels obstacles avez-vous pu surmonter ?
  • Quelles sont les qualités et les aptitudes qui vous ont permis de réussir ?

En répondant à ces questions avec franchise et recul, vous vous apercevrez que vous avez réussi de nombreuses choses dans votre vie et que vous possédez de nombreuses compétences et qualités. Cela vous aidera à vous sentir légitime et contribuera à éloigner le syndrome de l’imposteur.

Pensez à célébrer vos succès et surtout à en garder une trace pour vous soulager le moment venu : vous pouvez vous offrir un bon restaurant ou un cadeau pour vous féliciter d’une réussite. Procurez-vous un joli carnet pour noter tous vos succès, les félicitations reçues et les ressentis de vos collaborateurs sur votre travail. Récoltez toutes les preuves de vos qualités et de vos compétences pour traverser les moments où vous aurez tendance à vous dévaloriser. 

Conseil N°4 – Arrêtez de vous comparer aux autres et libérez-vous du perfectionnisme 

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Se comparer aux autres est un réflexe humain, nous le faisons tous à divers moments de notre vie. D’ailleurs, dès notre enfance, dans notre scolarité, il est fréquent que nos parents nous demandent quelle note a obtenu notre petit camarade et peuvent aussi nous comparer à nos frères et sœurs.

Mais pour combattre le syndrome de l’imposteur, il est important de ne pas minimiser vos succès tout en glorifiant ceux des autres. Vous ne ferez que renforcer ce mécanisme psychologique et vous rentrerez dans un cercle vicieux. Les autres sont comme vous, ils réussissent et ils échouent, nous ne connaissons pas assez leur vécu pour être persuadés que tout se passe à merveille pour eux. 

Restez focalisé sur vous, intéressez-vous aux autres pour trouver de l’inspiration et surtout pas pour vous dévaloriser. À force de vouloir toujours vous comparer, vous risquez aussi de vous enfermer dans une quête illusoire de perfectionnisme. En pensant que les autres n’ont aucun défaut, vous allez culpabiliser d’en avoir. 

Libérez-vous du perfectionnisme en vous fixant des objectifs réalistes. En effet, si vous ne cessez de vous fixer des résultats impossibles à atteindre vous allez douter de vos capacités et vous ne ferez que nourrir votre syndrome de l’imposteur.  

Soyez bienveillant avec vous-même comme vous le seriez avec un ami cher, ne soyez pas trop exigeant et faites toujours de votre mieux. Sachez accepter les erreurs et les échecs pour en faire des tremplins pour vos futurs succès. 

Ce qu’il faut retenir

Vous en savez maintenant un peu plus sur le syndrome de l’imposteur et comment travailler pour vous en débarrasser. Mais pour que ces conseils fonctionnent, vous devez absolument passer à l’action et les appliquer dans votre vie au quotidien. Je vous les rappelle à nouveau : 

  • acceptez-vous de manière inconditionnelle ;
  • prenez du recul et faites un état des lieux ;
  • reconnaissez et célébrez vos succès ;
  • arrêtez de vous comparer aux autres et libérez vous du perfectionnisme.

Avez-vous déjà vécu ce syndrome de l’imposteur ? Quelles ont été vos actions pour vous en débarrasser ? Je serai ravi de lire vos commentaires ci-dessous. Peut-être est-il temps pour vous de passer un cap dans votre vie et de reprendre confiance en vous, alors participez à mon séminaire développement personnel Destination Réussite et vivez enfin la vie que vous méritez.

À très vite,

Max

 

Tout savoir sur le métier de Coach en Développement Personnel

Le métier de coach en développement personnel fait de plus en plus d’adeptes. Et pour cause : cette profession a du sens. À travers ses conseils et son expertise, celui qu’on appelle aussi coach de vie peut littéralement changer des vies. Mais ce métier, aussi passionnant soit-il, permet-il aux personnes qui l’exercent d’en vivre décemment ? En lisant cet article, vous en saurez plus sur le salaire du coach en développement personnel et son rôle. Vous découvrirez également comment une formation peut directement influencer votre tarif horaire. Vous êtes prêt ? Alors, c’est parti !

Quel est le rôle du coach de vie ?

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Votre rôle, en tant que professionnel de l’accompagnement, sera d’aider vos clients à atteindre leur plein potentiel (celui-là même qui leur permettra de remplir tous leurs objectifs de vie). Ainsi, vous pouvez les épauler pour qu’ils retrouvent confiance en eux, gagnent en charisme ou encore surmontent une phobie. Ce ne sont ici que des exemples ! En réalité, chaque objectif est unique et propre à la personne qui vient vous consulter.

Au travers d’un questionnement poussé, vous les guidez dans une exploration intérieure. Celle-ci va leur permettre de trouver par eux-mêmes les clés nécessaires pour identifier leurs croyances, leurs peurs ou leurs blocages, puis les surmonter.

En effet, l’essence même du coaching repose sur l’autonomie du coaché. Dans sa démarche, votre client trouve de lui-même la solution à sa problématique. En aucun cas, vous ne lui dictez ce qu’il doit faire. Vous incarnez plutôt le rôle du guide, celui qui apporte un point de vue nouveau à une situation bloquante.

➡️ Si vous vous intéressez au métier de coach en développement personnel, vous possédez sans doute déjà des connaissances en la matière. Mais pour autant, vous le savez : on ne cesse jamais d’apprendre lorsqu’il s’agit d’exploration intérieure et d’accomplissement personnel. Alors, si vous souhaitez vous enrichir personnellement et évoluer pendant trois jours autour de personnes désireuses de changer leur vie, participez à mon séminaire développement personnel Destination Réussite.

Quel salaire un coach en développement personnel peut-il espérer ?

Le salaire du coach de vie

Outre le fait d’exercer un métier passion comme celui de coach, il est également important de savoir si celui-ci sera rémunérateur. Eh oui, nous vivons dans une société où l’argent est indispensable, ne serait-ce que pour satisfaire nos besoins vitaux.

Parlons argent donc. Le salaire du coach en développement personnel varie énormément. Ainsi, plutôt que de vous donner un tarif fixe, je préfère vous délivrer une fourchette de chiffre d’affaires annuelle variant de 40 000 € à 100 000 € brut. En sachant qu’une séance d’une heure environ peut être facturée 50 € et parfois même jusqu’à 350 €.

Pourquoi ces différences ? Tout simplement, car les tarifs horaires dépendent de multiples critères différents, comme :

  • Votre expérience et votre renommée : au fur et à mesure de votre évolution, vous pourrez vous permettre d’augmenter vos prix. De même, plus votre notoriété sera grande, plus votre travail prendra de la valeur aux yeux de vos clients.
  • Votre position géographique : si vous exercez à Paris, vos tarifs seront plus élevés. En revanche, si votre cabinet se situe en province, vous devrez vous adapter aux tarifs locaux. À noter que ce critère disparaît si vous pratiquez vos séances en distanciel.
  • Votre formation : en France, le métier n’est pas réglementé et tout le monde peut s’autoproclamer coach du jour au lendemain. Malgré tout, je vous recommande d’acquérir les connaissances et compétences techniques nécessaires avant de vous lancer. En bénéficiant d’une bonne formation en coaching, vous serez plus confiant, vous gagnerez en crédibilité vis-à-vis de vos clients et vous pourrez donc augmenter vos tarifs.
  • Votre positionnement : pour facturer plus cher, vous devez prouver votre singularité à vos clients. Le positionnement consiste à se démarquer de ses concurrents. Avant de vous lancer, prenez du temps pour y réfléchir : quelles sont vos forces, en quoi êtes-vous différent, quelle est votre valeur ajoutée, etc.

Bien entendu, ces chiffres dépendent aussi de votre capacité à vendre vos prestations. Ils sont également le résultat d’un travail soutenu sur vous-même, ainsi que d’une formation constante. Eh oui, lorsque l’on exerce le métier de coach, on ne cesse jamais de se former à de nouvelles pratiques et techniques. Et c’est bien ça qui est passionnant, n’est-ce pas ?

Augmenter son salaire de coach en développement personnel

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Vous êtes déjà coach et n’arrivez pas à vivre de votre activité ? Vous le savez, les connaissances et compétences ne suffisent pas dans ce métier. Pour réussir et gagner un bon salaire en tant que coach en développement personnel, il faut aussi savoir vendre ses services.

« Savoir se vendre » est une expression qui peut faire peur à certains d’entre vous. Pourtant, il ne s’agit ni plus ni moins de vendre des prestations qui peuvent changer la vie de ceux qui en bénéficieront. Ainsi, lorsque vous communiquerez sur votre activité de coach, pensez à cela et débarrassez-vous une bonne fois pour toutes de ce vilain syndrome de l’imposteur !

Pour augmenter votre salaire de coach en développement personnel, voici quelques stratégies que vous pouvez adopter :

  • Travailler votre visibilité en ligne : vous pouvez communiquer sur les réseaux sociaux, créer une chaîne YouTube ou encore travailler le référencement (SEO) de votre site web. En plus de vous rendre visible, vous démontrez votre expertise et augmentez la confiance de vos prospects.
  • Élargir vos offres : en plus de vos séances individuelles en cabinet, pourquoi ne pas proposer des coachings de groupe en distanciel ?
  • Se spécialiser : financièrement parlant, un coach qui possède une expertise pourra augmenter ses tarifs plus facilement. Ainsi, si vous êtes coach de vie certifié en PNL, les personnes connaissant cette pratique vous verront tout de suite comme un expert dans ce domaine.

Comment une bonne formation en coaching peut-elle influencer votre chiffre d’affaires ?

En France, aucun diplôme n’existe pour devenir coach en développement personnel. Malgré tout, vous le savez déjà : les connaissances et aptitudes requises pour exercer cette profession ne s’apprennent pas seul.

Suivre une bonne formation en coaching est, à mon sens, indispensable pour plusieurs raisons :

  • Vous possédez de solides bases pour débuter dans le métier.
  • En dehors des cours théoriques, vous bénéficiez de précieux conseils de la part de coachs expérimentés. De plus, vous faites partie d’un groupe où chacun vous fait profiter de son propre savoir.
  • Une formation reconnue vous permet d’appliquer, dès vos débuts, un tarif horaire plus élevé.
  • Vos premiers clients éprouvent bien plus de confiance à consulter un coach dont les compétences et les savoirs ont été évalués au préalable.

 

Cet article sur les missions et le salaire du coach en développement personnel vous a-t-il inspiré ? Avez-vous envie d’en savoir plus sur le métier ?

Si j’ai fondé l’Excellence Coaching Academy, c’est pour vous permettre de devenir un coach professionnel reconnu pour les résultats extraordinaires qu’il apporte ! Alors, si vous souhaitez vous former à une profession lucrative et pleine de sens, découvrez dès à présent le programme de ma formation en coaching.

À très vite,

Max